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Tag: Ducktales

Mes recherches de Retro Geek.

Mes recherches de Retro Geek.

Oui, c’est vrai… ce qui fait toujours un peu rêver, finalement, ce sont tous ces objets rétros que j’aime à chiner en brocante ou sur Vinted. Certains sont parfois un peu trop cher pour craquer et je il m’arrive de les imaginer parfois sous le sapin… Vous savez, comme lorsque vous regarder le solde de votre compte en banque pour voir, si par hasard il n’y aurait pas 1.000€ de plus… Pourtant, c’est probablement le truc le plus difficile à trouver, voir simplement à comprendre toutes les subtilités à celui qui viendrait se perdre sur cet autre Pinterest que je conserve…

Mario Party 5 sur Game Cube, merci fiston !
Mario Party 5 sur Game Cube, merci fiston !

L’année dernière mon fiston m’a fait la surprise de m’offrir pour mon anniversaire Mario Party 5 sur Nintendo Game Cube. Et cela m’a vraiment fait plaisir. Cet hiver-là je gardais un œil sur une série de jeux de mes années Game Cube, une console pour laquelle j’ai encore peu retrouver de titres qui m’avaient marqué à l’époque. Mario Party 4 et Mario Party 5 font partie de ceux-ci me rappelant les soirées qui rassemblent autour d’un même jeux vidéo, chacun sa manette se défiant à de nombreux mini-jeux. Dorénavant, Mario Party 5 aura un petit quelques chose en plus à me raconter… et c’est ce qui m’a finalement décider à faire le pas de préparer ce sujet.

Un œil sur le Vinted de Papa ? C’était une bonne tactique, bravo. Mais pour compliquer les choses, depuis quelques mois, le Paypal de mon vinted est bloqué et j’ai donc un peu perdu à le rendre vivant en ajoutant des petits cœurs comme je le faisais précédemment.

Mais tout n’est pas si simple !

Prenons un petit exemple, si cela fait bien longtemps que j’ai retrouvé les Cartouches Game Boy de Super Mario Land 2 ou Wario Land, j’aurais bien envie d’ajouter dans ma collection le jeu ET sa boite. On peut parfois en trouver à 50€ en cherchant bien. Mais il faut rester attentif à ce qu’il s’agisse bien d’une boite d’origine… On trouve en effet de plus en plus de « boite de remplacement » de qualité par ailleurs très variable pour une dizaine d’euro… Dès lors, mettre plus 50€ ou plus pour une copie serait évidemment frustrant.

Pourtant, il y a certains jeux où la cartouche seule (dit « en loose« ) me suffit amplement c’est souvent le cas sur Super Nintendo et diverses variations de Game Boy… Ceux-ci sont rarement plus cher que 10€ !

En revanche sur Nintendo DS autant que pour la Game Cube ou la PlayStation 2, j’essaie toujours de m’assurer que la notice soit bien présente, car cela fait partie de ce qui m’intéresse dans la conservation du patrimoine vidéoludique….

Enfin, je vois parfois des choses très intéressantes comme l’édition PC Big Box de Day of the Tentacle en français… au prix de 300€ ! Vous l’aurez compris, trouver n’est pas toujours le problème, il y a le budget, je me dis donc qu’il est important que je cible dans ma liste le « bon prix ».

Bref, je m’attaque donc à préparer ce dossier petit à petit.

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Super Vision et Game Master

Super Vision et Game Master

Petit détour au début des années 90. Je suis certain que vous vous souvenez tous de la Game Boy de Nintendo, la première console de jeu portable à cartouches interchangeables qui aura marqué les joueurs, même si d’autres s’y étaient déjà tentés bien avant. Nintendo avait réussi un véritable coup de génie avec cette dernière alors que, comme le raconte magistralement Florent Gorges dans son 4° tome de l’histoire de Nintendo, le chemin fut semé d’embûches ! Aujourd’hui, qui n’a pas joué à la Game Boy ? Tetris, Super Mario Land, Ducktales, Legend of Zelda, Pokemon, Astérix,…

On a tous joué à la Game Boy !
On a tous joué à la Game Boy !

Peut-être vous souvenez-vous également de sa rivale, la Game Gear de SEGA. Très proche des performances de la console de salon 8bits, la Master System, elle se démarquait essentiellement par un écran couleur et une grande consommation de piles ! Mais elle n’était pas pionnière du genre non plus, la Lynx d’Atari également proposait une expérience nomade en couleur, même si cette dernière a trouvé assez peu de joueurs de ce côté de l’Atlantique.

La Game Gear fête ses 30 ans !
La Game Gear fête ses 30 ans !

Non, aujourd’hui je voudrais vous parler la console portable asiatique, la Super Vision fabriqué par Watara. Déclinée en deux version, le modèle qui débarque en Asie et Europe en 1992 n’a pas cherché à se démarquer de la Game Boy de Nintendo. Les formes en sont très proches, seule la croix directionnelle, brevet de Nintendo manque à l’appelle et la Super Vision s’annonce même équipée d’un écran LCD de grande taille face à sa rivale !

Soyons clairs, la Super Vision ne se veut pas être une copie chinoise mais bien une console concurrente qui sera moins cher (un peu moins que la moitié du prix) et proposera également de nombreuses cartouches de jeux à prix moins élevés que la concurrence !

Arrivée sur le marché européen début 1992 avec une dizaine de jeux dont Crystball, un casse-brique dans lignée de Break Out vendu avec la console, la Super Vision annonce la disponibilité d’un catalogue de 50 jeux d’ici la fin de l’année afin de pouvoir vraiment se positionner comme outsider ! C’est que Watara n’en est pas à son premier essai.  L’entreprise basée à Honk Kong aurait plus que probablement fabriqué la console Game Master, une autre console un peu cheap, (et même plus qu’un peu) qui sera distribuée en 1990 par d’autres marques tels que Hartung en Allemagne ou Vidéojet en France. (sources lues sur Gamopat)

Voilà plusieurs années que je suis à la recherche de cette Game Boy qui n’en est pas une ! Ce n’est pas pour la qualité ou l’originalité de ces jeux, ni même pour sa singularité dans ma collection mais tout simplement parce qu’elle me rappelle le souvenir de mon ami d’enfance, Xavier Strivay, bien trop tôt disparu !

Retour donc entre 1992 et 1993, tous les enfants mon âge ont une Game Boy. Au moins, une Game Boy, diable qui n’a pas eu de Game Boy à cette époque, je vous le demande ? Oui, pourtant chez nous pas de Game Boy à la maison. Pas encore, le forcing arrivera plus tard, mais je n’en suis pas frustré à l’époque. Tous mes copains en ont une, qui plus est avec une nombre de cartouches grandissantes. Si j’ai donc le loisir d’y jouer très souvent chez eux, j’ai même la grande chance que l’un ou l’autre me la prêtent pour quelques semaines !!!

Chez mon ami Xavier, qui a alors une douzaine d’années, débarqua un jour, cadeau de son parrain si mes souvenirs sont exactes, une autre console portable ! Cela restera pour moi, un souvenir trop vague. Elle ressemblait à une Game Gear, ou peut-être pas. Etait-ce la forme ou la couleur ? Il y avait un casse brique, un clone de Tetris et surtout, un petit jeu de char auquel nous avons beaucoup joué tous les deux. Voilà les souvenirs qu’il me reste de ce qui étaient nos premières après-midi. Si j’ai donc d’abord pensé à la Game Master, pour sa forme similaire à la portable de SEGA, la ludothèque me confirmera plus tard qu’il s’agissait plutôt de la Super Vision !

Super Vision et Game Master ayant aujourd’hui rejoint mon petit musée, je me suis attaqué en début d’année à (re)découvrir Hero Kid, l’un des titres de la portable de Watara qui tentait donc alors de se faire une petite place entre la Game Boy de Nintendo et la Game Gear de SEGA. En souhaitait proposer rapidement une 50aine de jeux sur le marché, l’originalité des jeux proposés étaient assez simples, tentant de singer les premiers titres disponnibles au Japon sur la Game Boy. Si la plupart sont développés directement par Watara, le studio anglais B.I.T.S déjà impliqué dans le développement de jeux Game Boy, proposera quelques titres parfois signés sous d’autres pseudonyme !

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Intégrer le jeu vidéo dans une vision plus large dites intermédiatique.

Intégrer le jeu vidéo dans une vision plus large dites intermédiatique.

Guinness World Records 2020. Gamer's edition
Guinness World Records 2020. Gamer’s edition

Je reviens un peu sur mes notes de la seconde journée de formation autour du jeu vidéo en m’arrêtant sur l’interprétation de celui-ci sous un angle intermédiatique et plus spécifiquement sur le concept d’œuvre transmédia.

Dans un premier temps, le Youtubeur Baldoc s’est penché plus en détail sur la manière de décrypter le Jeu-Vidéo en tant que média culturel en prenant comme point de départ la spécificité des traductions. Il en ressort qu’il est nécessaire de bien analyser le public principal à qui est destiné l’œuvre pour en comprendre les croyances, les pratiques et les valeurs. Il nous invite à se poser la question : Que range-t-on dans le terme “Gamer” ? Une même personne qui jouera à Call of Duty ou Journey. Il est nécessaire de ne pas exclusivement avoir un regard sur le jeu vidéo en tant que produit de consommation mais également en tant qu’œuvre artistique. L’analyse du sujet montre qu’une œuvre peut intégrer de nombreuses référence à d’autres œuvres du même univers, de la même Saga ou provenant de la littérature, histoire, cinéma, culture.

Bref, indéniablement, si j’ai du mal à me coller une étiquette de Fan de Jeux Vidéo, il m’est encore plus évidement que je ne me collerais pas une étiquette de Gamer. Je ne me sens effectivement pas concerné par les codes qui y collent. Un bon exemple est cet ouvrage “Guinness World Records Gamer’s Edition 2020” que j’ai dans ma bibliothèque et qui parle du jeu vidéo avec une approche particulièrement éloignée de mon regard sur le Jeu Vidéo, tant dans le ton que la forme.

En conclusion, il sera donc important dans un projet d’intégration du jeu vidéo au niveau culturel ou pédagogique de bien cibler le ou les publics !


Lors des échanges nous nous penchions en autre sur les relations transmedia et l’univers du jeu vidéo. Afin d’approfondir ma réflexion sur le sujet, je me suis penché sur le portage de La Petite Sirène de Disney en jeu vidéo au début des années 90 : Disney : The little mermaid – NES (Capcom, 1991)

Enter The Matrix - PS2 (Atari - Shiny Ent, 2003)
Enter The Matrix – PS2 (Atari – Shiny Ent, 2003)

Autour de cette thématique je me suis posé la question de savoir si l’on parlait de transmédia dès qu’un univers était décliné sur plusieurs supports ou s’il était nécessaire qu’une volonté soit présente dès la réflexion de ses différentes déclinaisons. Historiquement, ce serait la sortie du Film Matrix et sur différents média dont le jeu vidéo qui correspondrait à cette première pratique, que l’on retrouvera ensuite avec la sortie de Star Wars épisode 1 ou le film Harry Potter. On peut donc considérer les jeux de Capcom autour de l’univers Disney, y compris en lien très proche avec la sortie de La Petite Sirène comme une opportunité. Ce qui était déjà le cas pour des jeux issus des Gremlins, Retour vers le Futur, Rambo dans les années 80. 

Je me pose néanmoins encore la question face à l’implication de Disney Interactive dans l’arrivée de jeux estampillés Aladdin ou Le Roi Lion en 1992 et 1993. Je trouverais peut-être ses réponses dans l’ouvrage “Des Pixels à Hollywood” d’Alexis Blanchet qu’il devient définitivement impératif que j’approfondisse… d’autant qu’en cherchant la référence à ce jeu Matrix, je constate qu’il date de 2003… Voilà qui mérite de revenir sur le sujet avec Bruno Dupont !

Des Pixels à Hollywood, Alexis Blanchet - Ed. Pix'n Love, 2010
Des Pixels à Hollywood, Alexis Blanchet – Ed. Pix’n Love, 2010

A l’automne 1976, Warner Communications Inc., le conglomérat géant des médias et des industries du divertissement, rachète Atari, une petite entreprise spécialisée dans une nouvelle forme de loisir, le jeu vidéo. En quelques années, Atari représente 30% du chiffre d’affaires global de la Warner Communications…

Emblématique des relations entre Hollywood et les jeux vidéo, cet événement industriel n’est pourtant qu’une des très nombreuses manifestations de l’intérêt réciproque que se portent ces deux domaines majeurs du divertissement de masse. Adaptation, inspiration, pastiche, plagiat, critique… Les échanges entre cinéma et jeu vidéo ont pris des formes variées et parfois étonnantes.

Des années 1970 à aujourd’hui, Des Pixels à Hollywood retrace l’histoire commune du cinéma et des jeux vidéo, à la fois concurrents et partenaires dans leur conquête du public. Une histoire économique et culturelle qui montre comment ces domaines du spectacle et de l’imaginaire ont profondément modifié le fonctionnement des industries du loisir et les processus de production des fictions contemporaines. (Des Pixels à Hollywood, Alexis Blanchet – Ed. Pix’n Love, 2010)

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Playing 2020, une année sous le signe du Jeu Vidéo !

Playing 2020, une année sous le signe du Jeu Vidéo !

2020, pour bien des raisons sera une année à oublier. Et pourtant, hors de toutes les frustrations et la morosité de cette année Coronavirus, il y a tout de même un peu de bonne chose à sortir de tout cela.

Link's Awakening sur la Switch, terminé !
Link’s Awakening sur la Switch, terminé !

En 2020, j’ai pu prendre du temps pour jouer à des jeux vidéo ! J’en ai même terminé plusieurs, ce qui sur les 10 dernières années devaient probablement se compter sur les doigts de la main. Link’s Awakening sur la Switch, fini ! Horizon Zéro Dawn, après 2 ans et demi, enfin fini, le tout enchainé par Final Fantasy VII Remake, The Last of Us Part II et pour terminer la version HD du premier ! Alors que la nouvelle PlayStation 5 et sa concurrente Microsoft viennent de sortir, nous nous sommes confortablement reposée sur la génération précédente mais cela fut également l’occasion lors de nombreuses occasions de sortir ma collection Retrogaming sur la NES de Nintendo ou la PSP de Sony en autre chose !

Cette année donc, je prends les devants avec mon petit tour d’horizon des « Games I Play in 2020 » en y ajoutant, en seconde partie de billet, ces jeux auxquels je n’ai pas joué et qui pourtant pourraient me plaire.

On teste Minecraft en réseau !

Avec les enfants

Les enfants ne se lassent pas encore très vite de leur jeu. Sans surprise Les Sims 4 et Minecraft restent largement au dessus du lot, mais il faut bien admettre que Mario et les Lapins Crétins, en promo au printemps sur la Nintendo Switch a très rapidement eu son petit succès, peut-être même plus que Mario Kart 8.

Mario + Les Lapins Crétins, une direction artistique très réussie !
Mario + Les Lapins Crétins, une direction artistique très réussie !

Nous avons donc appris les bases du gameplay tactique sur le tas avec nos mini JoyCon en main. De fait, c’était la première fois que l’on jouait à un jeu à deux sur la Switch, pas si facile à appréhender ces machins ! Mais assez vite, le fun est bien présent et le concept de déplacement, aide d’un partenaire, saut, tacle, armes et protection se met en place. D’ailleurs, avoir regarder Papa et Maman jouer à Final Fantasy VII les semaines passées aide les enfants à comprendre le concept des PV et des objets à utiliser ;) Les parties sont amusantes, même si pour l’heure nous n’avons accès qu’à 4 aires de combats et 8 personnages, ils en redemandent. Ceci dit la direction artistique est tellement bien réussie que cela a vraiment fini par me donner envie de découvrir l’aventure en solo ! (A lire : Quand les lapins mettent le bazar chez Mario)

Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Confiné à la maison, prendre l’air en s’occupant de sa ferme dans Doraemon: Story of Seasons a eu un certain succès !

Charly vient tout juste de commencer à découvrir Animal Crossing : New Horizon, le simulateur de vie tout mignon sorti il y a déjà quelques mois, chez nous, c’était jusqu’ici l’épisode « Doraemon » de la série Harvest Moon/Story of Seasons qui avait été eu son petit succès. Nous aurons avec le fiston tenté de trouver un jeu de voitures fun pour jouer ensemble, Gear.Club Unlimited, malgré un niveau graphique un peu faible, n’aura pas démérité sans pour autant nous pousser à nous y remettre. De même Ni No Kuni 2 ou Dragon Quest Builder n’ont pas non plus réussi à se présenter comme des jeux fédérateurs !

– Les Sims 4 (Mac)
Minecraft (WiiU)
Mario et les Lapins Crétins (Switch)
Mario Kart 8 (WiiU)
Doraemon : Story of Seasons (Switch)
Legend of Zelda : Link’s Awakening (Switch)
Animal Crossing : New Horizon (Switch)
Duck Hunt (NES)
Zoo Tycoon (PC)
Ni No Kuni 2 (PS4)
Gear.Club Unlimited (Switch)
Super Mario Maker (WiiU)
Dragon Quest Builder  (Switch)
Need For Speed : Rivals (PS4)
WRC6 (PS4)
WRC6 - PS4 (Big Ben interactive - Kylotonn, 2016)
WRC6, décevant même pour une poignée d’Euros

(…) Des environnements variées, un plaisir de conduite, un sentiment de vitesse, le contrôle… J’ai adoré les jeux de Rallye des séries WRC et Colin Mc Rae sur mes premières consoles Sony, sur la PS3 cependant, rien n’est jamais venu m’émoustiller et l’approche large des premiers GRIDs ne m’ont pas non plus convaincu. Aujourd’hui en promo pour 3 sous, je me suis tenté à acheter ce WRC 6, l’épisode de BigBen reposant sur la saison 2016. Pas de problème à mes yeux, je n’ai aucune idée de qui roule dans quelle voiture : ) Mais très vite, j’ai été déçu de la qualité du jeu. Tout cela se montre très rigide,sans souplesse, les graphismes sont tranchés, alors que de la poussière, du grain, et tant de chose auraient pu casser cette rugosité visuelle sur des tracés fixes. La prise en main est là aussi rigide, et le plus pénible. ça lague, en permanence, j’ai l’impression que ma console n’est pas de taille à faire tourner le jeu. Un comble pour un jeu de cette génération. Décevant !

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Quelques clichés de plus de la NES

Quelques clichés de plus de la NES

Durant le confinement, souvenez-vous, j’avais mis en place dans le studio photo de madame tout une thématique autour de la première console de Nintendo dans nos contrées. Je vous avais déjà partagé une bonne partie de ces clichés, tout en prenant le temps de (re)découvrir Tortue Ninja, Batman, Duck Hunt, Al Unser Jr, Solomon’s Key et Legend of Zelda II. Mais il me restait encore quelques photos d’autres titres de ma collection que je pouvais appareiller avec les pages des magazines du Club Nintendo prêtés par mon ami Fred. Avec la reprise, je n’avais pas eu le temps de me lancer dans les retouches de ces dernières,… alors que la Master System avait été, elle, installée dans le salon.

Il me reste de fait, encore bien des jeux de ma collection NES à prendre le temps de découvrir. Robocop, World Cup, Paperboy ou Gremlins 2 n’auront droit qu’à un portrait. Je m’étais déjà essayé à Snakerattle n’ Roll et Bayou Billy il y a quelques années. Impossible évidemment de ne pas prendre quelques dizaines de minutes pour jouer à Ducktales, mais j’étais particulièrement curieux de voir à quoi ressemblait Little Nemo : Dream master. Avec les décors boisés du premier niveau, il y avait un petit air de Bilou, ce jeu que mon frère et moi ne cessons de faire vivre depuis près de 30 années. Si cette forêt est plutôt jolie, le gameplay reste pour ce rapide essai, encore assez rigide…

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