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Problème de SMS sur le réseau VOO depuis un iPhone

Problème de SMS sur le réseau VOO depuis un iPhone

« Je n’arrive pas à envoyer de SMS depuis mon nouvel iPhone » !! 

Arf, je me souviens effectivement qu’il n’avait été simple d’activer certaines options dont la 4G / donnée mobiles depuis l’opérateur VOO lorsque j’avais activé notre première carte SIM sur un téléphone Android, il y a bientôt deux années.

J’avais fort heureusement garder mes notes sur la méthode, VOO proposant d’ailleurs des tutoriels adaptés par marque de téléphone. C’est le genre de problème que je n’ai jamais rencontré avec les opérateurs historiques Mobistar/Orange et Proximus, puisque tous les réglages sont envoyés par un premier SMS de l’opérateur lorsque l’on active sa carte SIM, mais VOO n’est visiblement pas en position pour pouvoir faciliter cette étape cruciale.

Réglages des Données Mobiles VOO sur un iPhone
Réglages des Données Mobiles VOO sur un iPhone

L’activation des données mobiles sont expliquées sur le site de l’opérateur. Il suffit en effet simplement de se rendre dans l’application réglages l’iPhone > Données cellulaires > Réseau de données cellulaires. Dans la zone « Données cellulaires« , il suffira d’ajouter au champs « Nom du point d’accès » les informations suivantes : internet.voo.be

Une fois le téléphone redémarré, il sera possible d’accéder à Internet par le réseau mobile de VOO.

En revanche, le problème d’envoi de SMS via l’application Message d’Apple n’est toujours pas résolu. Pas de solution proposées par VOO tant dans leur pages d’aide que sur les forums. Il m’aura donc fallu chercher un peu.

Oh, j’ai bien vu passer cette information, mais elle n’a pas suffit à résoudre le problème.

Si vous avez un mobile avec le système d’exploitation IOS d’Apple,
entrez **5005*76720032455003003#*, puis appuyez sur la touche "Appeler".

En revanche, voici ce qui aura fonctionné !

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Récupérer l’icône « volume » dans la barre de tâche dans Mac OS Ventura

Récupérer l’icône « volume » dans la barre de tâche dans Mac OS Ventura

J’ai longuement repoussé le passage aux dernières versions de Mac OSX, dont la version 13 Ventura. C’est peu dire, au bureau, je tournais encore en Mojave afin de bénéficier de la possibilité de faire tourner des applications 32bits. A la maison, j’avais bien dû monter jusqu’à la version 11 Big Sur.

Installons le Mac Studio M1 Ultra
Installons le Mac Studio M1 Ultra

Cette semaine, j’ai enfin reçu mon Mac Studio, après avoir signalé à mon revendeur qu’il était temps de me livrer mon modèle équipé d’une puce M1 Ultra, puisqu’Apple vient tout juste de sortir les nouvelles générations de puce M2 !

Si je m’étais préparé à démarrer sous Mac OSX 12 Monterey, c’est bien la version 13 Ventura qui est installée sur mon nouvel ordinateur.

Cette nouvelle version tranche notamment avec les précédentes en modifiant l’ergonomie de l’interface « Réglages Système » pour se présenter de manière similaire à ce que l’on retrouve sous iOS sur un iPad. Voilà qui demandera un peu de changer mes automatismes.

Tout en installant mes logiciels et transférant mes données, je me rends compte d’un petit truc agaçant : il n’y a plus d’icône « son » dans la barre des tâches supérieures. Dans les réglages système > son, pas non plus d’option pour activer cela.

4 clics pour changer le périphérique audio... c'est trop !
4 clics pour changer le périphérique audio… c’est trop !

Je peux depuis cette page modifier le périphérique de sortie, ou il me faut cliquer sur l’icône « réglages » de la barre des tâches, puis l’icône « > » dans la rubrique son, pour à nouveau pouvoir changer le périphérique.

En effet, c’est à cette endroit qu’il est possible de choisir si le son du Mac sortira de l’Apple Display du boitier de l’Apple Studio ou encore, via ma carte son externe Tascam US-4X4. Car oui, bonne nouvelle, cette dernière est toujours compatible avec Ventura !

J’ai donc fait une petite recherche sur le web pour trouver s’il était possible malgré tout d’afficher l’icône dans la barre des tâches et j’ai pu trouver la solution sur un site anglophone !

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Protections parentales sur l’iPad Mini avec l’option « Temps d’écran »

Protections parentales sur l’iPad Mini avec l’option « Temps d’écran »

Depuis quelques années, j’ai choisi l’iPad Mini comme premier outil numérique à mettre en les mains des enfants. Je n’entrerais pas ici dans le débat du bien ou du mal de la chose,.. quoi que. Pour moi, il est important que nos enfants ne soient pas handicapés du numérique, c’est à dire qu’il soit capable de pouvoir manipuler ce genre d’outil et s’en servir de manière intelligente. En revanche leur mettre en les mains une tablette, un smartphone, un ordinateur, qu’importe la forme, c’est aussi leur donner une porte ouverte sur un univers et des dépendances, des tentations. Il faudra donc les accompagner à cela mais aussi mettre des règles, voire mettre des verrous !

Souvenez-vous, il y a deux ans, je dressais un bilan désastreux de ma tentative d’utilisation de la version payante de QuStodio, une application de contrôle parentale multiplateforme. Je me suis donc concentré sur les options proposées entre temps en interne dans iOS le système embarqué sur les iPad Mini de mes monstres.

Sans être « LA » solution, cette option permet de programmer des plages d’utilisation quotidienne de la tablette (Temps d’arrêt), de limiter l’utilisation de certaines catégorie d’application (Limites d’app) ainsi que les communications vers l’extérieur et enfin de limiter l’accès à certains contenus soit via internet ou via certaines applications.

Il est évidemment nécessaire d’activer un mot de passe à 4 chiffres différents de celui de la tablette pour limiter les accès.

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Protocole FTP plus supporté !

Protocole FTP plus supporté !

Well, parfois l’informatique aime à te donner un coup de vieux !

Tout d’abord, il y a le protocole FTP:// que Firefox et Chrome ne supportent plus… Oh, je sens que cela vous parle ?

Alors, tu te retrouves à faire une mise à jour de Firefox, et tu te retrouves avec une nouvelle interface qui te propose une gestion des « onglets ouverts » franchement illisible…
Mwouaip, quand tu commences à te dire comme l’illustre sage que « C’était mieux quand c’était pire »… tu sais que tu te prends un coup de vieux…. Ce « nouveau style » est peut-être propre à ce vieil ami Windows 7 qui tourne toujours à la maison, mais quoi qu’il en soit, côté lisibilité, ce n’est vraiment pas top !

Mais revenons à notre problème de protocole FTP !

Certains me répondront qu’il existe des « plugins » à installer sur son navigateur pour continuer à pouvoir ouvrir un lien FTP, voir naviguer sur un serveur FTP depuis son navigateur. Oui, c’est vrai, mais le soucis est pour ma part plus complexe. Musicalement, mes plus de 1000 compositions sont hébergées sur Undergrund.net un serveur mis à disposition de la communauté demoscène depuis près de 15 ans et qui héberge encore aujourd’hui tout un pan de la culture Demoscène, dont Chiptunes.com en autre. Hors, sur ce serveur, les fichiers à télécharger se trouve sur la partie FTP, une pratique assez utilisée dans le milieu mais que l’on retrouve également lorsqu’il y a lieu de proposer de vieux drivers sur des serveurs miroirs.

Finalement j’avais déjà été confronté au problème il y a quelques années, puisque le protocole permettant d’embedder un stream audio MP3 autre fois supportant un lien ciblant une url de type ftp:// avait été supprimé sur Safari et le navigateur iOS. J’avais donc dû migrer depuis mes sites webs, les fichiers MP3 vers l’espace http://, alors que la politique n’allait pas dans ce sens initialement. Il me faudra probablement faire de même avec tous les liens de téléchargements des sites Cyborg Jeff, ce qui va me demander un peu de chipoterie… combien de temps la solution fonctionnera-t-elle, ce serveur ne supportant pas le protocole https://

Qu’est-ce que jouer ?

Qu’est-ce que jouer ?

 Suis-je en train de jouer ?

There is no game - Web (KamiZoto, 2015)
There is no game – Web (KamiZoto, 2015)

Voilà une question particulièrement intéressante à se poser tout en découvrant Cookie Clicker (Orteil, 2013) ou There is no game (Kamizoto, 2015). Si le premier a la volonté de nous mettre dans un contexte de jeu, les objectifs à atteindre sont flous et très vite, un sentiment d’inutilité s’installe autant que de curiosité  puis d’addiction. Dans le second, le « non-jeu » se joue clairement de nous, se présentant d’emblé comme ne pas être un jeu alors qu’en tant que joueur je me sens appelé à chercher une faille m’amenant à jouer !

Qu’est-ce que jouer ?

“Pour moi, jouer est pratiquer une activité par plaisir, divertissante. Cette activité est cadrée par de règles imposées, implicites ou imaginées par celui ou ceux qui jouent, mais qui sont acceptées par chacun. Enfin j’ajouterais que pour avoir un sentiment de jouer et de plaisir, certains éléments sont importants à intégrer. Un but, même si celui-ci est floue et peut être au moins un temps, la tentative de comprendre les règles qui régissent le jeu.”

La séance va donc s’orienter à trouver une définition de jouer. Nos échanges montrent que différents éléments sont récurrents pour cibler cette définition : des règles, un objectif, du plaisir, de la surprise…

Tout en suivant la formation, j’ai laissé tourner le jeu Cookie Clicker qui ne m’avait pas fait grande impression lors de mon essai. Celui-ci entre dans l’une des branches originales du jeu vidéo appelées “Idle Game”. Et de fait, il y a moyen de s’y prendre au jeu :)

D’autres genres se démarquent des habitudes comme les Walking Simulator qui invitent à se promener et suivre une histoire (Dear Ester ou What remain of Edith Finch, deux titres que j’aimerais pouvoir prendre le temps de découvrir à l’occasion et idéalement en français.)


Jouer et le cas de Prince of Persia.

Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).
Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).

Je m’arrête autour de cette réflexion de ”jouer” que je développais il y a quelques jours. Dans le concept de jouer et plus spécifiquement de jouer à un jeu vidéo. Autour du concept de règles imposés, implicites ou imaginées par le joueur et un certains plaisir, l’élément du but continue à me marquer dans la définition du jeu vidéo. Même si certains titres, ne semblent pas avoir de but prédéfini, c’est à mon sens le joueur qui s’en donnera un afin de poursuivre l’expérience de jeu, sans cela il passera son chemin à défait de lui trouver un autre but.

J’ai trouvé une réflexion intéressante de Jordan Mechner, créateur du jeu Prince of Persia dans l’ouvrage paru en français chez Third Edition.

Alors que le développement de son jeu s’éternise un peu, bien que techniquement toutes les personnes autour de lui trouvent le projet extraordinaire, comme un pas en avant dans le monde du jeu vidéo que lui-même admet que techniquement son projet repousse les limites du réalisme. Il se pose la question de …

Pourquoi courir, courir pour atteindre la sortie (terminer un niveau), si tout ce que l’on gagne c’est de recommencer la même chose (dans le niveau suivant).

La princesse qui attend la fin du jeu n’est qu’un trophée dans l’histoire. Il faut des récompenses dans le jeu – comme battre un garde dans Karateka (sa première création vidéoludique).

Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).

Courir, sauter, escalader, peu importe si c’est magnifiquement animé, ça ne retient l’attention que pendant les trois premiers écrans. Puis, on commence à se demander : quand est-ce que quelque chose va se passer ? Comme un garde à combattre, un avion à descendre, quelque chose.  (…)  Il faut des sous-objectifs. Des endroits où on peut se dire : “Ouf, j’ai réussi ! C’était dur… qu’est-ce qui se passe ensuite ?” (…)  Des sous-objectifs comme : Finir un écran de Pac Man, Battre un garde dans Karateka ou finir un niveau de Lode Runner. (références clés de Jordan Mechner en 1988) (…)  Pour le moment, finir un niveau de Prince of Persia n’offre aucun sentiment de satisfaction, comme on en retrouve dans ces titres.

Le monde du jeu vidéo a évidemment évolué depuis 1988 et de nombreux jeux ont depuis pris le plis prendre une certaine distance face à un but et des sous-objectifs en intégrant par exemple de nombreuses micro récompenses tout au long de l’aventure, mais si le jeu peut se permettre de ne pas les proposer aux joueurs, celui-ci se doit de se les construire dans son esprit.

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