Archives de
Tag: jeunesse

Le Pixel 2 est mort, vive le Pixel 3a

Le Pixel 2 est mort, vive le Pixel 3a

Le Google Pixel 3a
Le Google Pixel 3a

Diable, ce Weekend, mon fidèle, mon précieux Google Pixel 2 m’a abandonné en traitre. Coup de froid ? Obsolescence programmée ? Difficile à dire, mais ce dernier s’est retrouvé bloqué sur un écran noir avec la torche allumée. Google Black Screen of the Death.

Rien n’y a fait, j’ai bien tenté quelques tuto et simplement essayer de lui imposé un redémarrage, car le système s’active, je peux par exemple constater qu’il est reconnu via le Bluetooth, mais l’écran reste définitivement éteint.

Enfin reconnecté. Le Google Pixel 3a n’a pas la noblesse de ses grands frères Pixel, Pixel 2, 3 ou 4 avec sa finition plastique, mais côté photophone, il reste à mettre la concurrence au défi de faire aussi bien. Sans retouche, ces deux premières photos sont excellentes.

Impossible pour moi de rester sans téléphone plusieurs jours, voire semaines, le temps que ce dernier retourne en Grande Bretagne et ici en Belgique, aucune autre option que la série Google Pixel ne peut me proposer un téléphone parfait coté photo, ce qui est l’une des principales caractéristiques que j’attends d’un smartphone.

Dans la famille Pixel, le Google Pixel 3 est venu prendre le relais depuis l’automne dernier, rapidement complété par un Google Pixel 3a aux performance photo similaire, le tout dans une coque tout plastique mais vendu sous la barre des 400€, soit prêt de deux fois moins cher, et je le tenais à l’œil depuis le printemps.

Entre temps, le Google Pixel 3 a également vu son prix descendre, se rapprochant des 500€ puisque ce dernier a été remplacé en octobre par le Google Pixel 4. Quoi qu’il en soit, ici en Belgique, aucun des Pixels n’est vendu en magasin. Mon importateur habituel se montrant même en difficulté pour m’en dénicher un, je me suis donc reporté sur le site de e-commerce flamand Alternate.be chez qui j’avais déjà profité de quelques promotions intéressantes dans son catalogue de jouets.

Lire la suite Lire la suite

Papa, j’aimerais bien lire la suite…

Papa, j’aimerais bien lire la suite…

Des livres à la maison, il y a en beaucoup ! Il y eu un temps où je passais beaucoup plus de temps d’ailleurs à lire des histoires aux enfants et depuis déjà longtemps, j’essaie de trouver avec notre grand Charly un livre auquel il accrocherait jusqu’au bout. Il apprécie d’ailleurs lire des livres jeunesses illustrés, mais jusqu’ici j’avais un peu de mal à le faire évoluer à quelques choses de plus « grand ». Il a bien accroché à quelques unes des BDs que je lui ai fait découvrir et plus spécifiquement Lucky Luke, Marsupilami ou plus récemment Mélusine, mais sans vraiment être accroc. J’ai entamé avec lui divers romans amusants comme « Danger, Robot rangeur » chez J’aime lire  ou Le Petit Prince et l’Histoire sans Fin…

Il y a quelques mois, il avait commencé à se plonger seul dans le roman « Frigiel et Fluffy« . L’aventure se passant dans un univers Minecraft qu’il apprécie tout particulièrement a évidemment, comme je l’avais espéré donné gout à se replonger dans l’aventure… puis petit à petit, le livre a fini pour se perdre sur son bureau.

Là où « La Cabane à 13 étages » s’est faite dévorée en quelques jours ! Je me souviens avoir vu la couverture de ce roman chaudement recommandé pour les enfants de l’âge de Charly et m’être dit que c’était typiquement le genre d’univers que Charly aimerait inventer dans sa tête… une cabane géante dans les arbres !

Bon hormis cela, je n’avais pas vraiment d’idée de ce que contenait ce roman.

– « Je l’ai presque fini » m’avait-il répondu…

– « Et cela parle de quoi »

– « Alors, ils ont fabriqué des molécules qui se sont transformées en sirène. Le copain de Andy en est tombé amoureux, mais Andy pensait que c’était un monstre… Et c’était vraiment devenu un monstre… et puis après il y avait un endroit où il y avait des singes partout… »

Ben dit donc, ça à l’air complètement dingue ce truc…. en feuilletant le roman, je vois que cela se mélange entre roman, strip BD et illustration dans un style très modernes ! Bref, il a accroché et cela me fait vraiment plaisir !

– « Papa, j’aimerais bien lire la cabane aux 26 étages, et puis au 52 étages… »

Jamais sans Harry

Jamais sans Harry

Lorsque j’ai rencontré pour la première fois, le petit sorcier à lunette, j’étais devenu un homme. La magie de l’enfance semblait s’être éloignée de moi et le hasard m’a fait glisser la galette de ce jeu pour ‘gamins’ dans ma Playstation. Je me suis alors retrouvé dans un univers envoutant, lumineux, crapahutant autour du château de Poudlard à la recherche du crapaud de Neuville. Intrigué par ce premier contact, j’ai alors découvert dans de mauvaises conditions le premier film… avec mes yeux de « grands »…

Joyeux Noël Papa !
Joyeux Noël Papa !

Puis un jour, à Noël j’ai déballé mes paquets pour découvrir… les 5 premiers tomes d’Harry Potter ! Sacrebleu, moi qui n’avais plus lu un roman depuis la fin de l’école secondaire, voilà qui était audacieux ! Harry Potter m’a alors réconcilié avec les livres sans image, m’offrant à construire dans ma tête des dédales d’escaliers magiques, de vastes forêts interdites et de nombreux êtres enchanteurs. Je dois bien admettre que j’aurais aimé avoir 10 ans en 2001 afin de grandir aux cotés d’Harry Potter…. Me perdre dans la forêt interdite à la recherche d’Hagrid avec mes amis Ron et Hermione, armés de nos baguettes magiques…

Les années ont passés depuis que JK Rowling a écrit le mot FIN, mais pour moi, tout est prétexte à me replonger dans la magie d’Harry Potter Expositions, pièce de théâtre, ré-éditions illustrées et depuis l’année dernière les Audiobooks.

En effet, au printemps dernier, je terminais le lancement de l’un de nos MOOCs ULiège : Il était une fois la littérature de jeunesse, dont les inscriptions ont justement été relancées ces derniers jours ! L’un des modules de ce dernier se consacrent tout particulièrement sur les Livres Numériques, Livres Augmentés et Audiobook.

J’ai beau être un papa geek, j’ai toujours un peu de mal à aborder le passage de l’objet physique, que ce soit un livre ou un jeu à son pendant numérique volatile ! Mais je me suis dit, si je dois tenter l’aventure de l’Audiobook, pourquoi ne pas en profiter pour reprendre le 1° tome d’Harry Potter afin de me replonger dans tous les petits détails oubliés depuis ma lecture il y a près de 15 ans déjà…

Lire la suite Lire la suite

Chapitre 40

Chapitre 40

Et voilà, c’est parti ! J’entame donc le chapitre 40 de ma vie. Certes, je dois bien admettre que ma barbe grisonne, et que je prends un peu d’âge, mais cela me semble être tout de même un beau chapitre à écrire. Voir grandir les enfants, assoir de grands projets, s’entourer des personnes qui comptent…

Et quelle belle surprise ma Snorkys a encore réussi à me faire. J’étais heureux de faire la fête avec vous tous, retrouver la bande de Virtual Music et rejouer quelques morceaux… et partager cela avec ceux qui n’ont pas connus cette époque ! Cette soirée est passée tellement vite, j’ai à peine sorti le nez du Synthé de Xavier pour aller cherche un si bon Burger que l’on m’appelait pour ouvrir le bal sur « Ce Rêve Bleu », le slow de notre mariage dont nous fêterons les 10 ans cette année. Le temps de parler à l’un ou l’autre et déjà la soirée se terminait. Ah bien sur j’aurais aimer vous faire danser sur du Confetti’s, Technotronic, Haddaway et 2 Unlimited… mais on aura à peine eu le temps de mettre un pied dans les années 90 avec Benny B que déjà s’était l’heure des bons desserts d’Une Gaufrette Saperlipopette ! Quel beau souvenir, bon, ça manquait d’un Viens Au Soleil avec mon P’tit Val… Mais on ne devient pas papa 2x tous les jours non plus : )

La 40aine ne me changera pas, je ne vais pas moins vous ressortir les souvenirs d’antan ! Les musiques d’il y a 20 ans, les jouets de notre jeunesse,… J’en ai encore des choses à raconter, mais pour l’heure, profitons de ces quelques photos souvenirs !

Toys that made me – Micro Machines

Toys that made me – Micro Machines

La quarantaine approche, difficile étape qui n’a que l’avantage de voir de nombreuses références à mon enfance prendre vie autour de moi. Entre la série Stranger Things : apologie aux années 80, la ré-édition de la Mini NES de Nintendo ou encore des Playmobils Ghostbuster, j’ai découvert il y a quelques semaines, une série de documentaires signés Netflix qui s’attardent sur les jouets qui ont fait de nous ce que nous sommes : Toys that made us.

Si les 4 premiers épisodes s’attardent sur les figurines Star Wars, Barbie, les Maîtres de l’Univers et G.I. Joe… J’ai pour ma part envie de m’attarder sur les Micro Machines, c’est toutes petites voitures qui se sont invitées dans les cours de récré chez nous au cours de l’année 1988. C’était en 1987 que la société américaine Galoob lançait sa gamme de véhicule « micro », 10x plus petit que les Matchbox, Majorettes et Hotwheels avec lesquels les enfants jouaient jusque là !

Janvier 1989, mon anniversaire avec les copains. Merci pour les Micro-Machines !
Janvier 1989, mon anniversaire avec les copains. Merci pour les Micro-Machines !

Je me souviens très bien avoir reçu ma première série de 5 Micro Machines après une longue journée à l’hôpital à prendre des décharges électriques dans les jambes. En sortant, ma maman m’avait proposé d’aller chercher un petit cadeau dans la boutique et j’y avais choisi un set de voitures classiques, plus que probablement la City Super Collection #2. Dès 1989, les Micro-Machines allaient être mon « cadeau » de prédilection. Tant pour l’anniversaire de mes 11 ans que sur la liste de Saint Nicolas.

Très vite, la mode des Micro Machines devient virale et les « échanges » entre copains s’imposent ! Je me souviens avoir très rapidement échanger mes véhicules de constructions reçu de ma petite voisine Annick pour mon anniversaire contre d’autres voitures. Non pas que je n’appréciais pas ces derniers… Les échanges, j’adorais cela ! Cela faisait partie de la Micro Machines Mania !

 

Lire la suite Lire la suite