Allé, aujourd’hui je vous reparle un peu de cet époque où je composais régulièrement de la musique puisqu’en ce mois de septembre, j’ai enfin finalisé la remise en ligne de mon album « Popbuster » initialement sorti en mars 2005.
A cette époque, pas encore de grande plateforme de partage pour les musiciens, et c’est sur serveur FTP que se partagera d’abord l’album au coté d’un sympathique site web HTML, avant sa mise en ligne sur la plateforme Last.FM 2 ans plus tard…
Si plusieurs des mes albums anciens et nouveaux ont par la suite été partagé sur Jamendo, Bandcamp ou Spotify, depuis la disparition de Last.FM il y a déjà plusieurs années, Popbuster avait disparu de la toile et je m’étais mis l’objectif cette année de vous le proposer à nouveau, avec l’ajout de quelques bonus.
L’année 2005 vient alors de débuter et j’approche de mes 10 années de créations musicales dans le petit cercle fermé du Sound Tracking, cette technique de composition musicale propre à l’Amiga et la Demoscène en général ! Entammé durant l’été 95 sur Fast Tracker, j’ai alors déjà dépassé le millier de compositions, dont la plupart composées avec Impulse Tracker tournant en MS-DOS !
Mais depuis quelques mois, un sérieux tournant s’est opéré, me donnant l’envie de donner une toute autre direction à mon prochain album signé Cyborg Jeff, succédant au style Dance & Trance de « Let the Sun Shine« . (Album sorti décembre 2003.)
En ce temps-là, je passais mes soirées non pas sur Netflix, mais sur les forums de Trackers@Work, OverclockingRemix ou encore Nectarine Radio, voir à chatter sur MSN avec Toad autour de ses nouveaux projets de la Boué Team…
En effet, voilà une année que j’ai rejoint la communauté en ligne « Trackers@Work » qui m’a donné à explorer d’autres genres musicales, mais également d’autres outils et tout spécialement Jeskola Buzz Tracker.
Avec ce Tracker moderne et mon nouveau PC Intel Pentium IV sous Windows XP, je peux maintenant contrôler une série d’instruments virtuels (VSTi) me permettant d’ajouter plus de voix, des accompagnements orchestraux ou encore de la guitare !
Si vous n’y comprenez pas grand chose, je vous pardonne, en ce temps là, Internet était encore remplis de coins secrets où l’on faisait de belles rencontres et ces rencontres naitrons de nombreux projets musicaux à retrouver dans cet album : Crazy Man, Gazus Snake, Vanisher III, Pops125, Phenixir, Lightning, Gdream, Xenon, Virgill, Toad, Alex Carciore, Jessica Bagabo, Moby,…
Je vous invite à petit plongeon dans le Cyborg Jeff du milieu des années 2000 ! A la recherche d’une touche « Pop » je n’en oublie pas pour autant mes sonorités préférées qui font l’esprit Cyborg Jeff.
Popbuster est actuellement disponible en exclusivité sur Bandcamp
Pendant toute l’année, j’aime à compléter mon tableau Pinterest « Xmas Gift for a Geek » où je glisse les nouvelles BDs, les jeux qui sortent du lot, les livres de playhistoire, les albums CD de musique originaux, les jeux de société qui m’intriguent, les vêtements Hypes et tout autres geekeries. Parfois même le Père Noël s’en inspire vraiment et bien évidemment j’aime à faire le point ici de toutes ces choses alléchantes !
Il est vrai que je ne ne vous parle par souvent de jeux de société et pourtant, j’y joue probablement tout autant qu’aux jeux vidéo… et j’ai me sens très vite attirée par une boite ou un plan de jeu.
Or il y a quelques semaine, mon ami, le talentueux Sylvain Sarrailh(à qui je dois les diverses illustrations de Cyborg Jeff) avait annoncé la sortie du jeu de société Welkin imaginé par Fabien Tanguy chez Ankama pour lequel il a réalisé les magnifiques illustrations.
Il ne s’agit pas de sa première réalisation dans le domaine du jeu de société, puisqu’il avait également travaillé en autre pour La Légende du Cerisier sorti chez Iello il y a deux ans.
La semaine dernière, en me promenant dans mon magasin favori de BDs et jeux de société liégeois, quelle ne fut pas ma surprise de trouver Welkin sur la pile des nouveautés. Il faut bien admettre que cette boite donne envie à découvrir de quoi il en retourne. Ramené à la maison, Charly lorgne également sur celle-ci : « Waouw, des maisons qui volent ». Une ville volante ! Et même un jeu où l’on serait un architecte qui construit tout cela !
Allé, promis, on y jouera ce WE, Charly !
Ce que nous avons fait. Je vous avoue, qu’il n’est pas si facile pour moi d’organiser une partie à 2 avec mon grand de 10 ans qui implique que les 3 filles jouent à autre chose… Surtout s’il faut lire et comprendre un mode d’emploi. Mais fort heureusement si la durée d’une partie est estimée à 40 minutes, les règles sont simples à prendre en main.
Il y a 3 phases clés dans Welkin, et il faudra choisir l’une d’elle par tour.
Ouvrir un chantier de construction
Miner des ressources (idéalement utile à la construction du chantier)
Utiliser les ressources pour potentiellement finaliser un chantier.
Le but du jeu est de s’enrichir de la vente des chantiers terminés, mais la valeur de ceux-ci sera dépendante du marché des ressources végétale, animale, cristaux magiques, minerais,…
En effet, au moment de choisir un chantier, on retrouvera sur certaine carte la possibilité de faire une action qui modifiera le cours des ressources, ce qui poussera à choisir des chantiers exploitant des ressources à plus grande valeur de revente… et chaque chantier terminé offrira des actions bonus à effet unique à utiliser en cours de partie.
Charly a très vite accroché au gameplay, et la majeure partie de ces nuances tout en prenant plaisir à construire les bâtiments qu’il trouvait jolis.
Lui comme, moi aurions trouvé chouette qu’il y ai un petit plus encore au choix des cartes construites sur le résultat… Mais je lui répondu, que l’on testerait ensemble « Les Bâtisseurs » qui devraient alors bien lui plaire également ; )
J’ai eu l’occasion de tester une soirée le PSVR de Sony, son équipement de réalité virtuelle PS4 sorti fin 2016. Première surprise en étonnant le package de Papy, il y a une sacrée farfouille de câbles ! En gros, le casque se branche sur une box qui doit être alimentée et connectée en USB sur la console. Sur cette box doit également transiter le signal sortant de la PS4 vers la Télévision. Enfin, il faut également connecter une caméra à la Playstation… Wouf, ça m’avait l’air bien moins compliqué avec les équipements VR HTC utilisés dans le MOOC « Agir pour Sa Santé« .
Coté confort de vue, moi qui porte des lunettes, je ne suis pas vraiment convaincu de ce PSVR qui doit se porter par dessus ma monture. Le HTC Vive tout comme l’équipement Samsung testé dans le DreamCatcher de Bobbejaanland se porte sans lunette et offre la possibilité de corriger ma vue. Bref, avec le PSVR, j’ai l’impression d’avoir un lourd appendice pas très confortable et une vision perfectible…. Et quoi qu’il en soit, au fond, la qualité d’image est assez médiocre.
Si le résultat n’est pas trop marquant dans une petit jeu amusant et coloré tel que Playroom VR : SOS Robot, c’est assez grossier sur Résident Evil 7 VR. Le premier est donc un petit jeu dans lequel vous êtes immergés dans un univers très coloré à la sauce Nintendo où vous devrez aider un petit robot à sauver ses amis. Si le jeu est sympathique, être immergé derrière le petit robot tout en pouvant le diriger est assez perturbant… C’est un peu comme si vous jouiez avec un petit robot téléguidé. S’il ne s’agit ici qu’un genre de mini-jeu, ce dernier devrait évoluer en un jeu complet d’ici le mois d’octobre sous le nom de Astro Bot Rescue Mission.
Aah, ce que j’aime les vacances en France ! D’autant que cette année nous partions « à l’aventure » dans une contrée encore non-explorée entre Arcachon et Bayonne, de quoi découvrir les Landes et même le Pays Basque. Comme je vous en parlais début du mois en goupillant le Road Book, nous avions choisi de découvrir le Camping Sandaya du Col Vert. L’année dernière nous avions testé la chaine Feerix à Marseillan. J’y avais très apprécié les animations pour les enfants, mais j’étais assez déçu du confort de notre « Mobilhome ». Ici, avec un standing 4 coquillages et malgré un modèle en 40m2 pour nous 6, j’ai été agréablement surpris de l’optimisation des lieux. Fini de me cogner partout ou ne savoir où m’assoir. De manière générale, le camping était moins aride qu’à Marseillan et la piscine, tant pour les grands que les petits était très chouette et je n’ai pas eu l’impression qu’il y ai eu trop de monde. Nous avons pu profiter de la location de vélo pour aller faire des balades. Impossible de mettre tous les vélos dans la voiture, mais j’étais tout de même content d’avoir pu glisser le vélo d’Alice et Juliette au dessus des bagages, dans le coffre, histoire que les filles poursuivent leur maitrise du deux roues !
Nous n’avons pas eu l’occasion de beaucoup profiter de la plage au bord du lac car bien sur nos vacances sont toujours remplies de visites et cette fois encore nous aurons parcouru pas loin de 4000km en 10 jours. Enfin, reste que les activités dans le camping m’ont du coup semblé un peu en retrait face à Carabouille et Gauffrette qui « mettaient l’ambiance » au camping Féerix ; )
Bref, je nous avais concocté un sacré Roadbook dont nous n’avons pu faire que quelques embranchements, de quoi envisager donc revenir dans cette région qui m’a vraiment agréablement plue… Un petit mélange entre les Polders de notre Mer du Nord et les Hautes Fagnes, bref en route pour nos vacances d’Arcachon à Bilbao en passant par San Sebastian, Biscarosse ou encore Espelette…
J1. Hossegor : Surf, Rollers et glaces
Partis un peu plus tôt que d’habitude pendant la nuit, le contournement de Paris s’est passé sans encombre et nous arrivions, pauses comprises en fin de matinée à notre Camping du Col Vert. Le temps de découvrir celui-ci, la petite plage au bord du Lac Léon, le petit restaurant, notre « cottage » et nous nous empressions d’aller découvrir la piscine sous un soleil radieux ! J’étais un peu inquiet, qu’en pleine saison, celle-ci ne soit noire de monde, rendant la gestion des 4 petits monstres, mais il n’en fut rien. L’espace « enfants » (jusqu’à 10 ans) était d’ailleurs plus qu’agréable et notre petite sirène Rose s’y est donné à coeur joie.
En fin de journée, malgré le gros 1000km parcouru, nous prenions à nouveau la route pour passer un moment à Hossegor, « capitale » du Surf et des rollers. Comme beaucoup de stations balnéaires de la région, Hossegor se coupe en un coté plage et un coté centre. Ce dernier se situant au bord d’un lac aux eaux plus paisibles. Avec ces magnifiques villas et son coté un peu chic, le centre d’Hossegor m’a bien plu et j’y ai mangé, toutes régions de France confondues, les meilleures glaces qui soient ! Régulièrement l’idée de refaire étape à Hossegor en cours de journée s’est d’ailleurs envisagée… pour les glaces, les magasins ou encore le parc de jeux pour enfants… mais notre soif de découvertes nous a emmené toujours un peu plus loin.
J2. Dans le bassin d’Arcachon
Alors qu’en Belgique, il fait chaud avec un soleil qui ne semble jamais vouloir s’éteindre, au bord de l’Océan, non loin des Pyrénées, la météo est un plus capricieuse. Avec un tel roadbook, il s’agit de bien faire ses choix. J’avais donc prévu pour cette 2° journée de nous rendre à Gujan Mestras, la ville aux 7 ports au bord de bassin d’Arcachon, d’y louer des vélos et se faire une grande balade avant de terminer la journée à Arcachon, voire se rendre jusqu’à la Dune du Pilat. Mais changement de programme, arrivés à Gujan Mestras… nous sommes restés assez perplexes quant à cette étape. Je dois bien admettre que les différents lieux à visiter autour du bassin, et de manière générale dans la région ne permettent pas vraiment de se faire une bonne idée de l’intérêt ou non d’y faire étape au départ de leur site internet. Dans les faits, Gujan Mestras étale ces 7 ports dans un genre de bassin ostréicole plutôt industriel et le long d’une voie de chemin de fer. Après deux tentatives d’arrêt sans y trouver d’âme… nous avons donc repris la route jusqu’à Arcachon.
Ville plus importante, très appréciée de Napoléon pour ses bienfaits thérapeutiques, Arcachon offre un très bon compromis entre ambiance commerciale, plage, architecture et histoire. J’aurais aimé y rester un peu plus longtemps pour y découvrir la ville d’hiver et ces villas d’époque. Après une pause restaurant sur la place du marché, nous avons été faire un petit tour en bateau voir de loin, certes, mais voir tout de même l’île aux oiseaux et la Dune du Pilat, deux attractions typiques de la région. C’était une première pour notre grande famille que de monter dans un bateau, et les enfants ont grandement apprécié cette excursion d’une heure en mer.
Le retour fut ponctué d’un peu d’aventure supplémentaire, la mort de notre GPS, alors que nous étions à plus d’une heure du camping. Il aura fallut se reposer sur un Google Map pas vraiment adapté à la conduite accroché avec les chouchous de Rose à notre feu TomTom…
Cette « virée » vers le nord, du coté d’Arcachon aura pour finir été la seule de nos 10 jours de vacances. il restait pourtant encore tant à y découvrir, comme tout le coté du Cap Lège-Ferret ou le petit port de Biganos… une autre fois peut-être…