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Tag: générique

Lady Bug roule en Volkswagen

Lady Bug roule en Volkswagen

Héhé, si vous êtes allés voir, comme nous, le nouveau film Lady Bug et Chat Noir au cinéma, aurez-vous retrouvé toutes les Volkswagen qui s’y cachent ?

Cela n’a pas échappé à mon oeil averti. Si certaines sont immanquables, plusieurs autres déclinaisons colorées des modèles électriques ID se cachent dans le film… dont un concept car qui rappelle la Bettle.Le film, si vous aimez la série télévisée, vous ne serez probablement pas déçu, même si l’histoire est parfois un peu décousue entre la première transformation et le premier ba… (ah shuuuut, ok)

Je suis bien content de retrouver la chanteuse Lou dans les très nombreuses chansons qui accompagnent le film… même si son grain de voix a pris une certaine distance avec la voix énergique de Marinette. On sent une envie de coller à l’esprit Disney tout en cherchant à replacer les notes du génériques… mais trop…. Ce n’est plus Noam à l’écriture des chansons. Les connaisseurs, savaient peut-être que l’interprète de Goldorak avait poursuivi sa carrière en composant différentes musiques et génériques TV avec un retour réussi avec le générique de Miraculous Lady Bug.

Les bandes sons et toute la production du film restant sous le contrôle de Jéremy Zag, producteur de la série.

Quoi qu’il en soit, Lady Bug reste l’héroïne de la génération de mes enfants, dont la série de dessin animé est l’une des seuls à avoir su surfer sur la réussite et l’ambiance de la génération dorée Dorothée, et cet adaptation sur grand écran est fut un moment familial que chacun aura apprécié, et cette réussite est suffisante pour masquer le creux de scénario entre les chansons, et offrir un petit point bonus supplémentaire à ma note !

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Noël a tiré sa révérence

Noël a tiré sa révérence

Une fois Noël passé, tout n’est déjà plus pareil. Cette effervescence qui nous pousse crescendo jusqu’au 25 décembre retombe, doucement jusqu’au réveillon suivant. Déjà dans les rues, certains ont démontés leur sapin, qui trône devant leur maison, sans vie… Et moi aussi, je ne suis plus émerveillé par les lumières, les vitrines et toutes les décorations… et je me dis que nous avons de la chance de préparer Noël si longtemps à l’avance.

Aujourd’hui, dernière journée de nos congés. Il sera temps ici aussi de ranger boules et guirlandes et mettre à nu les sapins puis remiser toutes les décorations dans la réserve, jusqu’à l’année prochaine. La suite de l’hiver, comme toujours nous semblera longue, monotone, et sans surprise pluvieuse et venteuse… Les pros de la psycho parlent du lundi bleu, mais il est trop tôt pour la déprime !

Ces deux semaines avec les enfants auront été bien agréables à vivre en famille, avec de nombreuses parties de jeux de société, Takenoko et Roi et Cie dont je vous parlais il y a peu. L’occasion de regarder quelques films en famille, dont le dernier Avatar mais aussi de regarder un peu les nouveaux jeux vidéo trouvés sous le sapin dont notre première aventure Pokemon.

On se souviendra aussi de cette fin d’année 2022 avec le concert d’Angèle et les soirées dans le canapé à écouter l’histoire de Jack et le cochon magique

Enfin, pour ma part, je me suis lancé dans la lecture passionnante de La Belle Histoire des Génériques Télé !

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A l’octet près !

A l’octet près !

Début de ce mois d’aout, revenant de vacances, l’ami Matt me laisse un petit message : « L’avancement du développement du jeu Wolfling Reloaded a bien progressé, et il reste de la mémoire pour ajouter de nouvelles musiques ! »

Voilà une excellente nouvelle. Depuis de longs mois je suis l’évolution visuelle impressionnante de la version finale de ce projet de jeu de plateforme action développée par Matthias Bock sur le Commodore 64.

C’était il y a déjà près de 5 ans que je me suis lancé dans l’écriture des musiques qui allaient accompagner le jeu dont une première version était sortie fin 2018 et à cette époque, pour mon second OST pour le C64, j’avais pu repousser les limites et proposer 5 musiques différentes ainsi que deux « gimmicks ». Comparativement à mon premier projet, Powerglove, j’étais donc alors très enthousiasme !

Ajouter de nouvelles musiques, c’est que je n’avais pas attendu le feu vert de Matt pour y penser. Depuis l’annonce de l’envergure prise dans cette version Ehanced de Wolfling, j’avais très vite songé à deux musiques supplémentaires qui pourraient accompagnés les nouveaux environnements envisagés : La forêt et les sombres cavernes. Les choses auraient donc pu s’arrêter là ! Le tout tenant dans la limite de place allouée par Matt pour la musique, soit 6772 bytes !

Mais il me restait grandement l’envie d’exploiter le thème principale « Nightmare » de l’introduction dans une musique de niveau, qui sur la version actuelle Commodore 64 n’était joué que lors de l’introduction du jeu, là où je lui avais offert une déclinaison très « Kirby » dans la mouture NES/Famicom.

Souvenez-vous, à l’origine le thème Nightmare s’inspire d’une composition à la guitare de mon frère Pype à laquelle j’avais tenté d’apporter encore un peu plus d’une couche épique me faisant penser, certes d’assez loin, au générique de Game of Thrones ! Pour cette nouvelle mouture je voulais une approche plus eighties, je me suis retrouvé assez vite à jouer avec un arpège de basse me rappelant au choix le générique de Grand Prix Circuit ou d’un peu plus loin le générique de la nouvelle série phare Stranger Things

Le second défi était pour moi de retravailler le thème principal qui accueillerait les joueurs de cette nouvelle version du jeu ! Une version améliorant les graphismes, offrant de nouveaux mondes se devait à mes orreilles de surprendre dès le générique du jeu, d’autant que la basse composée en 2018 que je trouvais originale à l’époque était loin de me convaincre aujourd’hui. Je m’étais donc lancé dans une ré-écriture ambitieuse, prolongeant la musique par la 3° partie mélodique écrite sur la NES dont j’avais fait l’impasse pour le Commodore 64.

Oui, mais voilà… je déborde maintenant largement la mémoire allouée pour le code de la musique !

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Y

Y

Ah oui, Cyborg Jeff, il fait de la musique ? Oui, je sais les années passent et tout ce qui touche à la musique semble parfois bien loin de ce dont je vous parle… Tout simplement parce que la musique a dû se trouver un petit coin un peu à l’ombre dans tout ce que je vis au quotidien. Famille, enfants, boulot, vidéo, photo, jardin correspondent bien plus à ma vie que la musique… Mais elle reste là à l’affut.

Parfois, vous vous sentez arriver devant un croisement, ce genre de moment où un chemin se montre à votre gauche, un autre à votre droite. Pas d’autres alternatives possibles que de choisir l’un ou l’autre. Chacun avec ses jolies fleurs ou ce paysage agréable au loin, mais l’un semblant long, l’autre vallonné… Aucun meilleur que l’autre, il faut juste choisir, gauche ou droite sans pouvoir revenir en arrière par après.

C’est alors que vous semblez plonger dans une faille temporelle qui vous fait vivre un peu de ce que chacune des routes pourraient vous offrir comme découvertes, l’esprit se connecte à Open Modplug Tracker et le VSTi minimaliste 4KLang, les mains pianotent entre deux rendus vidéo et une musique prend vie. Une musique qui ne choisi pas de direction, qui reste dans cette nébuleuse d’hypothèses, dans un schémas, des habitudes, des surprises, des approximations, des imperfections…

Tout cela tombe bien, il me fallait justement un nouveau générique pour 2015. Certes, j’aurais pu essayer d’en profiter pour initier une Demo 4K ou 64ko autour de ce projet, mais j’avais besoin de le partager. Et puis, dans une certaine mesure, il reste assez proche de Love Potion Level 4 puisqu’il en emprunte le même générateur de sons. Musicalement, avec le recul, je suis assez content du son de basse qui balance ce track. l’instrument certe minimaliste sonne assez moderne tout en me rappelant la New Beat. La petite séquence de note du début fait très démoscène, elle m’a tout de suite donné l’envie d’approfondir quelque chose autour d’elle. Sans en être certain, elle a dû se connecter dans mon esprit avec ce titre d’Alkama

Des Simpsons et des pixels

Des Simpsons et des pixels

Bon,… au jour d’aujourd’hui, la famille Simpsons a probablement perdu de son éclat et tire peut-être même une image un peu « TV poubelle »… Et pourtant, je me souviens de cette époque où, du haut de mes 12 ans, Bart Simpson est venu, non pas envahir ma télévision, mais le lecteur CD tout neuf de mon ami Vivien. Le Simspon, ce n’était pas l’invasion de l’Amérique dans nos foyers, c’était de la couleur, de l’humour,… C’était tellement différent des histoires du Club Dorothée… Si j’ai longtemps apprécié regardé la série au début des années 2000, je n’ai pas non plus basculé dans l’ultra-fan au point de mettre des caleçon Homer Simpson…

Quoi qu’il en soit, lorsqu’il y a un truc un peu amusant autour du générique des Simpsons, je m’y intéresse…. et quand ils se retrouvent pixelisés à la sauce des ordinateurs des années 90… il faut que je vous le partage !

Une réalisation de Paul Robertson et Ivan Dixon. Musique adaptée par Jeremy Dowe