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Month: août 2015

Les films du mois : Le petit prince

Les films du mois : Le petit prince

Le Petit PrinceLe petit prince (2015) 10/10

L’histoire du petit prince a une place toute particulière dans ma vie. Que ce soit pour les images que je regardais dans le livre reçu tout petit pour ensuite marque ce moment ou j’ai trouvé ma place dans le monde des grands quand je rejoins la troupe de l’îlot. Clairement, cette revisite du compte de Saint Exupery est extraordinaire. Elle conserve toute la magie et la sagesse de l’histoire originelle en lui offrant un autre angle d’attaque et un autre dénouement. Rien n’est oublié et le mélange entre 3D moderne et dessin a l’ancienne est une vraie réussite. Le tout accompagné d’une bande son fantastique… Le plus beau film’ que j’ai vu … Et la concurrence était rude ces derniers temps !

I Origins (2014) 9/10

Et si… Non, je ne vais quand même vous en dire trop, ce serait gâcher tout l’intérêt du film… Mais tout de même, un biologiste moléculaire, pas encore la trentaine qui tombe amoureux d’une fille qui tente lui ouvrir les yeux…. Et si… Biologie, Science, Amour, Surprise, Emotions, Et si dans nos yeux se cachaient plus que ce que l’on pense… Voici, clairement le genre de film qui me plait !

Magic in the moonlight (2014) 8/10

Jusqu’ici j’ai adoré tous les films de Woody Allen que j’ai vus pour leur style si particulier… Pour cette comédie romantique nous nous offrons, les années 20 dont j’apprécie l’ambiance, bien entendu une bande son Charleston dont je raffole, un Colin Firth parfait et cette couleur et lumière si particulière à la méditerranée… le tout sur un petit fond de magie. Un vrai régale !

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Besoin d’évasion, retour dans le Nord Pas de Calais.

Besoin d’évasion, retour dans le Nord Pas de Calais.

Le Crotoy - Baie de Somme - Point de Vue - Petite Snorkys Photography

Non, non, je ne vous parlerais pas encore de la nouvelle Box de Voo ! Les vacances touchant à leur fin, nous avons finalement décidé de partir prendre un peu l’air ailleurs, en dernière minute. Nous avions rendez-vous la semaine dernière avec Chocolat Praliné Photography dans le nord de la France et en avons profité pour découvrir quelques jolis coins de la région en fonction des aléa d’une météo capricieuse. Au programme : Lille, Boulogne sur Mer, Le Crotoy, Saint Valéry sur Somme et Arras…

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J’avais 10 ans en 1988

J’avais 10 ans en 1988

Quand j’avais 10 ans, je pouvais potentiellement être à n’importe lequel de ces endroits… Inimaginable à notre époque !

Et pourtant c’était la zone autorisée alors que je n’avais pas encore 9 ans… Le mot d’ordre étant : « Tu peux te promener tant que tu ne dois pas traverser la rue » J’ai assez vite réussi à me rendre compte qu’avec le bois, je pouvais aller assez loin sans traverser… la zone de la propriété terrienne derrière la piscine s’étant alors ajoutée à ma zone d’action, là où la rue Curie a pris plus de temps à s’ajouter… Une fois que j’ai eu l’autorisation de rentrer de l’école tout seul entre la 4° et la 5° primaire, la zone s’est alors agrandie..

Seraing en BMX - 1991
Seraing en BMX – 1991

De fait, lors de notre arrivée à Seraing en 1983, j’ai d’abord eu l’autorisation d’aller du début du trottoir jusqu’à la voiture rouge. C’est ainsi que j’ai rencontré mon premier copain Alain Gillon, qui habitait juste après la voiture rouge, et agrandi un peu mon territoire. Un peu plus tard, nous avons commencé à aller jouer dans le petit bois d’à coté… C’était les guerres avec les Insoumis de la rue Lavoisier et nous étions sous le commandement du général Marc Bosman… Nous n’avions alors que 7 ans et c’était un peu trop loin déjà… Avec Xavier, on grimpait dans l’arbre des pluies… Puis le petit bois s’est transformé en nouvelles constructions, dont celle de Vivien, qui sera alors mon meilleurs amis pour les années à venir !

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Dans ma tête

Dans ma tête

Inside Out - Vice et Versa

Plus les années passent et plus je me rends compte que j’ai une chance incroyable. Là haut, dans ma tête, une vaste palette de souvenirs très précis de mon enfance est parfaitement ordonnée alors qu’il semble que pour beaucoup, l’adolescence et le passage à l’âge adulte a demandé à faire un Mind Cleaner & Optimisation afin de laisser la place nécessaire au optimisation fiscale, aux nombreux mot de passe et autres bourdonements politiques.

De cette odeur bien caractéristique que je retrouvais dans la cuisine de ma grand-mère, des lumières au loin par la fenêtre de la chambre et le bruit au loin de l’autoroute à la liste complète des pilotes de la saison 1994 de Formule 1. Des détails très précis des vastes mondes récurrents que j’arpente  dans mes rêves depuis tout petit aux aux aventures dans la magie des bois de Seraing avec mon frère, Vivien et Alain… Tout est là, facile d’accès dans ma tête et je peux sauter en quelques secondes de la réalité à tous ces moments inoubliables.

Alors, quand je découvre qu’un film tel Vice Versa pointe le bout du né au cinéma, je l’aborde évidemment avec ce regard peut-être différent de tous ces adultes autour de moi qui ont laissé de coté leur enfance pour devenir ce que le monde leur a demandé d’être et probablement cela me retourne donc peut-être un peu moins. Pourtant, je peux vous dire que je n’ai cessé d’avoir la gorge serrée et avoir été emplis d’émotion tout au long de ce nouveau Disney/Pixar et ce dès l’arrivée de Joie, lors des premiers échanges entre bébé et parents. Car, moi, c’est sous un autre angle que le film m’a ému.

Enfants, nous accumulons nombre de petites boules de couleur au fils de notre vie. Des expériences heureuses, des déceptions, des peurs, des colères,… tout cela va construire ce que chacun sera. Enfants, ados, adultes. Or, nous parents avons un rôle majeur à jouer au coté de nos enfants. C’est à nous de pouvoir offrir tous ces petits souvenirs à nos enfants en leur offrant des moments de qualité et ce, jusqu’à ce qu’il ne commence à prendre leur envole, dès la fin de l’enfance… Et c’est à nous aussi de travailler à leur faire conserver ces plus beaux moments, en leur racontant ces histoires de quand ils étaient petit, en capturant tous ces moments éphémères en photos et vidéo.

Alors qu’il y encore quelques jours, je mâchonnais mon début de vacances, Vice et Versa m’a remis sur le bon chemin. Vivre des choses avec eux, construire avec Charly, Alice, Juliette, des petits souvenirs inoubliables… Bien sur, je le fais déjà au quotidien, mais garder cette objectif comme quête principale de mes journées me semble beaucoup plus positif !

Pourtant, je trouve dommage que le film se montre un peu trop complexe à être compris par un enfant. Tout ceux qui était autour de moi dans le cinéma semblait peu conquis, et il aura fallu quelques moments de discussion avec Charly post-séance pour qu’il puisse mieux comprendre ce qui s’était passé dans le film, là où un « Il était une fois la vie » se montre de suite validé !

Merci à vous, à nouveau la bande à Pixar, pour avoir su m’ouvrir les yeux !

Pacman Syndrome : Retour de Gamescom

Pacman Syndrome : Retour de Gamescom

La Gamecoms, rendez-vous des nouveautés vidéoludique européennes a pris fin et j’ai repéré dans l’actu quelques titres qui sortent un peu du lot. Il y a tout d’abord l’étrange voyage que propose le jeu indépendant The Vanishing of Ethan Carter sur lequel Franqui de Press-Start s’est penché.

The Vanishing of Ethan Carter est un jeu splendide, une vraie claque visuelle. De plus, l’équipe de « The Astronauts » a fait un travail remarquable sur l’histoire (même si la difficulté liée à l’enquête est ridicule) ainsi que sur l’ambiance qui l’accompagne. On regrettera la durée de vie très courte mais également cette promesse de liberté qui finalement n’est pas tenue.

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Yesterday Origins
Yesterday Origins

L’équipe de Pendulo Software, le studio espagnol qui avait fait renaître le genre Point’n clic avec la série Runaway présentait Yesterday Origins, 2° volet de sa nouvelle saga à laquelle je n’ai pas encore grandement goûté… un peu dégoûté du système anti-copie qui limite le nombre d’installation du jeu !

Difficile de savoir en si peu de temps dans quelle mesure Yesterday Origins parviendra à rectifier les écueils de son aîné, qui a valu à Pendulo le fait d’être boudé par une partie de son public. Toutefois, l’atmosphère générale du jeu, son lifting graphique et son atmosphère sombre devraient ravir les amateurs du premier volet des aventures de John Yesterday que nous espérons plus abouties dans ce Yesterday Origins. Réponse en 2016 sur PC, PlayStation 4, Xbox One … (Un article à lire sur JeuVideo.com)

Enfin l’équipe en charge du prochain Final Fantasy vient de teaser une vidéo non pas de son prochain bébé, mais bien d’un film d’animation ‘Final Fantasy XV : Dawn’ qui racontera l’histoire permettant de comprendre l’univers dans lequel Square Enix nous emmènera prochainement. Certes la qualité de ces vidéos est impressionnante, mais cela reste de la cinématique, du tragique, mais pas non plus des émotions à vous retourner.

Chez Press-Start, l’équipe présente lors de l’évènement nous aura ramené son petit résumé des titres découverts dont l’étonnant Cuphead.

La première surprise réside dans son format. Faites une croix sur le jeu de plateformes, Cuphead sera un enchaînement de boss uniquement ou du moins en grande partie. Le deuxième choc est plus rude : battre un boss est plus difficile que de répondre à une fille qui vous demande si elle a grossi. La démo nous fait affronter un boss carotte. Le légume nous envoie déjà des projectiles à un rythme élevé, mais en plus il a une résistance de Terminator….

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