Entre les sessions de grande aventure sur Horizon : Forbidden West, je garde bien sur un œil sur les nouveautés et titre à venir. Certes le temps me manquerait si je voulais gouter à tout cela, mais c’est aussi un peu l’idée de pouvoir rebondir lorsque les promos de jeux Indie qui pourraient me plaire se manifesteront !
Au programme Lunark, Scaled Stone Seeker, Baldo : The three fairies, Two Point Campus, Before We Leave, Tunic, Anno 1800 et Imp of the Sun
Johan Vinet @johanvinet · 17 mars
Je n’en ai pas tant parlé par ici, mais sur Twitter, je garde toujours un œil sur la sortie de Lunark que mon frère et moi suivont depuis quelques années ! Ce titre à l’ancienne, inspiré tant par le style et l’univers que par sa méthode de création en rotoscoping rappelle les jeux Flashback et Another World. Le titre est d’ailleurs disponible sur Steam, mais c’est en version Nintendo Switch que je m’y intéresse, afin de pouvoir en profiter de la meilleure manière qui soit !
Je suis également cet étrange projet Indépendant Scaled Stone Seeker un titre d’action/aventure rétro qui propose une approche visuelle assez particulière avec des sprites en 2D dans un univers en 3 dimension. En image fixe, le résultat semble assez classique, mais le travail du petit studio Stone Lab sur cette technique est assez impressionnant !
StoneLab Studio
@stonelabstudio
·
29 mars
Testing stamina and health system with with our friend the goblin. Better watch out with that spear! #ScaledStoneSeekers #gamedev #indiedev #indiegame #pixelart
StoneLab Studio
@stonelabstudio
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29 mars
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Entre découverte de nouvelles pépites du courant Indie à venir et d’autres rencontrées durant les formations du Certificat en Culture Vidéoludique, j’ai envie de vous laisser ici quelques titres qui m’ont marqué.
Il y a tout d’abord Narita Boy et Cyber Shadow qui tout deux mettent en avant la culture rétro du jeu-vidéo comme point d’accroche.
Narita Boy
« Ce truc, enfin ce jeu a l’air complètement eighties dingos !!! Et rien que la musique donne envie… « Save the World »… Bien vu Team17 !!! » , pouvais-je m’écrier en découvrant la première bande annonce de Narita Boy, la dernière production du studio Team 17 (si, si c’est bien eux qui faisaient chanter des vers de terre il y a un peu plus de 25 ans).
Narita Boy, prévu sur console et ordinateur fin Mars
Si la preview se montre nerveuse, on peut tout de même rapidement sentir qu’il y a plus qu’un jeu d’action derrière Narita Boy. Son scénario semble d’ailleurs faire écho à un idée que j’avais eu il y a quelques mois. Raconter l’histoire de jeu dont on a perdu la trace des développeurs et où le héro partirait à la recherche de son histoire vidéoludique… Narita Boy n’en est pas si loin : Le jeu c’est vendu par palettes de cartouches, mais le code du jeu est attaqué. La carte mère active donc le protocole Narita Boy pour préserver le jeu… Voilà même qui me fait un peu penser à Biokid, un jeu que j’avais inventé il y a près de 30 ans, où l’on incarnait un petit héro similaire à Megaman étant en réalité un Antivirus traquant la vermine sur votre ordinateur verolé ! Bref, entre scénario originale et visuel rétro splendide, Team 17 tient encore une fois un bijou du courant Indie !
C’est tout de même amusant par moment de regarder un peu arrière. Je me souviens que lorsque Nintendo avait présenté sa nouvelle portable, la Nintendo 3DS, j’étais resté plus que sceptique quand à ce concept si cheap d’écran en 3D. Après quelques essais avec Mattéo, il me fallait bien admettre que, si l’effet était amusant, jouer en 3D me faisait très vite mal à la tête. Si mon premier « essai » datait du printemps 2011, j’avais fini par me laisser tenter à acheter une jolie 3DS XL aux couleurs de la série Animal Crossing un peu plus de 2 ans plus tard.
Mes jeux préférés sur Nintendo 3DS
A ses débuts, de nombreux titres ont misé fortement sur ces effets 3D, comme bien entendu Super Mario 3D Land, auquel j’ai à peine eu l’occasion de m’essayer, mais que je glisserais tout de même dans les 10 meilleurs titres auxquels j’ai joué sur cette console.
C’est évidemment l’arrivée de Legend of Zelda : A link between worlds qui m’avait fait craquer. Cette nouvelle aventure de Link dans univers rappelant l’épisode sur Super Nintendo m’avait grandement emballée, mais je dois bien admettre que petit à petit le concept 3D et peinture sur le mur avaient fini par me lasser à poursuivre l’aventure.
De 2013 à 2014, j’achèterais tout de même quelques titres qui me laisseront un excellent souvenir ou tout du moins passer de bons moments : Bravely Default, Kirby Triple Deluxe ou encore New Super Mario Bros. 2, néanmoins la 3DS n’aura pu me rendre autant accroc que sa petite sœur DS sur laquelle j’avais pu tester un grand nombre de jeux grâce à ma carte pirate « R4 ».
Animal Crossing : New Leaf
Super Mario 3D Land - 3DS (Nintendo, 2011)
The Legend of Zelda : Link between worlds (3DS)
Kirby's Triple Deluxe (3DS)
Bravely Default
New Super Mario Bros 2 (3DS)
Linker 3DS – Gateway
Si un temps j’ai vu passer des cartes de ce genre pour la Nintendo 3DS, je n’ai jamais tenté l’expérience pour de nombreuses raisons. Là la Nintendo DS disposais d’un système fixe, la 3DS se connectant en ligne, elle demande une mise à jour son firmware régulièrement lors de la sortie de nouveaux jeux ou l’accès au store en ligne. Je n’ai donc pas été tenté par des linkers tels que le Gateway.
Les choses se compliquent ensuite quand Nintendo sort la Nintendo 2DS fin 2013, une console double écran monobloc, pas très jolie et sans écran 3D. Si cette dernière surprend elle se prête en réalité à merveille à venir concurrencer les console pour enfant, les plus jeunes qui parfois récupérait la ville Nintendo DS familiale mais à qui on n’envisageait pas offrir une console avoisinant les 250€, fragile et équipée de technologie 3D. Si cette 2DS ne propose plus la possibilité de jouer en activant la 3D, tous les jeux tournent encore sur celle-ci.
Chez nous d’ailleurs, les enfants finiront par recevoir une 2DS, solide comme un rock, histoire de pouvoir jouer aux « nouveaux jeux » sans chiper l’édition spéciale de papa.
Alors que la Game Boy souffle ses 30 bougies, l’équipe de Press-Start en profite pour poursuivre son projet « Full Set Quest » qui a pour ambition de se poser sur les 444 jeux sortis en Europe sur la portable de Nintendo.
Navy Seals – Press-Start
J’avais déjà grandement apprécié la chronique dédiée au jeu Navy Seals l’année dernière, un jeu d’action parmi les premiers découverts à la sortie de la Game Boy. Un titre difficile mais que j’appréciais malgré tout car,… signé Ocean Software, une boite que j’appréciais beaucoup et que je connaissais du monde du Commodore 64… D’ailleurs Navy Seals est tout à fait dans la vague des jeux sortis sur mon micro-ordinateur préféré mais j’ignorais totalement que celui-ci était issu d’un film éponyme.
Une fois de plus, Ocean a adapté un film à succès en jeu vidéo et a encore une fois réussi son coup. Même si vous ne faites pas un fullset, Navy Seals est un jeu que je conseille pour son fun, sa difficulté et son respect de l’oeuvre originale dont il a été adapté. (Un article à lire sur Press-Start)
Aujourd’hui, c’est autour des Blues Brothers de monter sur scène, or je suis un grand fan de Blues Brothers. Non pas du film, mais bien du jeu et de manière générale des créations du studio français Titus à qui l’on doit également Prehistorik et Les Aventures de Moktar/Titus the Foxsur lesquels j’ai déjà eu l’occasion de m’attarder par le passé.
Fin 1991, débarque Blues Brothers
La fin de l’année 1991 approche et mon ami Alain a reçu une série de nouveaux jeux sur son PC 286 fraichement équipé d’une carte son Sound Blaster et nous découvrions alors deux jeux développés par Titus, la démo de Préhistorik et The Blues Brothers. C’était une révolution pour nous à l’époque avec ces premie jeux en 256 couleurs et des chouettes musiques qui venaient remplacer le biip biip du PC-Speaker.
The Blues Brothers – Press Start
The Blues Brothers, avec le recul fait évidemment penser aux jeux Tic & Tac : Rangers du Risque sorti un peu plus tôt sur la console NES de Nintendo mais que nous découvrions en paralèlle sur les bornes de démonstrations du Maxitec pendant les fêtes de fin d’année. Le jeu de Titus se présentait comme un titre dans lignées des jeux consoles avec un gameplay proche dans la mesure où notre musicos peut ramasser des caisses qu’il pourra ensuite balancer sur la tête de ses ennemis. Sur PC, hormis le scrolling brutal d’écran par écran, le titre se montrera plus interssant que Tic & Tac avec beaucoup de variété en sein même d’un même niveau !
Une petite pépite de la portable de Nintendo. Une bande son au top, une jouabilité bien foutue et des détails épurés permettent au titre de prendre une place de choix dans la plupart des ludothèques. On regrettera peut-être de ne pas avoir la possibilité de passer dans une difficulté plus élevée et de n’avoir « que » 5 niveaux à parcourir. (Un article à lire sur Press-Start)
Je n’ai découvert que tardivement la version Gameboy dont le portage était assez réussi. Titus maitrisant assez bien le portage de son moteur « plateformer » sur la portable de Nintendo, là où la version NES par contre est assez catastrophiquement pauvre !
J’ai récemment retrouvé également la version Commodore 64 qui souffre, elle, d’une bande son calamiteuse, alors que la machine aurait permis à cette époque de faire quelques chose de beaucoup plus réussi !
On fait l'impasse sur beaucoup de graphismes dans la version NES - The Blues Brothers - NES (Titus, 1992)
Sur le Commodore 64, cela manque un peu de lisibilité ! The Blues Brothers - C64 (Titus, 1991)
The Blues Brothers - PC (Titus, 1991)
Le portage GB tiens parfaitement la route ! The Blues Brothers - GB (Titus, 1992)
Bref, The Blues Brothers fait partie de ces jeux mythiques qui ont façonné un plaisir de jeux que je cherche à retrouver dans les jeux dit « de plate-forme » et est donc pour moi une référence quand je pense à la création d’un jeu de ce genre, comme j’aurais prochainement l’occasion d’en parler lorsque je m’arrêterais sur le projet « Spector ».
2019 a démarré sur le chapeau des roues et je cours déjà de tout coté. Ce n’est pas pour cela que je n’aurais pas le temps de « jouer » à des jeux vidéo, tout simplement parce que ces moments me permettent également de faire un peu le vide mais aussi maintenant de passer des moments FUN avec les enfants.
Kingdom Hearts III
Scoop.it me faisant défaut, je profite du nouvel outil d’intégration de lien de WordPress 5 pour vous partager rapidement les différents jeux annoncés ces dernières semaines qui auront marqué mon attention. Il y a bien sur le remake de Link’s Awakening dont je vous ai déjà parlé il y a quelques temps ou encore Kingdom Heart III sur lequel Press-Start et Site Geek se sont tous deux penchés et que dont nous avons également commencé l’aventure en famille !
Kingdom Hearts 3 est un bon RPG qui aurait même pu être excellent s’il n’avait pas décidé de laisser sur le bord du terrain les joueurs n’ayant pas eu l’occasion de parcourir l’entièreté des épisodes parus à ce jour. Ses mécaniques de jeu font mouche malgré quelques soucis de confusion lors des combats – des aléas qui sont bien peu de choses face à la direction artistique envoûtante du jeu – et on prend plaisir à retrouver les personnages de la saga et de nos Disney favoris. (A lire sur Press-Start)