Comme d’habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous ! Sans être un grand amateur de courses cyclistes, j’ai décidé de ne pas rouspeter parce que notre quartier est bouclé tout le dimanche et englué d’amateurs le samedi… Voyons les choses de manière positive, et allons encourager les dames à l’approche de la côte de la Roche aux Faucons.
Mais Papa, pourquoi les filles elles ne passent pas à la Télévision quand elle fait font la course en vélo, en voiture du course ou en football !
C’est qu’elles n’ont pas tord mes miss, mais hé, regardez ! La course des dames passe sur la RTBF !
Cette sortie était également l’occasion pour moi de tester un peu les performances de l’autofocus intelligent de notre hybride Nikon Z6 II équipé du nouvel objectif 70-200 2.8
Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
#LBLwomen
Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Comme d'habitude, le Liège Bastogne Liège passe par chez nous 😉 Alors on est allé encourager les dames !
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Avec près de 15 années dans la photo, nous arrivons à un moment critique d’achat d’un nouveau boitier photo. Vous l’aurez déjà lu sur ce blog, je garde toujours un oeil sur les nouveaux boitiers afin de ne pas rendre ce moment trop difficile à prendre et l’année dernière j’analysais déjà le nouveau Nikon D780, le D850, les modèles hybrides de Sony dans la gamme Alpha7 et les nouveaux Z6 et Z7 de Nikon.
Après quelques nouvelles mise à jour de mes recherches, et la comparaison entre le Z6II et le Z7II, nous faisions le pas de passer du Reflex numérique à la technologie hybride avec le Nikon Z6II, Nikon proposant de très agressives offres de prix en ce moment !
Nikon Z6 II vs Z7 II – Photographylife.com
À moins que vous n’ayez vraiment besoin de la résolution supplémentaire du Z7 II, le Nikon Z6 II est clairement un meilleur choix pour la plupart des photographes. Il est nettement moins cher, a de meilleures capacités de mise au point automatique et de prise de vue en continu, une grande mémoire tampon qui s’adapte à plus d’images (puisque les fichiers sont plus petits) et il fonctionne mieux dans des situations de faible luminosité. Gardez à l’esprit que 24 MP est un résolution idéal pour la plupart des types de photographie, y compris la photographie de portrait, de mariage, de voyage et d’événement, donc si vous photographiez principalement dans ces genres, optez pour le Z6 II et ne regardez pas en arrière. Si vous avez 1 000 € de plus qui traînent, placez-le vers un excellent objectif Nikon Z prime comme le Z 50mm f/1.8 S. Cependant, si vous trouvez que 24 MP est limité pour les impressions plus grandes ou le travail demandé par vos clients, le Z7 II sera un excellent choix. (Un article à lire en anglais sur Photographylife.com)
Prise en main du Nikon Z6II
Le Nikon Z6II monté de son 24-70 2.8 Z en main
Dès sa prise en main, le Z6II, ici équipé de son objectif 24-70 2.8 en monture Z fait impression. Plus compact que les reflex de la marque, l’hybride Full Frame de Nikon est également plus léger tout en proposant des objectifs dédiés plus large, donc laissant entrer plus de lumière.
L’autre force de ce boitier, un auto-focus hyper intelligent de près de 270 points d’analyse, contre les 51 pour mes anciens boitiers. Clairement, on se trouve ici dans une approche assez différente, à l’image de que Sony propose déjà depuis un moment avec sa ligne Alpha7. Cela demande un peu de changement dans les habitudes, d’autant que l’on ne trouve plus de bouton pour switcher rapidement d’une mise au point AF-S, AF-C ou manuelle ainsi que l’option 51 points ou point centrale. Il faudra probablement jongler entre la détection de visage, d’animaux ou le mode multipoint. Spontanément, j’ai eu eu peu de mal à trouver le raccourci prévu à cet effet, caché entre la poignée et l’objectif….
Plus qu’à tester le résultat des photos ?
Arf, les fichiers ne sont pas reconnus sur le MAC !
De fait, jusqu’ici, j’étais toujours au courant des nouveautés à venir du constructeur d’appareils photo japonnais grâce à mes divers outils de veille, mais je souffre depuis l’année dernière d’une part d’un manque de temps, mais surtout de la disparition d’outils efficaces. Bref, je n’ai donc pas été avertis des informations qui auraient pu émaner du site Nikon Rumours ou Site Geek.
Or, la sortie de ce nouveau boitier full-frame profesionnel m’intéresse tout particulièrement ! En effet, j’attends depuis près de 7 ans un boitier digne du Nikon D700. Si aujourd’hui, le D700 ne peut plus rivaliser avec ces successeurs que furent les D600, D610, D750, D800, D810 ou le plus récent D850, aucun d’eux n’ont pu se positionner comme l’arme parfaite ! D6xx et D750 m’ont toujours donné l’impression d’être bridés, devant faire trop de concessions. En contre partie les D800 et D810 étaient moins performant en basse lumière et équipé d’un capteur imposant rendant la taille des fichiers énormes. En 2014, j’avais analysé le marché qui accueillait alors le D800, le D4 et le DF. Seul le D4 faisait mieux sur les critères qui m’importaient, mais à un tarif de près du double du prix du Nikon D700.
Comparaison des mes boitiers sur DXOMark
Au printemps dernier, je m’étais arrêté sur le Nikon D850. Ce dernier était annoncé avoir amélioré sa gestion des basses lumières (comparativement au D810), mais avec un capteur de 45MP et un tarif à plus de 3500€, on ne peut pas parler de véritable remplaçant du D700.
Je pense qu’avec les années qui passent, j’apprécie de plus en plus l’automne. Une fois les enfants rentrés à l’école, les deux semaines un peu rudes qui demandent de retrouver le rythme du travail, des devoirs, passées. J’apprécie alors prendre ces quelques minutes, secondes parfois à regarder le paysage changer chaque jours de couleur. Je me disais d’ailleurs que nous avions de la chance que sur cette planète, la nature nous offre un tel ballet de couleur, inlassablement. Que les arbres se parent de jaune, d’orange et de rouge durant cette saison, avant que les feuilles ne recouvrent le sol… Et qu’au fond, nous humain, nous puissions assister à cela… vous savez, une histoire de longueur d’onde, là…. Malgré les longs bouchons de ce mois d’octobre pour rejoindre la route du Condroz, j’aime serpenter la route de la Roche aux Faucons chaque jours parée de nouvelles couleurs. J’aimais aussi voir le jardin changer de couleur, mais il nous faudra attendre encore un peu que les nouveaux arbres plantés cette année ne prennent un peu plus d’ampleur…
La semaine dernière, mon équipe s’envolait pour Naples afin de participer à un colloque majeur lié aux MOOCs. J’avais profité de cette occasion pour emporter avec nous le nouveau boitier hybride signé Sony, l’Alpha 7rIII équipé d’un objectif Sony monture E full frame 50mm F 1.8.
Déjà testé pour ses performances en tant que boitier vidéo, avec notamment un follow focus impressionnant lors de prise vidéo en mouvement, c’était ici l’occasion de mettre au défi ce petit boitier compact à la finition impeccable d’un part des environnement mi-ombre, mi-soleil lors de la journée du dimanche, puis en mode nuit par la suite.
Dans une gamme Sony Alpha 7 trop vaste, il n’est simple de savoir ce que chacun des boitiers à comme caractéristiques et différences. Même en magasin, je n’ai pour l’heure pas réussi à pouvoir obtenir des renseignements précis, je me suis donc fait un petit mémo puisque l’on retrouve encore aujourd’hui sur le marché l’Alpha 7, l’Alpha 7II, l’Alpha 7III, l’Alpha 7r, l’Alpha 7rII, l’Alpha 7rIII, l’Alpha 7s et l’Alpha 7sII avec des prix allant de 850 à près de 3000€.
42 megapixels – ISO 6400 – 50mm F 1.8 – L’équipe à Naples
Si l’on tâchait de faire simple, à l’origine la différence significative entre le modèle de base et la déclinaison « r » est sur base d’un boitier identique l’utilisation de deux capteurs full frame différents. un 24 megapixels et un 42 megapixels pour la déclinaison « r » (36 dans sa première version). Le nombre de megapixels offre des images avec énormément de détails et la possibilité de faire de large agrandissement (ou de forte coupe), mais il réduit l’efficacité du capteur en faible lumière, sa plage de sensibilité est donc plus courte. Enfin, la série « s » est initialement dédiée à la vidéo, avec des modèles équipé d’un capteur de seulement 12 megapixels afin d’élargir encore la plage de sensibilité mais pouvant également filmer en 4K et en slow motion.
Néanmoins, les 2 premières génération de Sony Alpha 7 souffrait d’une trop faible autonomie. La 2° génération apportait un capteur stabilisé, la possibilité de filmer en 4K sans utiliser de périphérique externe ainsi qu’une amélioration du follow focus, mais indéniablement, la 3° génération se présente comme parfaite avec une nouvelle série de batterie 2x plus performante. En effet tant en reportage vidéo que sur quelques jours de reportage photo, cette dernière ne nous a pas fait défaut, alors que, rapelons-le, il s’agit ici d’appareil photo hybride. A savoir, qu’il ne dispose pas d’un viseur optique, mais bien d’un viseur LCD qui doit donc être alimenté.
La gamme Sony Alpha 7Au sommet de Napoli – Le plein de détails
Habituellement, je jongle entre mon Nikon D750 et mon excellent photophone Google Pixel 2. Ce dernier de part son omniprésence me permet de dégainer rapidement tout en me rapportant de jolies photos essentiellement des portrait ou en environnement sombre. Mais lorsque j’analyse ces dernières, elles manquent de détails dans les paysages tout spécialement. Avec ses 42 megapixels, le Sony Alpha 7rIII offre des clichés impressionnants ! Les détails des petites maisons au loin dans la crique de Napoli sont propres, là où mon Google Pixel 2 si l’on cherche à voir les détails offre une image plus pâteuse. De nuit, alors que je l’imaginais souffrir, il n’a bronché sur aucune mise au point du 50mm 1.8. A la retouche, les images de fin de journée en ISO 2000 sont impeccable. Lorsque la nuit est tombée, j’ai poussé jusqu’à 6400 ISO avec un peu de mouchetage très léger.
Petit désagrément, le format brut .ARW de Sony est mal reconnu nativement sur un ordinateur Apple. Il faudra que j’approfondisse le sujet, mais sur mon Mac Book Pro – Sierra, le logiciel Apple Photos ne parvient pas à afficher ou éditer un fichier, imposant de devoir utiliser les outils de base de Sony. Alors que sur ma station iMac équipé de la dernière version d’OSX – High Sierra, je n’ai pas eu ce soucis. Il faudra approfondir le sujet.