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Tag: Sebastian Vettel

Les F1 2023, c’est déjà reparti !

Les F1 2023, c’est déjà reparti !

Clôturée en décembre, relancée le premier weekend de mars ! L’intersaison du championnat de Formule 1 n’a jamais été aussi courte ! Je n’ai même pas eu le temps de me réjouir de la reprise, de spéculer sur les essais hivernaux ou d’entamer la super série retraçant les grands moments de la saison 2022 sur Netflix, que… Vroooum ! C’était déjà aujourd’hui le premier GP.

J’ai tout juste eu le temps de retrouver les catalogues AutoHebdo 2013 et 2003… Et surtout ce précieux petit bout de journal que mon paternel m’avait ramené en 1993, reprenant les pilotes de cette année là !

Année Max, année rouge ? Ou surprise Signée Fernando Alonso ?

Seule une semaine séparait les essais hivernaux de Barhein au premier Grand Prix sur ce même circuit. Nous passions donc très vite de l’espérance de voir briller les Ferrari à la désillusion et au retour dominant de la Redbull Honda de Max Verstappen. En revanche, la surprise Fernando Alonso sur son Aston Martin Mercedes est bien là, et il m’aura fait vibrer durant toute la première course terminant à une extraordinaire 3° place à la régulière !

Et dire qu’il en aurait fallut de peu pour revoir notre Stoffel Vandoorne dans cette voiture verte, un temps (très court) pressenti comme remplaçant de Lance Stroll blessé aux deux mains…

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Back on track

Back on track

Et voilà, le monde me semble avoir un peu recommencé à tourner. Depuis le second weekend de juillet, mes petites Formule 1 tournent en rond. Le calendrier n’est pas encore définitif, ce qui est un peu cocasse d’imaginer pilotes et équipes anticiper une saison au nombre de courses changeant. Mais de fait, les courses en Asie et Amérique semblent fortement compromises au vu de la situation encore très compliquées là-bas. Pour commencer cette étrange saison, les pilotes se sont donc retrouvé deux weekend de suite sur le même tracé, celui de Spielberg en Autriche. Il aurait été amusant de proposer le second weekend de Grand Prix en sens inverse, nous n’étions pas loin que celui-ci se déroule sous la pluie, mais finalement à la télévision, ces deux premières courses se sont montrées suffisament originales.

L’échiquier 2021 semble presque déjà formé depuis l’annonce la semaine dernière d’un retour de Fernando Alonso chez Renault pour palier au départ de Daniel Ricciardo chez Mc Laren. Dans tout ce petit manège, Sebastian Vettel, pourtant quadruple champion du monde se retrouve devant de nombreuses portes closes, comme je l’avais déjà imaginé lors de son annonce de retrait de la Scuderia il y a quelques semaines. Cette situation rend l’ambiance chez les rouges particulièrement fumantes, d’autant que leur SF1000 est bien loin d’offrir la puissance attendue. Je me suis même dit que Sebastian pourrait bien leur claquer la porte au nez.

Dimanche, nous aurons donc droit au Grand Prix de Hongrie avant deux courses à Silverstone. Entre temps, la saison de Formule E se clôturera avec 6 ePrix sur le tracé de Berlin…. Quelle place pour notre Stoffel dans tout cela. Ce dernier patiente dans sa chambre d’hôtel pour palier à toute indisponibilité de l’un des représentant de la marque Mercedes… Après le Royaume-Unis, les équipes s’envoleront pour l’Espagne dont le GP a pu être déplacé, puis la Belgique et l’Italie à Monza. Cette semaine, la FIA a officialisé que la saison se poursuivra avec une seconde course en Italie, course qui se déroulera pour la première fois sur le tracé du Mugello avant de se rendre en Russie où malgré une situation encore délicate, le GP de Sotchi semble confirmé. Cela nous emmènera jusqu’à la fin Septembre avec les 10 premiers GP de la Saison. Singapour, Chine, Japon ont préféré ne pas organiser de Grand Prix. Le Canada, un temps candidat est également écarté. Les Etats-Unis, le Mexique et le Brésil devraient être annulé et pour l’heure s’est un Grand Prix en Allemagne et un retour au Portugal qui serait parmi les candidats.

Reste que la fin de courses, les masques, pas de public et cet étrange podium donne un gout un peu différent aux courses.

F1 2020 Grand Prix d'Autriche
F1 2020 Grand Prix d’Autriche
Hammertime

Hammertime

Plus de Vandoorne au départ, la saison 2019 s’annonçait évidemment un peu tristounette, elle aura montré que le moteur Honda dans la Redbull de Max Verstappen a bien progressé, que Ferrari s’est complètement loupé dans la gestion de sa nouvelle star Chalres Leclerc aux cotés du champion Sebastian Vettel et, au final, c’est encore le même qui gagne le championnat… Même si je n’ai jamais accroché au personnage, il faut bien admettre que Lewis Hamilton a atomisé la concurrence cette année ! #hammertime

Les 7 couronnes de Schumi ne sont plus très loin, ce sera difficile de l’arrêter. Actuellement, seul Verstappen en aurait le culot. Quand je pense que je l’imaginais dans le milieu de peloton cette année avec un moteur Honda à roder dans la RedBull… rien n’est impossible ; ) Et Leclerc justement m’interpelle mon ami Grégoire ?

Un futur champion certes, mais je ne sais pas si sur un saison entière il serait déjà prêt à chiper la couronne à Lewis… Ici il a fait une bonne saison dans une écurie Ferrari un peu décousue…

Trou de mémoire

Trou de mémoire

Les années passent et je vous avoue être bien content de pouvoir compter tant sur mon blog que sur « mes archives » pour restructurer tout ce que j’ai en tête. J’en parlais il y a quelques jours, je suis passionné de Formule 1 depuis la saison 1994. Si déjà avant cela, mon paternel me rapportait quelques articles de presse et que nous regardions ensemble le GP de Spa Francorchamps à la télévision,  à l’aube de la saison 1995, j’ai commencé à acheter mes propres revues afin de ne rien rater de l’actualité de ce petit monde ! Ma revue préférée était alors « Grand Prix Spécial » en partenariat avec la RTBF et la chaine sportive Télé 21. J’ai donc pris plaisir ces dernières années à exhumer ces revues pour mettre en contraste 20 années d’écart, mais coup de théâtre, je n’ai aucune revue Grand Prix Special éditée en 1999 dans mes cartons, mais bien un unique exemplaire de Racing Special datant du mois d’avril, revue au format similaire mais traitant conjointement de la Formule 1 ainsi que du championnat de Rally. J’ai bien, par contre, les revues de l’année 2000 qui de mémoire fut la dernière année de ce magazine.

Presse - Formule 1 - Racing Spécial 04/99
Presse – Formule 1 – Racing Spécial 04/99

Se pourrait-il qu’il n’y ai pas eu de Grand Prix Special édité en 1999 ou ai-je malencontreusement éliminé cette série de revue ? Je me souviens très bien avoir fait un tri important dans mes cartons F1 avant notre déménagement. J’avais choisi de conserver bien entendu tous les Grand Prix Spécial et une partie limitée des revues AutoHebdo, essentiellement celles liées à l’ouverture et la clôture de la Saison de F1. J’avais également supprimé toutes les revues néerlandophones. Si ma mémoire est exacte j’avais particulièrement beaucoup plus de revues de l’année 1999, j’utilisais régulièrement des articles néerlandais pour préparer mes dossiers de marketing pour le cours de langue de Madame Minutello, le cas de la double livrée Lucky Strike / 555 de la nouvelle écurie B.A.R. étant un excellent sujet. Il pourrait donc être cohérent que cette augmentation de revues concurrentes et la présence de ce Racing Spécial soit des éléments qui pourraient aller dans la direction d’une non publication du Grand Prix Spécial en 1999, néanmoins, je ne serais tranquille du cas de ce trou de mémoire tant que je n’en aurais trouvé l’information officielle. Et pour l’heure, je n’ai trouvé aucune piste à ce sujet sur la toile.

Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo -B.A.R.
Presse – Formule 1 – 1999 – AutoHebdo -B.A.R.

Je me retrouve donc avec une documentation bien moins fidèle pour me remémorrer de cette saison 1999, vingts années plus tard ! L’intersaison avait été ponctuée d’une série de transfuge dans le milieu du plateau avec notamment l’arrivée de la nouvelle écurie B.A.R. motorisée par un moteur Supertec ex-Renault fondée par Craig Pollock autour du champion du monde Jacques Villeneuve qui quittait alors une écurie Williams décevante. Si les revues de présentation de la saison 1999 dont je dispose présente la monoplace dans une robe terne, la surprise fut à quelques jours du Grand Prix de Melbourne de découvrir 2 monoplaces de couleurs différentes ce qui fut rapidement précisé comme interdit par la FIA, imposant à l’écurie B.A.R. une zipette à sa tenue proposant une voiture à la livrée similaire. Lucky Strike à gauche, 555 à droite !

Presse - Formule 1 - 1999 - 2019 - AutoHebdo - Arrows
Presse – Formule 1 – 1999 – 2019 – AutoHebdo – Arrows

Parmi mes pilotes fétiches de l’époque je devais finalement, en début de saison me concentrer sur la nouvelle tentative de Michael Schumacher et sa Ferrari pour accrocher le championnat du monde puisqu’en effet, le retrait de l’écurie Tyrrell laissait mon Jos Verstappen au stand et de même Mika Salo ma 3° star devait finalement cédé sa place à Toranosuke Takagi et le néophyte Pedro De la Rosa dans l’écurie Arrows qui pouvait arboré en dernière minute une robe à la touche orangée de son nouveau sponsor Repsol.

A nouveau, Mika Häkkinen accrocha une nouvelle couronne de champion du monde obtenue à l’assaut de sa Mc Laren Mercedes, alors que le championnat des constructeurs revenait enfin à nouveau à la Scuderia Ferrari après une longue disette, le titre des pilotes échappants de peu à … Eddie Irvine. Où diable Schumi se cachait-il ? Dans son fauteuil avec la jambe dans le plâtre.

On se souviendra donc de ce crash impressionnant de la Ferrari de Michael Schumacher lors du Grand Prix de Silverstone et de son retour au bout de quelques courses seulement. Une situation difficile à gérer chez Ferrari qui devait donc mettre toutes ces chances sur le second lieutenant, au point de régulièrement demandé à Mika Salo, venu remplacé le pilote allemand de laisser passé Irvine pour qu’il revienne au championnat sur Mika Häkkinen. Une situation d’autant plus compliqué à mettre en place lorsque Schumacher reviendra pour les deux dernières courses.

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Max l’Unbelievable fils de Jos de Boss.

Max l’Unbelievable fils de Jos de Boss.

Max Verstappen - 1° victoire en F1 - Barcelone 2016 - RedBull

Première course au sein de l’écurie RedBull Racing et il leur chipe à tous la victoire ! Je vous avoue que je n’en suis même pas étonné !

Lancé dans le grand cirque de la F1 à 17 ans et quelques jours, je n’étais alors pas vraiment enthousiaste à l’arrivée si précoce de Max Verstappen, fils de Jos. Associé à Carlos Sainz Jr, cela me donnait l’impression d’une écurie RedBulBis pilotée par des « Fils de. » alors que d’autres talentueux pilotes se retrouvaient sur le carreau. Il ne m’avait pourtant pas fallu plus de quelques tours pour être stupéfait par ses aptitudes sur la piste, bagarreur, incisif… De courses en courses, il devenait évident que Max avait ce petit quelques choses qu’un Sebastian, Kimi ou Michael avaient eux aussi dans leur coup de volant

Pendant toute la saison 2015, je n’ai cessé d’être stupéfait par ses résultats régulièrement plus performant que le duo sans âme de l’écurie mère Red Bull Racing. Une écurie sans charisme depuis le départ de Sebastian Vettel chez les rouges et j’étais resté étonné que le bande à Horner ne propose pas à Max Verstappen la place de Daniil Kvyat en début de saison… mais les éléments se sont enchainés à quelques jours du GP d’Espagne.

Barcelogne 2016 - Hamilton - Rosberg - OutSuite aux frasques de Kvyat à Sotchi, Red Bull annonçait un échange de banquait entre le russe et le néérlandais. J’avais alors le sentiment qu’il allait se passer quelques choses ce weekend ! Et lorsque j’ai vu le double accrochage des pilotes Mercedes au premier tour, je savais que j’aurais dû parier gros sur une première victoire de Max Verstappen !

Et cette victoire, il a su la travailler car à l’arrière, les pointures étaient de taille pour lui dérober la première place. Kimi Raïkkonen aura probablement perdu de son image, coincé derrière ce prodige de pas loin de 20 ans plus jeune que lui, sans pouvoir le pousser à la faute !

Max, ne réalisant probablement pas encore, devenait le plus jeune vainqueur en Grand Prix.

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