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Month: septembre 2012

Des photos pro en poche, le Fuji X100 ?

Des photos pro en poche, le Fuji X100 ?

Je vous en parlais il y a quelques semaines, durant les vacances d’été, une réflexion se démarquait ! Trouver une solution moins encombrante que mon Nikon D700 pour photographier certains évènements. A titre d’exemple, partir visiter Paris en famille tout en pouvant vous offrir un reportage photo de qualité, fut très éprouvant. Même monté d’un objectif fixe 35mm, l’appareil autour du coup en portant les enfants… Pfiuuuh. Si bien qu’au bout d’un moment, celui est resté dans le sac à dos.

Après réflexion autour du marché des appareils photos de qualité et peu encombrant. Hésitant essentiellement entre une solution autour du Sony NEX 5 ou 7 et du Fuji X100, j’ai finalement choisi le Fuji pour son aspect plus compact qu’un NEX + objectif.

Équipé d’un excellent capteur, digne de nombreux Reflex moyen de gamme et d’un objectif fixe équivalent 35mm ouvrant à F2, le Fuji X100 se montre sur papier, comme une excellente alternative au D700 en mode light. Sur le net une série de critiques sont apportées à cet appareil : Autonomie, vitesse d’allumage, manque de précision du viseur, compliqué à l’utilisation… Après un gros mois, voici mon sentiment sur ce Fuji X100.

Esthétiquement, personne ne niera qu’il a un très joli look rétro, mais ce n’est évidemment pas l’élément déterminant du choix d’un appareil. Par exemple, bien pratique pour protéger l’appareil la housse en cuir doit par exemple être déclipsée chaque fois que l’on veut vider la carte mémoire ou changer la batterie… le bouchon de l’objectif feutré à tendance à conserver les poussière, pas si génial…

De manière générale, il y a de bonnes et moins bonnes choses sur ce X100. Après un moment pour bien comprendre des différents modes (viseur optique/numérique ou sur écran), j’ai finalement compris que quoi qu’il arrive, je dois jongler entre le mode viseur optique et le mode macro qui impose un viseur numérique et une certaine latence, si je souhaite faire des photos de portrait. Les collimateurs AF de mise au point sont très peu nombreux, du coup l’auto-focus fait trop souvent le point sur un élément qui n’est pas le sujet voulu (pas de détection de visage visiblement). Au final, c’est en mode de sélection de collimateurs que j’obtiens les résultats les plus intéressants, et il faudra prendre garde qu’entre l’aperçu du viseur optique et le résultat le cadrage est sensiblement différent.

Les résultats en mode automatique sont assez moyens, mais ce n’était pas mon intérêt justement. Ceci dit, il est nécessaire pour chaque scènes de travailler en mode full manuel, choisir son ouverture, vitesse et ISO. De ce fait, prendre une photo manque fortement de spontanéité, surtout face à la rapidité d’action du D700. C’est pour moi le plus gros désavantage. Lorsque je souhaite prendre un sujet en mouvement, un enfant par exemple, avec un auto-focus peu précis et le mode viseur numérique (pour le mode macro) très peu réactif,.. il est bien souvent trop tard, et il faut régulièrement faire plusieurs shoots pour avoir une chouette photo !

Coté qualité de photo, les clichés sont en dessous de ce que peu faire le D700 avec l’excellent 35mm 1.4. Ceci dit, je trouve malgré tout le résultat de bonne qualité pour un appareil de cette taille. Il gère très bien les basses lumière (montée en ISO jusqu’à 6400 et ouverture à 2, c’est du tout bon !). Le piqué est un peu mou si l’on reste à F2, mais à 2,8 c’est déjà mieux. Je trouve tout de même les photos de type paysage encore trop flat à 2,8.

Le mode vidéo ne semble pas gérer la mise au point et est donc anecdotique (ou je ne l’ai pas encore compris), Par contre coté encombrement, c’est tip top…

Est-ce qu’un Nex 5 ou 7 plus encombrant donnerait meilleure satisfaction ? Est-ce que le Nikon V1 et son capteur bien plus basique aurait été bon également ? Difficile à dire…

En tout cas, il demande de pouvoir jongler avec les réglages et de comprendre à quoi il serve… comme à l’ancienne,…

Moi je l’aime bien, parfois un chouilla frustrant et dommage pour le mode video…

Mon réel regret c’est qu’il faut l’enlever de sa housse pour ouvrir la trappe et prendre la carte mémoire pour décharger les photos… s’il pouvait les balancer sur mon Dropbox comme mon Smartphone, cela aurait été génial :) :) :)

Voilà pour mes premières impressions

Intégrer Timecop/Phénix Agenda dans Google Agenda.

Intégrer Timecop/Phénix Agenda dans Google Agenda.

Petit sujet plus technique, depuis 2003 maintenant j’ai mis en place un outil d’agenda partagé pour mes collègues et moi : Timecop, devenu Phénix Agenda. Si l’outil a peu évoluer ces dernières années, il reste assez efficace. Cependant, à titre privé, je trouve l’utilisation de Google Agenda plus souple, surtout depuis que je peux l’utiliser en mode Offline depuis mon smartphone. Ceci dit pouvoir y consulter mon agenda du bureau est évidemment bien pratique. Chose tout à fait possible graçe à l’option export ICL (disponible dans les options utilisateurs de TimeCop/Phenix) et en s’abonnant à cet agenda depuis GoogleAgenda…. Le soucis était jusqu’ici qu’un problème de fuseau horaire décalait les notes de deux heures de mon agenda Google…

L’utilisation des smartphones grandissant chez mes collègues, je commençais à ne plus être le seul à avoir utilité de ceci, il fallait donc trouver une solution pour patcher cela… voici donc ce que j’ai trouvé d’efficace :

http://www.phenix.gapi.fr/forum/viewtopic.php?f=10&t=1466

dans agenda_note_export.php remplacer la ligne 154

Code:

      $subTypeExport = strtoupper(substr($zlTypeFichier,3,strlen($zlTypeFichier)));

par

Code:

      $subTypeExport = strtoupper(substr($zlTypeFichier,3, 3));
$subTzExport = strtoupper(substr($zlTypeFichier,-1, 1));

et la ligne 195

Code:

      if ($ckExportTz!= »1″) {

par

Code:

if ($subTzExport!= »S ») $ckExportTz=1;
if ($ckExportTz!= »1″) {

Ailleurs

Ailleurs

rue de la belle jardinière

Pfuuuh, cela fait des années que je dis qu’un jour j’irais vivre ailleurs, ailleurs, ailleurs…

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Normandie, terre d’accueil ?

Normandie, terre d’accueil ?

Suite de notre aventure dans le Nord de la France ! Qui me semble évidemment déjà bien loin maintenant…  (Si vous avez loupé le premier épisode, c’est par ici !)

Le très beau chateau de Balleroy

Perdu au beau milieu de la basse Normandie, dans notre petit chalet, alors un peu déçu… je constate que la destination prévue pour la soirée est tout de même à un près de 1h20 de route : Luc sur Mer, dont on m’avait recommandé sa jolie digue, ses petites cabanes le long de la plage,… et son marché nocturne du lundi. Après tant de kilomètre sur la journée, le résultat était peu enthousiasmant. Certes, la digue était jolie pour quelques photos, malgré un petit crachin de pluie. Mais la ville s’avère être très moderne et sans charisme. Le marché nocturne, ridicule, se limite à quelques échoppes à touristes… Nous rentrions donc un peu déçu de la tournure de nos vacances.

Ma Snorkys et Charly devant les girafes du Zoo de Jurques

J4 de nos vacances, il allait falloir revoir un peu le roadbook en ce 14 août. Avec un Luc sur Mer peu attractif, je devais essentiellement trouver un plan B pour le feu d’artifice du 15 aout que j’avais prévu à cet endroit. Avec déjà plus de 1h20 pour monter dans ce coin de Normandie, envisager nous rendre jusque Cherbourg ou Saint Vaast serait beaucoup trop long. C’était donc le bon moment pour sortir l’une de mes solutions de secours, tout à fait adapté à notre petite famille, la visite du Zoo de Jurques, un parc très agréable à visiter et suffisamment ludique pour Charly ! Le beau temps était de retour et nous enchainions ensuite avec le Chateau de Balleroy à une petite trentaine de minutes qui en plus d’être vraiment beau, propose le musée du ballon en son sein. Un poil trop historique pour les enfants qui en font très rapidement le tour, il a tout de même intéressé Charly qui depuis le dessin animé Là Haut s’intéresse beaucoup aux ballons.

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Super Cauldron, un Titus inconnu !

Super Cauldron, un Titus inconnu !

Blues Brothers, Prehistorik, Les Aventures du Moktar, des titres estampillés Titus qui ont grandement marqué ma jeunesse de joueur sur PC du début des années 90. A cette époque, pas de console à la maison et il faut bien admettre que ces productions françaises avaient ce petit quelques choses d’addictifs. En farfouillant dans les disquettes de jeux, en me baladant dans les magasines, j’étais alors toujours à la recherche d’autres jeux Titus, pourtant ce n’est qu’aujourd’hui que je découvre Super Cauldron qui fut dispo en 1993 sur PC, Amiga et Atari ST, les bécanes de l’époque.

Il est vrai que ce troisième opus de la série Cauldron est assez méconnu, et surtout très dur à trouver de nos jours. Le scénario est assez simple : notre sorcière bien-aimée, qui a un peu rajeuni pour le coup (il doit s’agir de la petite-fille de celle que nous connaissions dans les deux premiers volumes), cherche à remettre la main sur ses sorts qui lui ont été dérobé par le sorcier local. Commence alors une aventure qui va mener notre charmante héroïne depuis la forêt où elle a élu domicile, vers la rivière qu’elle devra traverser, jusqu’au village local et, enfin, au château de l’infâme usurpateur. (A découvrir sur GrosPixel)

Le titre s’inspire d’une série existante à l’époque notamment sur Commodore 64 et me fait penser, d’un premier coup d’oeil à Hocus Pocus d’Apogee Software. On y retrouve pourtant bien l’esprit graphique et la manière de construire les niveaux à la Titus… un peu entre Moktar et Prehistorik 2.

Diable, que j’aurais aimé découvrir ce titre en 1993 !