Et vlan, nous sommes donc entrés dans les années 20. Cela me donne un certain coup de vieux, quand je me dis que j’ai connu l’entrée dans le nouveau millénaire en devenant adulte, que je suis devenu parent dans la décade suivantes, que je vois passer la Génération 80 comme perdant son souffle derrière le retour en force des Nineties !
Je referme donc 10 années incroyables, où j’ai vu grandir mes 4 « petits », les 10 années à venir me plongeront donc dans le rôle de père d’une bande d’ado qui auront en 2029 respectivement 20, 18 et 15 ans. Là comme cela, c’est presque flippant ! Je m’arrête toute de suite sur ce sujet, je n’y pense plus, il faudra déjà se tracasser de l’école secondaire de Charly dans un futur très proche !
Quoi qu’il en soit, cette année 2019 aura été épuisante, c’est le juste mot, et je tâcherais n’en garder que le meilleur. La Bretagne, la Toscane, les nombreux moments entre amis, mais aussi de beaux projets menés avec mes collègues de l’équipe MOOC,… un peu de musique même, bien que cela me paraisse déjà loin…
Allez, Ciao 2019 ! Il n’est déjà plus l’heure de regarder en arrière, le coup de vieux se rapproche ! Et cette année, encore plus que les précédente, cela me fait beaucoup réfléchir. J’ai l’impression d’être sur un nouveau chapitre à écrire où je ne cesse de ré-écrire la première page depuis des mois sans trouver la bonne approche. En jouant sur ce qui a été apprécié jusqu’ici, en changeant radicalement d’approche ? Comment le lecteur appréciera-t-il le mieux l’histoire. « Fait le, ou ne le fait pas ! Il n’y a pas d’essai » me rappelle chaque matin Aymeric quand je m’assieds devant mon ordinateur.
Découverte en 2016, la série Outlander est rapidement devenue plus qu’une référence, un rassemblement pour madame et moi.
La première saison sortait du lot, racontant l’histoire de Claire Randall épouse d’un historien et infirmière de la seconde guerre mondiale qui bascule 200 ans dans le passé, traversant les pierres, et se retrouvent dans une Écosse en plein tumulte face à l’armée anglaise… Elle se retrouvera rapidement forcée à épouser un jeune écossais, Jamie Fraser et finira par en tombé amoureux…
Dans la seconde saison, ils seront contraints de fuir en France, déterminés à infiltrer la rébellion jacobite dirigée par le prince Charles Stuart et à arrêter la Bataille de Culloden. Ils se retrouvent plongés dans le monde somptueux de Versailles où les intrigues et les fêtes abondent. Changer le cours de l’histoire présente des défis qui commencent à peser sur leur relation. Mais, armés de la connaissance de ce qui les attend, Claire et Jamie doivent faire vite pour empêcher le soulèvement du Highland condamné et la disparition de la vie écossaise telle qu’ils la connaissent.
Après avoir apprécié cette seconde saison, nous poursuivions en septembre 2017, alors que Netflix Belgique boude toujours la diffusion de la série sur sa plateforme, une 3° saison que j’avais, dans mes notes de l’époque un peu moins appréciée. De longs épisodes avant que nos deux héros se retrouvent avant de se retrouver séparer en mer en route vers les colonies du Sud.
Claire et Jaime sont sur un bateau, Jaime tombe dans l’eau, qui est-ce qui reste ? Bon, il faut bien admettre que j’aurais trouvé cette saison 3 assez inégale. Je retrouvais avec plaisir la trame principale, les personnages, mais par moment, leurs tribulations sont parfois « énervantes »… Avec le retour de Briana dans la saison 4 me semble-t-il, cela devrait être à nouveau plus intéressant.
Sans vraiment retrouver l’intensité de la première saison, nous restons prêt à sauter sur les nouvelles saison. En novembre 2018, après avoir tristement annulé notre voyage en Ecosse quelques mois plus tôt, nous nous lancions donc sur la 4° saison qui offrait de nouvelles intrigues et surtout la découverte du Nouveau Monde et de la colonisation de l’Amérique.
En attente de la sortie prochaine de la 5° saison prévue pour février 2020, nous viens l’idée de reprendre la série depuis la première saison en V.O. histoire de se remettre dans le bain ! Une 5° saison un peu moins passionnantes, avec des épisodes parfois un peu monocordes, mais fort heureusement deux derniers épisodes qui relevaient le ton !
Pour moi, un livre n’est pas juste une histoire à lire. C’est aussi un compagnon que l’on prend en main et qui nous rappelle alors tout ce que l’on a construit dans sa tête en le lisant.
Voilà, plus d’un an que j’ai envie de découvrir l’univers de Mortal Engines, mais le premier tome, difficile à trouver en librairie ne semblait exister qu’avec la couverture à l’effigie du film, que je n’ai pas vu et que je ne voulais pas voir, histoire de me laisser construire moi même ce monde à découvrir.
Bref, la faute à Fred, j’ai installé #Vinted et je l’y ai trouvé pour 3x rien, l’édition que je cherchais !
Cela faisait partie de mes résolutions pour 2020, je vais tenter de transformer certains moments « perdus » sur Facebook par de la lecture. J’ai des tas de BDs à lire, mais ce WeekEnd, j’ai même tenté de lire mon nouveau roman pendant que les enfants jouent dans la maison. C’est chaud, mais j’ai tout de même réussi à me plonger dans la première chasse du premier chapitre… qui me laisse dans la tête un héro à l’image du jeu Dark Chronicle auquel j’ai joué il y a des année sur la Playstation 2.
J’ai bien moins joué en 2019. C’est un constat sans appel et ce malgré l’achat il y a quelques mois de la dernière console Nintendo afin de pouvoir plonger dans Link’s Awakening, le remake du Legend of Zelda sorti il y a 25 ans sur la Game Boy. Oui, en 2019, mon quotidien est probablement devenu trop sérieux. Trop sérieux en tout cas que pour me lancer dans ce que le monde appel maintenant un « Triple AAA », ces gros jeux développés avec des moyens pharaoniques, qui se vendent par million et qui impliquent d’utiliser ses 4 mains pour dompter la manette !
C’est définitif, je ne suis plus ce genre de joueurs, et d’ailleurs rares sont les jeux de ce genre qui parviennent à me distraire. En contre partie, aux cotés des jeux joués avec les enfants, cela reste évidemment le rétrogaming qui garde une place importante dans mes petits moments de détente avec cette année, la console NES de Nintendo et le Commodore 64 à l’honneur !
Avec les Enfants
Jouer est devenu encore plus cette année un moment partagé avec les enfants plus qu’avec madame, comme c’était le cas depuis de nombreuses années. Tous les 4 ont donc suivi une bonne partie de ma progression dans le dernier Zelda tout en y jouant également sur une partie propre, mais ils n’ont pas encore pour l’instant l’autorisation de chiper seul « ma » console.
« Crash » et son relifting de Crash Racing Team, a eu un certain succès, surtout chez Alice et Juliette. De fait, cette année nous n’avons pas joué à Mario Kart sur la WiiU. S’il faut faire avec nos, juste, 2 manettes de la Playstation 4, des parties à quatre ont quand même régulièrement été organisées quand les amis amènent leurs manettes. Ce remake de CTR n’a pas fédéré les anciens comme je l’imaginais, mais les enfants eux l’apprécient grandement avec toutes ces options de customisations et de nouveaux accessoires qu’ils débloquent petit à petit ! Lors des dernières vacances, les filles ont d’ailleurs pu découvrir que de nouveaux circuits avaient été ajoutés, dont un circuit « Noël ! »
Je me rappelle des parties folles de CTR avec madame d’il y a 19 ans !! Je découvrais avec elle tout l’univers des jeux Sony : Spyro, Crash, Croc, Medievil… mais clairement les courses endiablées de l’univers de Crash Bandicoot étaient vraiment impressionnantes, fluides, colorées, funs, cooools. (A lire : Crash Bandicoot fait le plein de Nitro)
Aux côtés de ces deux incontournables, la WiiU n’a pas encore tiré sa révérence. Minecraft reste le jeu le plus joué par les enfants, au point que le stick gauche du GamePad aura probablement besoin d’une réparation cette année. Just Dance, qui a fait son entrée aura également mis l’ambiance lors de nombreuses soirées !
The Legend of Zelda : Link’s Awakening (Switch) – Crash Team Racing (PS4) – Monument Valley (Android/iOS) – Just Dance 2017 (WiiU) – Sonic Mania (PS4) – LEGO Harry Potter (PS4) – Puyo Puyo Tetris (PS4)
Puyo Puyo Tetris (PS4)
Un croisement entre l’incontournable Tetris et la série Puyo Puyo. Difficile à prévoir, je vous l’accorde. Et pourtant voilà qui offre autant de fun à ce genre de battle puzzle qui avait fait les beaux jours il y a 20 ans avec Disney Magic et autres Bust a Move. Pour peu de disposer de 4 manettes, il est même possible de jouer à quatre sur le même écran !
De fait, jusqu’ici, j’étais toujours au courant des nouveautés à venir du constructeur d’appareils photo japonnais grâce à mes divers outils de veille, mais je souffre depuis l’année dernière d’une part d’un manque de temps, mais surtout de la disparition d’outils efficaces. Bref, je n’ai donc pas été avertis des informations qui auraient pu émaner du site Nikon Rumours ou Site Geek.
Or, la sortie de ce nouveau boitier full-frame profesionnel m’intéresse tout particulièrement ! En effet, j’attends depuis près de 7 ans un boitier digne du Nikon D700. Si aujourd’hui, le D700 ne peut plus rivaliser avec ces successeurs que furent les D600, D610, D750, D800, D810 ou le plus récent D850, aucun d’eux n’ont pu se positionner comme l’arme parfaite ! D6xx et D750 m’ont toujours donné l’impression d’être bridés, devant faire trop de concessions. En contre partie les D800 et D810 étaient moins performant en basse lumière et équipé d’un capteur imposant rendant la taille des fichiers énormes. En 2014, j’avais analysé le marché qui accueillait alors le D800, le D4 et le DF. Seul le D4 faisait mieux sur les critères qui m’importaient, mais à un tarif de près du double du prix du Nikon D700.
Au printemps dernier, je m’étais arrêté sur le Nikon D850. Ce dernier était annoncé avoir amélioré sa gestion des basses lumières (comparativement au D810), mais avec un capteur de 45MP et un tarif à plus de 3500€, on ne peut pas parler de véritable remplaçant du D700.