Apple vient de mettre en ligne et en vente le nouveau MAC Studio, nouvelle référence pour le montage vidéo sous Final Cut Pro X tirant parti de la nouvelle puce M1 Ultra. Couplée au nouveau « Studio Display », l’ensemble vient enfin proposer un remplaçant à l’iMac Pro sorti en 2017. Si le cout reste élevé, la bonne surprise est qu’il est finalement un peu moindre que celui de son prédécesseur…
Apple n’a pas rogné dans la connectivité de son MAC Studio.
Bref, cette annonce était attendue, les plus anciennes machines de mon parc de station de montage datent de 2017 et se font un peu trop ancienne que pour migrer à la nouvelle génération 10.5 de Final Cut Pro X, entièrement repensé autour des processeurs Apple M1 lancés il y a 1 an et demi.
Les approches réductrices d’Apple me faisaient craindre un strict minimum côté connectivité ! Il n’en est rien, le MAC Studio propose 2 ports USB-C/Thunderbold 4 et un port SD en façade et 4 ports USB-C/Thunderbold 4, 1 port HDMi, 1 port Ethernet et 2 ports USB 3 à l’ancienne. Soit rien de moins que ce que proposait l’iMac Pro !
A l’image de Samsung, Google se prépare à présenter son premier Smartphone pliable, le Pixel Fold.
D’abord annoncé en septembre dernier pour fin 2021, le projet semble depuis reporté à la fin de cette année. Mais la question reste toujours la même : Un smartphone pliable, génial ou pure gadget ?
Difficile à l’heure actuelle de s’en faire une idée. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois de prendre quelques minutes en main le Samsung pliable. Une fois déplié, on ne peut que constater la petite différence dans l’écran… Quid du pratique et de la résistance.
Pour ma part, je jongle entre Smartphone et Tablette pour des fonctions bien différentes, et j’apprécie dès lors que l’autonomie de mon iPad soit bien séparée de celle de mon smartphone. L’iPad n’étant pas en permanence connectée à de la 4G et sollicité de manière permanente comme l’est un téléphone. Il est donc toujours opérationnel, lorsque je veux prendre des notes au stylet.
Activer l’internet mobile de VOO, ce n’est pas automatique !
On pourrait croire qu’il suffit de mettre sa carte SIM dans son nouveau numéro de téléphone, et tout fonctionne, et bien non ! Cela ne vaut que pour les « grands opérateurs » belges que sont Proximus, Orange ou Base. Lorsque vous êtes par exemple abonnés VOO, cette automatisation ne fonctionne que sur certaines « grandes marques », Apple ou Samsung par exemple. Le Google Pixel lui, n’est pas reconnu, et vous aller devoir entrer vous-même tous les paramètres nécessaires à pouvoir utiliser la 4G ! Je vous avoue que je suis resté un peu sur les fesses lorsque le technicien m’a expliqué cela, néanmoins,… celui-ci s’est montré très efficace pour régler tout cela !
J’ai récemment, ajouté un numéro mobile depuis mon abonnement VOO. Voilà près de 20 ans que je suis client Proximus et Mobistar/Orange et c’est donc avec étonnement que j’ai pris la nouvelle du technicien « L’internet mobile sur le réseau VOO, cela ne s’active pas automatiquement ! ».
En réalité, chez les deux opérateurs belges principaux, je n’ai jamais eu qu’à pousser ma carte SIM dans le téléphone et zou, tout fonctionnait automatiquement. Chez VOO, c’est un principe en recevant un SMS que les choses s’activent, mais…. cela fonctionne en général uniquement sur les téléphones les plus communs… Comprenez, les Samsung et les Apple !
Bon, je m’inquiète dès lors un peu avec le technicien, ici on est sur des Google Pixel, vous savez, c’est excellents smartphones si difficile à trouver en Belgique ! Et bien no, panique, ceuxi-ci se retrouvent bien dans le « pas à pas » que propose VOO pour un très grand nombre d’appareil, afin de faire les réglages manuellement !
La semaine dernière, notre équipe de production des MOOCs uLiège était à Ax-Les-Thermes afin de participer à la 18° édition du colloque Ludovia, d’une part pour présenter les résultats de son étude sur l’utilisation de nos MOOCs pendant la période COVID, mais également pour faire le plein d’idées numériques pour la rentrée.
Avant la publication d’un document plus officiel qui rassemblera les notes de chacun, je me conserve ici les miennes.
Je me suis régulièrement intéressé à des ateliers présentant des retours d’expériences, idées et outils permettant de ludifier des phases d’apprentissage. Parmi celle-ci l’approche Escape Game me semble relativement abordable à mettre en place.
L’Académie de Toulouse avait par exemple choisi de présenter une série d’outils numériques à utiliser dans ses Edulab au sein d’un Escape Game, soit une série d’énigmes à résoudre en manipulant les différents outils numériques qu’ils peuvent mettre à disposition des enseignants.
Point important, un moment est pris pour expliquer le concept de l’Escape Game et la finalité de l’expérience.
Un Merge Cube, cela ressemble à ceci !
On retrouvera par exemple un Merge Cube à manipuler avec un casque VR (ou depuis un Smartphone). Ce genre de cube à imprimer et coller comporte des QR codes sur ses faces qui permettent d’afficher et manipuler des « objets virtuelles » en 3D.
Au sein d’un Escape Game, ce concept peut-être intéressant à mettre en place avec une personne qui manipule et un groupe qui doit trouver d’autres éléments connexes via d’autres sources. Un peu dans la lignée du jeu « Keep Talking and Nobody Explodes » que présentera plus tard l’équipe de Canope.
En soit, l’utilisation d’un Merge Cube peut également offrir une expérience à faire chez soi au sein d’un MOOC… à investiguer.
Ce fut l’occasion également de repérer deux autres outils intéressants. D’une part Thinglink, un outil permettant de créer des images et vidéo en 360° avec une couche d’interactivité, de quoi exploiter notre caméra Vuze. L’outil se montre simple et efficace, mais il faudra rester attentif à son coût calculé par étudiant, ce qui peut-être limitant dans un projet massif tel qu’un MOOC.
Créez facilement des expériences attrayantes pour les salles de classe et l’apprentissage à distance
L’autre outil, plus simple se nomme Lockee, ce petit outil en ligne permet de créer des accès restrictifs basés sur un code à remplir ou un QR-Code à scanner. De quoi concevoir un dispositif d’Escape Game simplifié.
Lockee.fr permet de créer des cadenas virtuels (numériques, à directions, à schéma, etc.) déverrouillant l’accès à un contenu (texte, image, son, lien ou vidéo externe).
Ludovia18 – Cécile Cathelin et Gaëlle Hallez
Je me suis ensuite intéressé à un retour d’expérience sur l’utilisation de Podcast audio dans la pratique pédagogique d’enseignants dans un lycée d’Orléans-Tours dans un cours de français. Le projet permet de réactiver les acquis, adapter le discours et les compétences orales. Il propose également de travailler l’écriture du scénario et du storyboard et bien évidemment différentes compétences numériques.
Aux cotés du traditionnel Audacity, les enseignants ont surtout utilisé Soundtrap, un outil de montage audio multi-pistes en ligne et gratuit qui permet par ailleurs, dans ses services facturés d’ajouter une couche collaborative.
Soundtrap, Le studio qui vous suit partout
Anchor.fm a également été utilisé, soit comme outil de conception ou de promotion. Les podcasts étant ensuite partagés au sein des établissements ou sur la plateforme Podcastics.
Afin d’enrichir le podcast, les enseignants ont pensé à réaliser une infographie regroupant l’ensemble de l’information. Le projet aura également permis de sensibiliser les étudiants à la problématique du RGPD et des droits d’auteur.
l’utilisation des #MOOCs uLiège pendant le #confinement
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l’utilisation des #MOOCs uLiège pendant le #confinement
Faire un tube dans son salon avec un iPad et Garage Band, mon nouveau synthé IK Multimédia iRig i/o 25 contrôlant l’application gratuite Audiokit Synth One et le micro du fiston. Voilà l’objectif que je m’étais donné !
Les vacances sont proches. Maintenant que Charly a terminé son CEB, j’ai sorti mon nouveau mini clavier IK Keys de 25 touches pour tenter de voir si l’on pouvait vraiment faire un tube avec un son iPad et Garage Band. J’ai chipé le micro du fiston et pris un peu mes marques sur ce genre d’approche linéaire que je connais moins… Il y a eu cette basse qui m’a rappelé le premier studio de musique dans lequel mon ami Pierrick Hansen m’avait emmené. Dans sa cave, avec un Amastrad qui chante Danser/Bouger… Depuis ce jour je me suis dit que moi aussi je pouvais faire de la musique ! »