Archives de
Tag: italie

Découvrons la Gamate, le copain pour jouer !

Découvrons la Gamate, le copain pour jouer !

Après avoir sorti des archives la Super Vision et la Game Master ces deux dernières années, je poursuis donc ma découverte des consoles tentant de concurrencer la Game Boy de Nintendo au début des années 90, toujours à la recherche de celle que possédait mon ami Xavier

Puisqu’il ne s’agissait d’aucune de ces deux consoles, me restait à mettre la main sur une Gamate et/ou une Mega Duck.

Je me suis donc concentré sur la première, qui avec sa forme de SEGA Game Gear, se rapproche le plus de mon souvenir : console noire, allongée, monochrome et proposant des jeux plus basiques que la Game Boy.

Effectivement, une fois en main, la Gamate se montre clairement moins « noble » que les consoles de SEGA et Nintendo, même si elle repose sur une technologie d’écran DOT MATRIX LCD comme annoncée sur la Game Boy de Nintendo. Bien que proposant un écran d’une résolution de 160×152 pixels, un peu plus grand que celui de la Game Boy, la console se montre moins imposante.

La Gamate de BIT Corp, un air de Game Gear, des composants copiant la Game Boy.
La Gamate de BIT Corp, un air de Game Gear, des composants copiant la Game Boy.

J’ai cru un moment que cette console était poussée par l’un des studio anglais B.I.T.S. ayant développé des jeux pour la Game Boy et la Super Vision. Ce qui me faisait dès lors imaginer une console, certes moins folichonne que la Game Boy, mais qui serait de qualité honorable. Malheureusement, j’ai confondu le studio B.I.T.S. avec la société Taiwanaise BIT Corp. qui va donc concevoir la Gamate. Il ne s’agit pourtant pas pour celle-ci d’une première apparition sur le marché des jeux-vidé ! Après avoir réalisé quelques jeux pour l’Atari 2600 et la Coleco Vision, BIT Corp. avait par exemple conçu pour le marché asiatique une console pouvant lire les cartouches Coleco Vision ainsi que les Cards de la console SEGA SG-1000.

Dans l’ouvrage A la découverte de Consoles Insolites d’Anthony Boudin chez Third Edition, on évoque d’ailleurs l’idée que la Gamate aie été développée par rétro-engineering, soit en analysant le mode de fonctionnement de la Game Boy de Nintendo, les composants des deux machines étant particulièrement proche.

A l’image de la Game Master et de la Super Vision, ce sont plusieurs sociétés qui vont s’occuper de la distribution de la console sur le marché Européen au tout début des années 90, dont GIG en Italie et en Belgique, une entreprise bien établie dans l’importation de jouets, comme par exemple les Micro Machines ! Lancée en 1990, la Gamate sera accompagnée de pas moins de 50 jeux là première années, et en proposera un peu plus de 100 avant de petit à petit disparaitre.

Avec un prix moindre que la Game Boy, sa poussée sur le marché italien a probablement permis à la Gamate de se démarquer parmi les autres clones de Game Boy dans cette partie de la Belgique !

Le packaging italien proposé par GIG du jeu Marauder pour la Gamate.
Le packaging italien proposé par GIG du jeu Marauder pour la Gamate.

Lire la suite Lire la suite

Trésors pour Commodore 64

Trésors pour Commodore 64

Oh, j’en ai eu des jeux sur mon Commodore 64 ! Arrivés à la maison en 1984, il fera partie du plaisir des congés pendant de longues années, jusqu’au milieu des années 90.

Et pourtant, hors de ce joli melting-pot, bien peu d’entre ceux-ci n’ont eu la chance d’arriver jusqu’à mon Drive hormis peut-être Outrun, Wonder Boy, Arkanoid ou Super Cycle, lors du dernier lot de disquette ramenée durant l’été 1993.

C’est bien simple, je n’imaginais pas à l’époque que des titres comme Chase HQ auquel je jouais sur Game Boy ou encore Altered Beast, dont j’avais découvert l’univers sur le PC de mon voisin, existaient sur mon Micro préféré… Et à ne pas manquer, je suis certain que je serais tombé sous le charme de M.y.t.h. : the history of making et sa bande son devenue « mythique » signée Jeroen Tel.

Lire la suite Lire la suite

Back on track

Back on track

Et voilà, le monde me semble avoir un peu recommencé à tourner. Depuis le second weekend de juillet, mes petites Formule 1 tournent en rond. Le calendrier n’est pas encore définitif, ce qui est un peu cocasse d’imaginer pilotes et équipes anticiper une saison au nombre de courses changeant. Mais de fait, les courses en Asie et Amérique semblent fortement compromises au vu de la situation encore très compliquées là-bas. Pour commencer cette étrange saison, les pilotes se sont donc retrouvé deux weekend de suite sur le même tracé, celui de Spielberg en Autriche. Il aurait été amusant de proposer le second weekend de Grand Prix en sens inverse, nous n’étions pas loin que celui-ci se déroule sous la pluie, mais finalement à la télévision, ces deux premières courses se sont montrées suffisament originales.

L’échiquier 2021 semble presque déjà formé depuis l’annonce la semaine dernière d’un retour de Fernando Alonso chez Renault pour palier au départ de Daniel Ricciardo chez Mc Laren. Dans tout ce petit manège, Sebastian Vettel, pourtant quadruple champion du monde se retrouve devant de nombreuses portes closes, comme je l’avais déjà imaginé lors de son annonce de retrait de la Scuderia il y a quelques semaines. Cette situation rend l’ambiance chez les rouges particulièrement fumantes, d’autant que leur SF1000 est bien loin d’offrir la puissance attendue. Je me suis même dit que Sebastian pourrait bien leur claquer la porte au nez.

Dimanche, nous aurons donc droit au Grand Prix de Hongrie avant deux courses à Silverstone. Entre temps, la saison de Formule E se clôturera avec 6 ePrix sur le tracé de Berlin…. Quelle place pour notre Stoffel dans tout cela. Ce dernier patiente dans sa chambre d’hôtel pour palier à toute indisponibilité de l’un des représentant de la marque Mercedes… Après le Royaume-Unis, les équipes s’envoleront pour l’Espagne dont le GP a pu être déplacé, puis la Belgique et l’Italie à Monza. Cette semaine, la FIA a officialisé que la saison se poursuivra avec une seconde course en Italie, course qui se déroulera pour la première fois sur le tracé du Mugello avant de se rendre en Russie où malgré une situation encore délicate, le GP de Sotchi semble confirmé. Cela nous emmènera jusqu’à la fin Septembre avec les 10 premiers GP de la Saison. Singapour, Chine, Japon ont préféré ne pas organiser de Grand Prix. Le Canada, un temps candidat est également écarté. Les Etats-Unis, le Mexique et le Brésil devraient être annulé et pour l’heure s’est un Grand Prix en Allemagne et un retour au Portugal qui serait parmi les candidats.

Reste que la fin de courses, les masques, pas de public et cet étrange podium donne un gout un peu différent aux courses.

F1 2020 Grand Prix d'Autriche
F1 2020 Grand Prix d’Autriche
Retour à l’anormal

Retour à l’anormal

Voilà, c’est reparti. J’ai fait le plein d’essence. Les mallettes sont dans le coffre, les boites à tartine remplies chaque matin. Depuis lundi dernier, les enfants ont repris le chemin de l’école, avec beaucoup d’enthousiasme. Il n’y a pas lieu d’attendre des heures le matin, je les récupère au compte goute fin de journée… et sans devoir, ce qui offre un certain soulagement cognitif aux parents. Ils sont heureux d’avoir pu jouer avec leurs amis et amies et de revoir leur institutrice ! Comparativement aux échos d’autres parents, l’organisation du retour à l’école chez nous se passe bien, toutes les classes pouvant retrouver leur instituteurs durant l’ensemble de la semaine. Seul Charly tire un peu la tête de devoir rester dans une bulle qui n’inclut pas ses copains et copines de 6° ou de 4°… Heureusement, il peut encore papoter longuement avec eux sur Messenger une fois rentré ; )

De mon coté, retour à l’anormal également. Masqué, j’ai relancé le studio et déjà l’agenda se remplit, se presse, se compresse jusqu’aux vacances d’été. Tout cela laisse peu de temps à réfléchir… Pour nous, il faut bien l’admettre le déconfinement a été  un peu brutale.

Aujourd’hui, les chiffres restent plutôt rassurant, même si la presse à clic aime à nous rappeler que de nouveaux foyers ont été découvert en Chine, en Italie, à l’aéroport de Bierzet ou dans une école de Bruxelles, de Flémalle…. Prenez garde à ce qui plane au dessus de vos tête pour cet été, tente-t-on de nous faire comprendre.

Petit à petit, derrière ce foutu masque… je reprends un peu plaisir à entrer dans un magasin. Nous avons revus nos amis et la famille ce Weekend. Je me réjouis de pouvoir retourner manger dans notre resto préféré,… bientôt la pluie cédera à nouveau place au grand soleil d’été !

 

La semaine prochaine s’annonce chargée, il restera alors encore la suivante, avec les deux derniers jours d’école des enfants… Puis les vacances, les camps, les stages… et les autres surprises que nous réserve le futur ! La piscine en tout cas n’attend que le retour du grand soleil pour accueillir les enfants !

4 enfants et une Fiat 500L, pas en Belgique !

4 enfants et une Fiat 500L, pas en Belgique !

Il y a 3 ans, lorsque j’analysais les voitures compactes pour y embarquer 4 enfants et 1 adulte à petit budget, je n’avais pas retenu la Fiat 500L. En occasion, son prix était pourtant autour des 10.000€, mais l’intérieur était un peu étroit pour y mettre 3 sièges auto groupe 1-2 à l’arrière. Maintenant que les enfants ont grandi et que l’on peut utiliser de simple réhausseur, le style originale de cette large citadine italienne l’a remis dans la danse et j’ai à nouveau analysé le marché.

L’espace intérieur arrière est un peu plus étroit que la Dacia Sandero, mais le coffre est plus généreux. L’équipement est également plus moderne.

Fiat veut s'éloigner du marché des petites citadines
Fiat veut s’éloigner du marché des petites citadines

 

Là où le bas blesse, c’est la motorisation. Si lors de sa sortie, la 500L proposait plusieurs motorisation, dont le moteur Turbo AirTwin 900cc, à l’heure actuelle, on ne trouve que des motorisations Diesels ou Essence, en 1400cc. Pour ce genre de modèle, cela fait doubler la taxe de circulation et de mise en circulation, ici en Wallonie, ce qui rend dès lors l’achat d’une Fiat 500L peut attrayante. Voilà qui est bien dommage. Ceci dit, alors que j’analysais le sujet, j’ai pu me rendre compte que la fusion Fiat / Peugeot / Chrysler allait probablement grandement changer le marché et faire disparaitre plusieurs modèles Fiat.

Depuis l’arrêt de la Punto, qui appartenait au segment B, celui des citadines polyvalentes, Fiat se concentre sur le segment A, celui des petites citadines, avec la Panda et la 500. En Europe, l’italien est d’ailleurs ultra-dominateur sur ce marché. Mais le segment A, où la clientèle attend des prix bas, n’est pas assez rentable. En clair, si la Panda est un succès commercial, c’est un succès qui ne rapporte pas grand-chose. D’ailleurs, de plus en plus de marques quittent ce marché. Opel vient de stopper la production des Karl et Adam, Ford écoule les dernières Ka+. (A lire sur Caradisiac)

La marque Fiat, le point noir de la fusion entre PSA et Fiat-Chrysler?
La marque Fiat, le point noir de la fusion entre PSA et Fiat-Chrysler?

4 enfants dans une voiture compacte à petit budget !