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Halloween en 16 couleurs, Monster Bash

Halloween en 16 couleurs, Monster Bash

Prêts pour Halloween ce soir cheeeers amis ?

Monster Bash, un petit goût de Ghost & Goblins ?
Monster Bash, un petit goût de Ghost & Goblins ?

Moi je me suis proposé à vous faire (re)découvrir chez Press-Start, ce titre de circonstance : Monster Bash. Pendant que les plus anciens d’entre vous vivaient au rythme de leur Super Nintendo ou Mega Drive, moi je faisais avec ce que je trouvais sur mon PC ! C’étaient les années Shareware, la grande époque où un titre signé Apogee ne pouvait être qu’un hit incontournable. Avec un moteur 2D de plate-forme hyper réactif au détriment certes d’une palette couleur très limitée, les titres Apogee cherchaient à imiter le monde des consoles sans pour autant tomber dans la copie. Keen CommanderDuke Nukem, Bio Menace et Monster Bash faisaient clairement partie des meilleurs !

Dans Monster Bash, Johnny Dash s’est fait enlever son chien par le comte Chuck dans son lugubre manoir. L’histoire ne dit pas si nous étions la nuit d’Halloween, mais au vu des monstres et autres morts-vivants qui trainent dans le coin, Johnny aura besoin d’adresse pour s’en débarrasser au lance-pierres !

Les amateurs de Mortal Kombat, grand hit de l’époque, apprécieront dès lors les éclaboussures de sang et autres yeux de zombies qui s’envolent !

Envie d’une petite partie vite fait ? Profitez-en, le jeu est jouable gratuitement sur Archive.org, mine d’or du rétrogaming !

 

Les films du mois : Seul sur Mars

Les films du mois : Seul sur Mars

Seul sur Mars

Seul sur Mars (2015) 9/10

Si seulement nous passions plus de temps à la conquête de l’univers qu’à créer des armes et faire la guerre… peut-être en serions nous déjà à des missions sur Mars. Magnifique film dans la lignée d’un Robinson, Seul au monde ou encore Apollo XIII.

LOL (2009) 9/10

J’adore ce film… Sophie Marceau, Alexandre Astier… le plus beau duo évidemment ! On se sent dans un « La Boum » 30 ans plus tard… Par contre, qu’est-ce que je ne me réjouis pas que mes enfants soient ados !

Gone Girl (2014) 9/10

Ce n’est pas vraiment un thriller, ce n’est absolument pas une comédie dramatique… et c’est ce qui fait de ce film une réussite. On ne sait pas où l’on nous emmène dans cette recherche de la vérité. Mention spéciale à la bande son digne de Silent Hill à bien des moments !

 

Home Sweet Hell (2015) 7/10

Dangerous Housewife pour les francophone, histoire de rappeler bêtement la série « Desperate Housewife » permet de passer un moment amusant. L’humour va parfois (souvent) un peu trop loin, mais s’assume.

Une heure de tranquillité (2014) 7/10

Une comédie amusante et que l’on sent tirée d’une pièce de théâtre. Christian Clavier se laisse un peu trop emporter… et le reste du casting ne m’a pas vraiment convaincu. Malgré tout j’ai passé un bon moment, TV.

Hunger Games  : La révolte (partie 2) (2015) 6/10

Tout cela pour en arriver là ! Le 3° tome était vraiment mauvais, j’ai fini par décroché au 2/3… C’est donc avec la 2° Partie du film que j’allais enfin savoir le dénouement de l’histoire. A nouveau visuellement l’ambiance est réussie et fidèle au bouquin, le soucis, c’est le fond guerre entre le Capitole et les Districts sont beaucoup trop tactiques et peu passionnant. En réalité on se la joue 76° Hunger Games, voire même 77°… mais cela n’en donne pas l’effet. Tout est prévisible et surtout, les sentiments sont absents. Divers personnage clés meurent et on en reste presque indifférent tant le film est vide. Le tout se termine dans la petite maison dans la prairie… et l’on se dit… bon allé, c’est fini ou quoi !

Hotel Transylvania 2 (2015) 6/10

Le concept de ce 2° film fonctionne, un petit bébé est né de l’union de Mavis et son « humain » mais sera-t-il vampire ou non ? Le charisme des personnages principaux fait toujours sont effets mais un certain humour visqueux entre tripes et boyaux me dérange toujours… surtout pour mes enfants. Certains passages de la fin avec le gentil monstre possédé est un cran trop effrayant. Bref, je suis moins convaincu que pour le premier sur lequel j’étais assez sceptique avant de le regarder.

Alors Charly (6 ans), tu as bien aimé ? « Oui… et j’espère que le 3 sera encore mieux »…

Into the Woods  (2015) 4/10

Into the woods, into the wooOOOds ! et ce pendant pas loin de 2h… Pfiuuuuh, heureusement qu’il y un gratin d’acteur et actrices pour rehausser d’un poil tout cela…

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Une grosse Drache sur Silent Hill !?

Une grosse Drache sur Silent Hill !?

Initialement publié sur le site Be-Games.be, le nouveau site des gamers et rétro-gamers belges, je vous livre mes premiers pas,… de retour à Silent Hill !

Depuis 1999, la ville de Silent Hill semble attirer les âmes en peine… Je me souviens encore être resté plus que perplexe lors de ma toute première visite dans une ville enneigée et brumeuse, incarnant Harry à la recherche sa petite Shelly. Le hasard d’une rencontre dans un bus d’une personne devenue accroc à Silent Hill m’inspirera une deuxième visite, afin de devenir à mon tour un addict de cet étrange malaise et cette envie de savoir pourquoi… Ensuite, il y aura Silent Hill 2, l’histoire d’amour en James et Mary, indéniablement la plus belle réussite, avec des scènes marquées à jamais dans ma mémoire, les escaliers interminables du musée, la porte entre les deux buildings,…

Les suites ne seront que d’éternels retours à Silent Hill, se démarquant bien difficilement des deux premiers. Silent Hill IV : The Hole, avait ce petit quelque chose de spécial, de voyeurisme, d’originalité qui aurait pu en faire un excellent titre mais l’arrivée d’esprits ne me plaira pas du tout. Une série d’épisodes sortiront alors bizarrement sur des consoles inadaptées ou désuètes, tel Silent Hill origins sorti en 2008 sur une Playstation 2 à l’abandon. Le 5° Silent Hill : Homecoming, j’en ai déjà parlé s’est fourvoyé, trop classique, fort vide et des monstres bien trop difficiles à combattre. Sur Nintendo Wii, c’était un étonnant Silent Shattered memories qui débarquait, revisitant avec une certaine réussite le tout premier opus, sorti dix ans plus tôt sur la PlayStation. L’histoire est différente tout en conservant la découverte de Silent Hill et la recherche de Shelly. Un épisode plus axé sur l’exploration et la fuite que sur la peur, les énigmes et les combats qui nous occupaient jusqu’ici.

 

Voilà dans quel état d’esprit j’attends depuis le printemps dernier, l’arrivée d’un 6° volet de Silent Hill sur PlayStation 3. Conscient qu’une fois de plus, Konami a préféré céder la licence à un studio externe capable du pire, comme du meilleur. D’autant plus qu’entre temps, une nouvelle référence au Survival Horror avait montré le bout de son nez : Alan Wake, titre dont j’espère toujours bientôt découvrir.

Bref, ce nouveau 6° volet, baptisé : Downpour était annoncé dans la lignée du style d’Alan Wake. S’écarter un peu de la ville, se perdre dans les bois. Ca me plait ça ! Par contre, le nouveau personnage principale, Murphy, taulard en cavale, m’inspire bien moins à priori. Et nous voilà fin mars, entre les goutes, Silent Hill : Downpour vient de sortir… Enfin pas dans tous les magasins visiblement et sans trop de mise en avant sur les sites spécialisés. Et les copains de Be-Games, ils en pensent quoi !? A ben visiblement, ils en pensent du bien. Bon, on va se le trouver alors.

C’est parti…. Bon, déjà je n’accroche pas trop à la mise en situation. En guise de tuto, on se retrouve dans un rêve de Murphy où il descend à coup de ce qu’il lui passe par la main, un autre prisonnier à qui visiblement il en veut vraiment beaucoup. J’imagine que c’est pour nous aider à comprendre ce qui se passe dans la tête de Murphy mais je ne suis pas un adepte des jeux où l’on se tue entre humain. Les GTA, Hitman et compagnie, ce n’est pas mon genre. Je suis sur Silent Hill pour tuer du monstre ! Bref, après cette intro belliqueuse, l’ambiance se construit, Murphy se voit transféré et passe aux abords de la ville de Silent Hill, une ville qui semble appeler Murphy à lui. Bardouf c’est l’embardée! Me voilà qui m’extirpe de l’épave du car, qui me glisse entre les rochers, qui marche lentement, trèèès lentement sur un tronc d’arbre… j’arrive enfin à une zone qui semble civilisée, perdue le long de la route qui traverse les bois. Rien, personne… à si… un facteur qui vient me faire la morale !

Oki, jusqu’ici, l’ambiance se construit bien. C’est vrai que le moteur 3D peine un petit peu par moment mais c’est pardonnable. La musique est digne de celle d’Akira Yamaoka qui pour une fois ne fait pas partie du programme. Les temps de rechargement lorsque l’on meurt par contre, sont franchement longs ! Il faudra éviter cela, d’autant qu’à l’inverse des anciens volets, il n’y a plus de points de sauvegarde à trouver mais des phases d’auto-sauvegardes. Celles-ci rendent les phases de jeu inconfortables, pour le jeune papa au timing ludique aléatoire que je suis.

Déjà un peu plus de trois heures passées dans ce nouveau Silent Hill et il ne m’en faut pas plus pour me réjouir de la réalisation apportée à ce dernier. Parce que franchement, j’ai dû un peu cogiter pour résoudre les énigmes ou parfois avoir l’impression de devoir le faire. Les lieux jusqu’ici parcourus se démarquent un peu des ruelles déjà maintes fois arpentées, de l’hôpital, des égouts… du cimetière. On se sent pourtant bien dans un Silent Hill, et non un Resident Evil 4 par exemple. L’ambiance à su être retrouvée. Le monde parallèle est bien rendu, avec un effet de grand angle, des plans à caméra fixe et une angoisse tout de suite pesante. Un monde où les lois sont chamboulées. Aaah, le coup de l’escalier, c’était clairement pour me remettre dans l’ambiance des choses qui fonctionnaient dans les anciens volets ! Bon c’est vrai, il y a ce truc qu’il faut fuir… J’aime moins, mais en même temps, c’était plutôt efficace dans Shattered Dimension.

Coté bagarre, on pouvait faire difficilement pire que Silent Hill 5. C’était vraiment ce qui m’avait le plus énervé il y a quelques années. Ni mode Easy, ni monstres vraiment difficiles à vaincre avec en plus un stock d’armes assez limité. Je me suis donc mis en mode EASY ici. J’avais lu que l’on pouvait sans soucis se promener et éviter la bagarre. Jusqu’ici, les grognasses ont plutôt tendance à me prendre par surprise, à me faire sauter en l’air. Le temps de reprendre mes esprits et de leur filer quelques coups de râteau. Dans Silent Hill : Downpour, on peut prendre à peu près tout ce qui nous passe sous la main pour combattre. Pour l’heure, un peu trop de trucs même et parfois sans savoir de quoi il s’agit, m’obligeant à reprendre ensuite mon brave râteau. Ce dernier devrait avoir une « durée de vie » mais jusqu’ici, il tient le coup ! J’ai aussi ramassé une tonne de pansements, ce qui change de l’épisode précédent ! Par contre, bien qu’aillant été régulièrement attaqué, je n’ai pas vu de jauge de vie m’inspirant à en faire usage.

A la recherche d’un « petit train dans les mines » pour rejoindre la ville, j’ai probablement encore de longues heures à parcourir ce nouveau Silent Hill, à en découvrir de bonnes et mauvaises facettes, mais je pense que l’on peu déjà en faire le constat. Silent Hill Downpour a su renouer avec les bons choix !

Alors pourquoi « Grosse Drache » ? Pour nos amis français, un bonne grosse drache, ici en Belgique, c’est quand il pleut averse chez vous… Alors, moi je me posais la question de ce que voulais dire « DownPour »… un genre de DownTown, les faubourgs de Silent Hill, la périphérie de Silent Hill… Ben non, DownPour… c’est une grosse drache :) Mettez une pièce dans les jumelles à Devil Pit et vous comprendrez !

Les films du mois : Shutter Island

Les films du mois : Shutter Island

Shutter Island (2010) *****

Ah, c’était donc ça du Martin Scorsese ! Ben si j’avais su, je n’aurais pas pris le risque de passer à coté. Clairement Léonardo se retrouve de plus en plus souvent dans les films qui dérange, avec un rôle difficile mais qui lui va si bien ! Difficile de décrire shutter island sans en dire trop… Disons que j’ai vécu ce film comme je vis les meilleures jeux vidéos auxquels j’ai joué… comme si j’étais là a comprendre l’histoire à la décrypter, à chercher des indices !! Merci Jeff de m’avoir en son temps signalé cette excellent film !

Red Riding Hood (2011) ****°

Waouw, ça change des histoires de vampires ça ! Un très bon mélange de film romantique et fantastique puisant bien sur dans le petit chaperon rouge, mais également Le Village ou tout simplement le jeu Loup Garoup. L’ambiance du film est excellente, avec des couleurs et effets de lumière dans cet univers vraiment agréable. Avec en prime un Kinepolis calme et paisible… une excellente petite soirée ciné et un film à ne pas louper !

Daybreakers (2009) ***

Bon… science fiction et vampires, ça aurait pu le faire… Au final, ça tourne quand même plus à l’hémoglobine mal dosée et un manque d’action réelle… Dommage, en soit le concept était intéressant.

Where the Wild Things Are (2009) *

Bizarre je m’étais fait une super impression de la bande annonce de ce film (Max et les Maximonstres)… et pouvant enfin le voir, dès le départ, j’ai senti que j’allais être déçu… j’ai tenu bon près de 20 minutes… mais vraiment, je n’ai pas réussi à accrocher.

Sherlock Holmes (2009) ***°

Bon, je crois qu’il m’aura fallu la moitié du film pour me faire à un Holmes si jeune, à un Watson au physique très Sherlock, tous deux presque maître Kung Fu… Un Sherlock caractériel, est qui semble à coté de ses pompes…. Le tout semblant s’orienter vers une enquête aux penchants de Magie Noir… Force m’est de vous dire que j’avais bien du mal à faire la corrélation avec le gentil Sherlock Holmes et son débonnaire Dr Watson à la poursuite des inventions tordues du Professeur Moriarty… issu du dessin animé de mon enfance. Je n’ai jamais lu les livres originaux, peut-être cette enquête y fait-elle pourtant référence ? Ceci dit, petit à petit, une fois les personnages et leur méthodes acceptées, j’ai commencé à apprécier le film, sentant qu’il y avait bien de l’énigme tordue là derrière,… lui trouvant même un petit gout de Benjamen Gates qui n’était pas pour déplaire,… l’histoire se terminant dans une future poursuite après le professeur Moriarty !

En mode BD

En mode BD

Vous aurez constaté que j’ai peu parlé Jeux Vidéo ces derniers mois ! C’est qu’il faut bien l’avouer, je regarde plus les boitiers de FFXIII et Heavy Rain que ce que je n’allume réellement ma console ! Le soir, je suis crevé, et pendant la journée, si je suis à la maison, il me faut au moins un œil pour surveiller Charly ! Il me fallait donc m’adapter à ce nouveau train de vie, maintenant que mon grand monstre marche à quatre pattes dans la maison et tente d’attraper tout ce qu’il trouve, voir même de prendre la poudre d’escampette dans les escaliers ! Les BDs se sont avérées être une bonne solution… et tant mieux, car j’avais un sacré retard en la matière justement ! J’en ai donc profité pour terminer tous les Monster Allergy que madame avaient achetés il y a quelques années et que je n’avais toujours pas ouvert… Puis j’ai enchainés sur les aventures de Lys pour maintenant me (re)plonger dans Les P’tits hommes !

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