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Tag: reflex

Surprise, Nikon présente son D780

Surprise, Nikon présente son D780

C’est une petite surprise pour la rentrée, je découvre que Nikon vient d’annoncer la sortie d’un Nikon D780 lors du CES 2020, un nouveau boitier qui sera disponible dès la fin janvier.

Le nouveau Nikon D780
Le nouveau Nikon D780

De fait, jusqu’ici, j’étais toujours au courant des nouveautés à venir du constructeur d’appareils photo japonnais grâce à mes divers outils de veille, mais je souffre depuis l’année dernière d’une part d’un manque de temps, mais surtout de la disparition d’outils efficaces. Bref, je n’ai donc pas été avertis des informations qui auraient pu émaner du site Nikon Rumours ou Site Geek.

Or, la sortie de ce nouveau boitier full-frame profesionnel m’intéresse tout particulièrement ! En effet, j’attends depuis près de 7 ans un boitier digne du Nikon D700. Si aujourd’hui, le D700 ne peut plus rivaliser avec ces successeurs que furent les D600, D610, D750, D800, D810 ou le plus récent D850, aucun d’eux n’ont pu se positionner comme l’arme parfaite ! D6xx et D750 m’ont toujours donné l’impression d’être bridés, devant faire trop de concessions. En contre partie les D800 et D810 étaient moins performant en basse lumière et équipé d’un capteur imposant rendant la taille des fichiers énormes. En 2014, j’avais analysé le marché qui accueillait alors le D800, le D4 et le DF. Seul le D4 faisait mieux sur les critères qui m’importaient, mais à un tarif de près du double du prix du Nikon D700.

Comparaison des mes boitiers sur DXOMark
Comparaison des mes boitiers sur DXOMark

Au printemps dernier, je m’étais arrêté sur le Nikon D850. Ce dernier était annoncé avoir amélioré sa gestion des basses lumières (comparativement au D810), mais avec un capteur de 45MP et un tarif à plus de 3500€, on ne peut pas parler de véritable remplaçant du D700.

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100% e-Media : Nikon présente son D5

100% e-Media : Nikon présente son D5

Je garde toujours un oeil sur l’évolution des boitiers photo et tout spécialement ceux de Nikon. En ce début d’année, le fabricant japonais vient d’annoncer la sortie imminente de son nouveau boitier pro, le Nikon D5 venant remplacer les D4 et D4s initialement sorti il y a 4 ans, puis relifté dans sa version ‘s’ en 2014. Dans notre travail de photographe de mariage, nous avons choisi d’investir dans le Nikon D4 qui se montrait alors comme l’arme la plus redoutable à la réactivité et l’autonomie nécessaire à ce métier, mais également offrant d’excellentes performances en environnement sombre. Le prix de ce dernier restait alors fort élevé fleurant les 5000€, nous le complétions d’un de notre brave Nikon D700 comme deuxième boitier.

Avec la sortie de son D5, Nikon passe du coté obscure avec un capteur pouvant gérer de 100 à 102 400 ISO (Le D4 pouvant monter jusqu’à 12 800 ISO) pour la bagatelle de 7000€. Quand même ! Coté prix, cela fait mal également pour son nouveau Nikon D500 un appareil photo semi-pro au format APSC venant remplacer le D300, nouveau boitier dont le tarif est positionné au dessus d’un Nikon D600 ou l’ancien D700. Oui, ça pique chez Nikon !!

Pas de folie des grandeurs du côté de la définition. Même si le D5 gagne 4 Mpx par rapport aux D4/D4s, il demeure loin des 24 Mpx que Nikon propose sur ses reflex APS-C grand public, et à des années-lumière des 42 Mpx d’un Sony Alpha 7R II. Qu’ils semblent loin aussi, les 24 Mpx du Nikon D3x… Rappelons toutefois que le concurrent direct du D5, le Canon EOS 1DX, se contente pour l’heure de 18 Mpx.

Ce qui frappera surtout les esprits avec le Nikon D5, c’est sa sensibilité native, qui s’étire sur une plage de 100 à 102 400 ISO. Et vexé par le fait d’avoir été égalé par Sony, Nikon pousse encore un peu plus loin les hautes sensibilités en introduisant l’extension Hi 5 qui étend la sensibilité jusqu’à 3 280 000 ISO. Non, il n’y a pas de coquille. Vous vous demandez à quoi peut servir une telle sensibilité ? À rien… du moins pour le commun des mortels. Pourtant, pour les forces de l’ordre, qui sont d’importants clients historiques de Nikon, elle ouvre de nouvelles possibilités en termes de surveillance nocturne. (Un test à lire sur Les Numériques)

Bref, pour l’heure avec un tel tarif, le D5 se montre nettement moins intéressant que ce que ne l’était le D4 comme boitier dédié à la photographie de mariage… On attend donc toujours un vrai successeur au D700 !

Fast photo

Fast photo

Alice a chippé la glace de Maman - Google Nexus 5 - TilffEn tant que photographe, j’ai longtemps eu un œil critique sur cette manie qui se développait depuis quelques années autour des photos réalisées avec un Smartphone, cette mode de la photo iPhone, Instantgram et compagnie était assez irritante quand on travaille avec un bon reflex pro, des objectifs, le tout en mode manuel… Néanmoins, mon Smartphone évoluant, j’ai fini par apprécier toute une série d’aspects à cela et l’achat de mon dernier terminal, le Google Nexus 5 était notamment dicté par la volonté de disposer d’un appareil offrant une bonne qualité d’image.

Je n’ai jamais eu l’occasion de tester la qualité photo des derniers modèles Samsung et Apple, mais le Nexus 5 offre pour moi de très bons résultats. En condition intérieure, j’arrive régulièrement à avoir une photo nette et offrant suffisamment de contraste, même lorsque je prends en photo les enfants qui sont évidemment très mobiles. Si le Reflex a l’avantage d’être rapide pour immortaliser l’instant, mon Smartphone est lui toujours sous la main et Léger en poche.

Bien entendu, je n’ai pas la qualité d’image que m’offre la 30aine de pixels du D800, ni la gestion de la luminosité possible avec mon D4 ou la profondeur de champ offerte par mon 35mm F1.4, c’est vrai, mais les options telles que le Focus 3D et les options de retouches poussées directement sur mon téléphone Android permettent de combler d’une certaine manière ce handicap avec un peu de créativité.

Enfin, dernier avantage certain, je peux directement exploiter ma photo, soit via mon Smartphone, soit depuis une de mes machines où les photos sont automatiquement synchronisées.

Bref, je vous laisse quelques jolis souvenirs réalisés ces derniers mois avec mon Nexus 5 !

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Agfamatic, mes premiers pas en photographie.

Agfamatic, mes premiers pas en photographie.

Charly a trouvé un Agfamatic sur la brocante de Villers

Non, je ne me suis pas levé un jour en décidant d’être photographe, c’est d’ailleurs à mes parents que je dois cette passion. Mon paternel avait déjà dans les années 70 l’idée d’être photographe journalistique et j’ai grandi accompagné d’albums photo qui racontaient l’histoire de notre famille. J’aimais (et j’aime toujours d’ailleurs) passer de longs moments à me souvenir de tous ces moments… Je me souviens être parti en classe d’Ardenne avec un petit appareil photo jetable, probablement en 1988 à 10 ans, mais c’était surtout l’Agfamatic 2000 familiale qui est devenu mon meilleur ami durant cette époque.

Même s’il y avait des appareils photo plus imposants à la maison, celui-ci avait l’avantage pour l’enfant que j’étais de pouvoir être emporté un peu partout et d’être solide, et côté qualité de photo, c’était plus que respectable, puisqu’au fond, c’était l’appareil utilisé pour la plupart des évènements et sorties… De plus, il était assez amusant à utiliser avec son système de changement de photos d’un « criiiiic » en fermant le système automatique.

J’ai trouvé un modèle 4008 sur la brocante de Villers le Temple ce weekend, et vous pourrez constater que Charly a tout de suite accroché au concept !

A cette époque, j’ai commencé à emporter l’Agfamatic dans mon sac banane pour ramener des photos de ma chambre, des moments passés avec le copain et même mes premiers reportages ! En effet, arrivé aux Scouts, il a fallu choisir quel serait le premier badge à coudre sur mon uniforme. Je n’étais très castard ni même bricoleur à l’époque, et le badge de photographe me plaisait vraiment bien ! Après quelques petites sorties photo, j’allais anéantir tout espoir d’un grand reportage lors de notre camp en Haute Savoie. J’avais rangé l’appareil photo dans ma grande trousse de secours, afin qu’il soit bien protégé dans mon sac à dos. Lorsque j’ai ouvert mon sac dans la tente, j’ai découvert mon appareil photo au côté du tube de pommade contre les crampes musculaires explosé…

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100% e-Media : les nouveautés Nikon

100% e-Media : les nouveautés Nikon

Nikon D610
Nikon D610

Cela commençait à être prévisible depuis le retrait du catalogue américain du D600, Nikon vient d’officialiser le D610 qui viendra balayer toute la problématique de particule de poussière qui plombait le démarrage du D600.

Vous attendiez l’ultime saison au Dust-gate du D600 ? Nikon vient de mettre un terme à la série avec l’officialisation du D610 qui vient remplacer le reflex 24×36 de la marque. Un modèle «mal né» qui a souffert depuis le début d’un phénomène de poussières sur le capteur. Une histoire à rebondissements que nous avons évoquée plusieurs fois dans nos colonnes ici et . (Un article à lire sur Focus Numérique)

Je reste pour ma part au taquet sur les nouveautés Nikon, toujours dans l’optique de remplacer mes Nikon D700. Je suis depuis un moment le site anglophone Nikon’s Rumors. Le D600 restait pour moi décevant et ce nouveau D610 n’apporte aucune nouveauté 1 an plus tard.

Nikon DF
Nikon DF

En octobre dernier, on apprenait également que Nikon envisageait de sortir un boitier Full Frame rapellant le mythique M2 et dont les performance serait proche du Nikon D4. Ce dernier s’appellera finalement le Nikon DF.

Il est désormais officiel. Le Nikon Df sera commercialisé en novembre (le 28 si la publication accidentelle d’Amazon est correcte). Il faudra débourser 2899 € pour se l’offrir. À ce prix, il sera livré avec une édition spéciale du 50 mm f/1.8G (le même que l’actuel avec un design plus rétro, collant mieux à l’image du boîtier). (Un article à lire sur Focus Numérique)

Les performances d’un D4, voilà qui me titille évidemment, mais ce test montre une série de lacunes vraiment dommages : pas de fonction vidéo, obturateur limité à 1/4000eme… Bref à nouveau un produit mal positionné.

Sony A7
Sony A7

Voilà qui laisse à nouveau de la place pour Sony avec son agressif modèle hybride Full Frame, les Sony A7 et A7R.

Sony a déjà prouvé qu’un capteur plein format n’était pas incompatible avec un boîtier compact (RX1 et RX1R) tout en faisant la démonstration technique que la monture E des Nex savait accepter un tel capteur (lire notre article « Sony NEX plein format : nous l’avons testé ! » au sujet du caméscope VG-900). 6 mois après notre petite boutade du (presque) premier avril, nos espoirs se concrétisent à travers les A7 et A7R. Oui, vous avez bien lu : s’il s’agit bien d’appareils à monture Nex E, donc compatibles avec les objectifs déjà existants pour l’APS-C — avec recadrage —, il faudra appeler les nouveaux venus Alpha. Un peu comme l’Alpha 3000, qui dispose également d’une monture E malgré son look d’Alpha 58. À en perdre son latin et ses kanjis… (Un article à lire sur Les Numériques)