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Tag: indiana jones

Disney+ contre… – Les meilleurs films de 2021

Disney+ contre… – Les meilleurs films de 2021

C’est l’heure de faire le bilan de cette nouvelle année de télévision, une année à nouveau bien différente des précédentes. Tout d’abord, cette fois encore, les sorties Cinéma ont été moins nombreuses, COVID obligeant. De plus en plus déçus du catalogue de la chaine payante belge BeTV, j’avais fait résilié mon abonnement en début d’année. S’il me restait encore sur ma box Evasion une série de film enregistré sur la chaine, je dois bien admettre que les nouveautés intéressantes proposées au catalogue n’ont pas eu de quoi m’enthousiasmer.

Mais durant cette année 2021, la grande nouveauté était l’abonnement à la nouvelle plateforme Disney+ proposée à Noël dernier pour un tarif de 69€/an, soit près de 2x moins cher que son concurrent Netflix. Il faudra bien admettre que la chaine aura plu aux enfants. Ils sont d’ailleurs très déçu que Papa aie décidé de stopper l’abonnement ce mois-ci, mais le passage à 89€ m’a évidemment un peu refroidi. La plateforme dispose de quelques nouveautés, mais joue évidemment surtout sur un catalogue très fourni de l’ensemble des grands classiques de Disney, ainsi que toute une série de films dont la firme possède les droits… comme toute la série Marvel, qui chez nous n’a que peu d’intérêt. Hors justement, côtés nouveautés tant en films qu’en séries, de de manière purement Statistique, Disney+ m’aura un peu déçu. Le concept des films Prime qui implique une surtaxation ou ceux qui ne sont disponibles qu’en néerlandais sous-titrés néerlandais, là aussi me laissent un goût amer qui m’ont poussé à stopper mon abonnement.

Je reste contre l’idée d’envisager l’utilisation d’une IPTV, même si cette année, avec le catalogue BeTV en berne, l’impossibilité d’aller au cinéma et les versions prime de Disney, les solutions « alternatives » pour regarder en bon film, notamment en vacances représentent 1/5 des résultats… La balance pourrait-elle encore fortement bouger en cette fin d’année, avec l’arrivée des films de Noël maintenant que BeTV est intégré à mon abonnement VOO.

Bref, je vous partage maintenant les différents films qui m’auront marqué cette année !

Statistique de films 2021
Statistique de films 2021

 


calamity james

En Famille

calimityCalamity : une enfance de Martha Jane Cannary

Coup de cœur des films en famille regardé cette année, l’enfance de Calamity James est un vrai régal qui colle parfaitement à ce vent de message à l’attention des jeunes filles pour briser les stéréotypes. L’histoire nous plonge dans la conquête de l’Ouest, avec la jeune Marthe Jane, une jeune fille qui rêve de sentir libre, libre de monter à cheval, d’aider son père,…  Et comme c’est plus pratique pour faire du cheval, elle n’hésite pas à passer un pantalon. S’en suivra toute une épopée qui va construire sa personnalité celle de la mythique Calamity Jane !

Si l’histoire est très réussie et plaira à toute la famille, visuellement, c’est un régal pour les yeux avec cette approche d’aplat de couleur aux contrastes étonnant, de quoi nous perdre le temps de l’aventure dans les grandes plaines de l’Amérique d’autre fois !

Si j’avais à l’époque envisagé aller le regarder avec mes filles au Cinéma, le Sauvenière en avait fait la promotion, c’est finalement sur BeTV que nous aurons eu l’occasion de le découvrir.

Souls
Les enfants de la chance
Cruella
Playmobil Movies

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Legend of Kyrandia : de bons vieux pixels et pierres précieuses

Legend of Kyrandia : de bons vieux pixels et pierres précieuses

Et zoup, un petit saut plus de 20 ans en arrière, en 1992. A cette époque je rêvais d’une carte VGA 256 couleurs, d’un écran compatible et d’une Sound Blaster afin d’avoir un PC digne de ce nom et pouvoir moi aussi jouer aux dernières nouveautés. Mais, qu’à cela ne tienne, il y avait les copains ! Et justement la marraine de la sœur de mon ami Alain était testeuse de jeux-vidéo ! Nous avions donc très souvent plein de nouveaux jeux à découvrir. Parce que lui, Alain, il n’avait peut-être qu’un 286 alors que moi j’avais un 386, mais il avait le son et la couleur ! Bien entendu, je n’ai aucune idée à l’heure actuelle de si oui ou non la marraine de sa sœur était vraiment testeuse de jeux vidéo, mais le métier de testeur de jeux-vidéo faisait déjà rêver !

Bref, ce matin là, mon ami Alain avait reçu un super nouveau jeu d’aventure, avec des graphismes encore plus beau que Monkey Island et un cinématique de mise en bouche dont je ne me lasse toujours pas : The Legend of Kyrandia.

Legend of Kyrandia - Westwood

A cette époque, le jeu d’aventure dit Point & Clic est en plein Boum ! Rapelez-vous l’article de Kloups l’hiver dernier. Les premiers jeux d’aventures sur ordinateur étaient essentiellement en mode texte. L’ordinateur affichait une description de la situation et le joueur devait ensuite écrire des instructions à l’écran afin de progresser.

Le « point & click » dans l’histoire du jeu vidéo : les perles LucasArts (1/2)
Le « point & click » dans l’histoire du jeu vidéo : les perles LucasArts (1/2)

Vous venez d’entrer dans le donjon sombre et lugubre. A vos pied, l’épée ensanglanté de Mike le Maudit git au sol.
>> Ramasser l’épée

Pour la petite anecdote, certains jeux se jouaient même sans écran. Les situations étant envoyées directement sur une imprimante par l’ordinateur. Par la suite des situations graphiques fixe, puis agrémentée de personnages animées améliorèrent le genre jusqu’au chamboulement génial crée par Ron Gilbert et son moteur SCUMM qu’il mis au point chez LucasFilm Games en 1987 avec le jeu Maniac Mansion. Le joueur allait maintenant contrôler son personnage non plus en lui donnant des instructions écrites mais en ciblant des mots clé affichés en bas de l’écran et des objets dans le jeu ou dans sa « boite à outil ». Certes SCUMM ne se résume pas à cela, mais ce grand changement avait fait naître une nouvelle manière de jouer.

Legend of Kyrandia

Lucas Arts fut donc le fer de lance du Point & Clic avec entre autre Monkey Island, Indiana Jones ou par la suite Day of the Tentacle et Sam & Max, mais assez rapidement d’autres développeurs allaient tenter leur chance. C’est le cas d’un nouveau venus dans le paysage vidéoludique de l’époque : Westwood Studio, récemment boosté par implication de Virgin qui sortira en 1992 Legend of Kyrandia et Dune 2. Deux jeux bien différents qui connaitront un succès certains ! Dans ce flot de jeux d’aventures, les responsables de Westwood espéraient se démarquer grâce à leur arme secrète :  une interface basée sur un curseur multifonction plus simple que l’association de mots-objets du SCUMM de l’époque. C’était sans compter que la concurrence avaient déjà elle aussi cette idée dans les cartons.

Moi, du haut de mes 14 ans, je ne m’attardais au fond pas ce genre de détail ergonomique !

En travaillant sur le MOOC « Introduction à la culture vidéoludique » j’ai eu l’occasion à diverses reprises de me rendre au Liège Digital Lab où il est possible de consulter de nombreuses anciennes revues dédiées à la presse vidéoludique, dernier thème abordé par Boris dans ce MOOC. Quel plaisir de se replonger par exemple dans ce test de Legend of Kyrandia dans un bon vieux Joystick !

Weekend PasMini Super Nintendo

Weekend PasMini Super Nintendo

Vous le savez, fin 2017, Nintendo nous sortait une ré-édition miniature de la Super Nintendo embarquant 20 jeux de la belle époque du début des années 90. Il faut bien admettre que la SNES est une des consoles rétros qui offrent les plus beaux jeux à redécouvrir de Super Mario World à Donkey Kong Country en passant Legend of Zelda, Megaman X ou Super Metroïd. Cette dernière est vendue 80€, un peu plus cher que l’édition NES de l’année précédente.

Ici à la maison, j’ai bien sur une vraie Super Nintendo. Pas de boite, un peu jaunie, mais elle avait été restaurée il y a déjà quelques années par l’ami Kingstef et j’ai pu grappiller de nombreuses cartouches au fil du temps. Impossible de trouver un Legend of Zelda ou Metroïd, dont les prix ont explosé, mais j’ai tout de même une série de titres pas fréquents à redécouvrir ! Alors que s’enchaine deux weekend un peu moins chargé, j’ai donc branché la console sur la TV.

On joue aux Schtroumpfs sur Super Nintendo
On joue aux Schtroumpfs sur Super Nintendo

A ce propos, sachez que si vous disposez d’une Nintendo 64, le cable de connexion RVB est compatible avec la Super Nintendo, ce qui permet d’avoir une bien meilleure image que via le cable peritel antenne d’époque. Pensez aussi à régler le mode image de votre téléviseur. Mon écran 4K Sony par défaut m’offrait une image aux pixels tranchant, alors qu’en activant le mode « cinema », ceux-ci sont un peu plus lissés et proche d’une image de l’époque.

Ce sont d’abord les enfants à qui j’ai proposé de choisir à quoi jouer. Les Schtroumpfs, Astérix, Micro-Machine et Super Mario ont eu leur faveurs. Ce sont des titres qui visuellement n’ont pas vieilli. Les Schtroumpfs reste malgré tout frustrant à souhait, mourir quand on marche dans l’eau ou quand un Schtroumpf jette de l’eau par la fenêtre, pour un enfant, c’est loin d’être logique. Alors que même si Super Mario World est loin d’être simple, on n’y meurt pas sans raison ! Il est tout de même fou de constater comme ce jeu reste intemporel. Pour l’époque c’était une explosion de nouveauté à découvrir de niveaux en niveaux, un sentiment jamais égalé en jouant aux autres Mario.

On joue à Super Mario Kart - SNES
On joue à Super Mario Kart – SNES

J’ai ensuite tenté de leur faire découvrir le premier Super Mario Kart, plus difficile à prendre en main que les versions modernes, il faut bien l’admettre ! La sauce n’a pas pris. Moi même je me suis senti un peu rouillé, trop habitué aux glissades des épisodes plus récents. Charly appréciant beaucoup les jeux de voitures en ce moment, j’ai donc testé avec lui Micro Machine 2, Pole Position 2, Nigel Mansell et Top Gear. Lui a trouvé son plaisir dans Nigel Mansell. Choisir ses pneus et ses réglages, c’est ça qui l’intéresse. Moi je suis resté scotché sur la qualité de Top Gear qui bien plus abouti que Lotus Challenge dont je pensais qu’il n’était qu’un simple portage dédié à la SNES… Mais j’y reviendrais une prochaine fois.

Sortir une veille console et des vieux jeux, cela fait toujours un peu d’animation. Les JulietteS s’affrontent à Super Mario Kart, on redécouvre les vieux pixels avec Matteo et Romeo et puis on approfondi le sujet avec Pype, de quoi mettre des images sur certaines de nos lectures communes aux éditions Pix’n Love, tel que La Guerre des Mascottes.

En grand amateur de jeux de plateforme, j’avais fait le plein de cartouches les années précédentes : Chuck Rock, Zool, Bubsy, Cool Spot, Indiana Jones, Pitfall et même  Aero the Acrobat et Ardy Lightfoot. La Super Nintendo regorgent de ce genre de jeux qui avaient d’ailleurs la cotte à cette époque. Moi je m’étais attaqué seul à découvrir Chuck Rock dont les gros sprites m’avaient impressionnés quand je lisais les magasines de l’époque. Mais une fois la manette en main, la construction des niveaux m’a un peu déçu… Les filles ont assez bien apprécié Zool, nerveux et colorés et clairement plus maniable que la version PC à laquelle je jouais quand j’étais ado.

Bubsy, ça speede - SNES
Bubsy, ça speede – SNES

Plutôt content d’avoir déniché Aero the Acrobat, le « Sonic » the Sunsoft, je dois bien admettre qu’il n’est vraiment pas amusant à jouer et difficile à prendre en main avec ses pirouettes. Reste cet excellent Bubsy… Lui aussi descend du Hérisson de SEGA qui venait créer un nouveau genre de jeu dans la catégorie plateforme. Chat, Caméléon, Chauve-Souris, Lapin… les mascottes débarquaient en force avec plus ou moins de réussite. Bubsy ramassant des boules de laines dans des niveaux nerveux, colorés et avec un scrolling rapide avait tout pour se porter en concurrent de Sonic sur la Super Nintendo. Ce n’est pas pour rien que j’y ai tant joué… Il est pourtant bien plus difficile, car au moindre contact avec un ennemie, un chute de trop haut, c’est le petit gimmick d’une vie en moins. Malgré cela, j’ai probablement dû réussir à avancer dans le jeu aussi loin que dans Sonic à l’époque.

Si au jour d’aujourd’hui, j’ai pas mal de cartouches, je manque cruellement d’éléments pour envisager un shooting studio autour de la Super Nintendo. Les jeux étaient à l’époque distribuer dans une boite en carton, ce qui a rendu leur conservation plus rares que les boitiers « plastiques » à la sauce VHS des jeux Megadrive. Magasines, posters ou même boite de consoles sont également difficile à trouver.

Ma collection Super Nintendo

 

Playing 2017

Playing 2017

L’année 2017 s’en est allée, et comme j’aime à le faire, c’est l’occasion de prendre le temps pour faire le point sur l’impact qu’aura eu l’univers du jeu-vidéo dans ma vie.

Alors que cette année fut  marquée par le retour tonitruant de Nintendo avec sa nouvelle console hybride la Switch armée dans un premier temps du nouveau Legend of Zelda puis en fin d’année de la sortie d’une nouvelle aventure de Mario, ici 2017 fut l’année où j’ai décidé de faire la paix avec Sony pour enfin franchir le pas de la nouvelle génération de console. Oui, voilà déjà un bon moment que je boudais la Playstation 4 et la position prise par Sony de rendre tout le contenu des précédentes générations incompatibles, y compris tous les achats de jeux dématérialisés….

A l’aube de la quarantaine, il me faut donc bien admettre que je deviens ce genre de joueur grognon qui trouvait que c’était mieux avant et qui de plus n’a pas tant de temps à consacrer à jouer… Mais, rien y fait, j’aime le monde du jeu-vidéo.

Horizon : Zero Dawn - PS4
Horizon : Zero Dawn – PS4

Si je vous invite bien-sur à découvrir mon Top/Flop chez Press-Start, vous retrouverez ici l’ensemble des jeux durant l’année.

(…) Ici, l’effet Waouw est au rendez-vous comme il l’avait été avec le retour de Tomb Raider auquel je jouais début 2015 et The Last of Us à sa sortie durant l’été 2013. Visuellement, Horizon Zero Dawn est un régal avec des environnements lumineux, vastes et colorés, des jeux d’ombres et de lumières fantastiques, des détails allant du lierre sur les arbres aux poussières qui virevoltent ou tout simplement les textures des personnages. On en a plein les yeux ! (Lire la suite sur Press-Start)

Alors, en 2017 j’aurais joué à …

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Playmobil Stories #3 : Sur la piste des champignons géants

Playmobil Stories #3 : Sur la piste des champignons géants

L’Automne s’est installé. A défaut de feuilles qui tombent dans le jardin, nous avons eu cette année de nombreux champignons qui ont poussé un peu partout… Cela m’a donné l’idée de raconter une petite histoire avec le T-Rex Playmobil que Charly a ramené de nos dernières balades en brocante…. avec peut-être un petit clin d’oeil au futur carton/navet de Nintendo : Mario Odyssey…

Playmobil Stories 3 - Champignons Géants
‘Vlà m’sieur Jones, c’est ici que commence la piste mystérieuse des champignons géants !

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