Archives de
Month: septembre 2017

SEGA, c’est plus fort que qui ?

SEGA, c’est plus fort que qui ?

C’était mon projet durant les grandes vacances, organiser un petit shooting autour des consoles SEGA et tout particulièrement la console Megadrive ! En primeur chez Press-Start depuis le mois d’aout, je reviens ici sur la genèse de ce projet.

Bien que je sois plutôt un grand fan de Nintendo aujourd’hui, si je me pose un moment sur la grande époque du début des années 90 où le combat SEGA VS Nintendo battait son plein, il me faut bien admettre que j’avais plus d’intérêt pour la Mega Drive que pour la Super Nintendo. Et il y a plusieurs raisons à cela.

LoadGame - l'arrivée de Sonic
Automne 1991, Sonic et Mario 3 débarque chez Maxitec !

Tout d’abord, les courses folles de Sonic le hérisson avaient de quoi donner le tournis, bien plus que les sauts calculés d’un Super Mario qui avaient déjà peut-être perdu de son effet « nouveauté ». Si je jette un oeil à ma ligne du temps de joueur, c’est en 1988 que je découvre Super Mario Bros sur la NES. Le plombier moustachu restera pour moi la référence en la matière pendant quelques années mais la confrontation sera rude lorsque débarquera, à la rentrée 1991 au rayon Maxitec, le nouveau titre de SEGA : Sonic the Hedgehog sur Master System et Mega Drive aux cotés de Super Mario Bros 3.

Autre élément important, l’attaque des foyers : SEGA, c’est plus fort que toi !

SEGA, c'est plus que QUI ? - Sonic the Hedgehog 2
SEGA, c’est plus que QUI ? – Sonic the Hedgehog 2

Et comment, la Mega Drive allait rapidement trouver sa place chez nombre de mes camarades dès 1992 ! Alors que, longtemps, seul mon ami Julien S. possédera une Super Nintendo et il faudra attendre le début 1995 avant que la console de Nintendo ne renverse la vapeur. Or ma passion des jeux vidéo a toujours été un mélange de moments forts passés avec mes amis et c’est cela qui aura fait devenir cultes à mes yeux les voyages au cœur du labyrinthe englouti des aventures de Sonic avec Benoit M., les combats endiablés de Streets of Rage II chez Greg et Joe ou la poursuite de la découverte des mondes secrets de Kid Chameleon chez Bruno D… Alors que chez moi, jeune ado de 14 ans, les consoles n’étaient pas autorisées à la maison.

Lire la suite Lire la suite

Horizon : Zero Dawn, ma révolution PS4

Horizon : Zero Dawn, ma révolution PS4

Joueur depuis le tout début des années 80, j’ai vu le jeu-vidéo grandir avec moi. De Super Mario Bros. sur la NES à Prince of Persia en 256 couleurs VGA en passant par Legend of Zelda sur Gameboy, Devil May Cry sur la PS2 et The Last of Us sur la PS3, chaque génération a eu ses titres si spécifiques qui ont marqué les joueurs,… qui m’ont marqué moi ! En début d’année, nous avions fait le pas de plonger dans la nouvelle génération via la Playstation 4 néanmoins, il faut bien admettre que notre vie est déjà tellement bien remplie, que les occasions de jouer sont évidemment rares et je n’avais jusqu’ici encore pu tester l’un ou l’autre titres modernes : Final Fantasy XV, Resident Evil 7 et The Last Guardian. Hier enfin (Oui, enfin, début septembre quoi !), nous nous lancions à découvrir madame et moi Horizon : Zero Dawn, sorti en mars dernier, un titre exclusif à la console de Sony que je surveille depuis son annonce à la E3 de 2015.

 

Horizon : Zero Dawn - PS4
L’effet ‘Waaouuuuw’

En quelques minutes, on se retrouve immergé dans les prouesses techniques que peuvent réellement offrir les consoles de cette nouvelle ère, bien plus que les décors trop statiques du dernier Resident Evil ou les environnements certes jolis mais un peu trop vides de Final Fantasy XV. Ici, le Waouw est au rendez-vous comme il l’avait été avec le retour de Tomb Raider auquel je jouais début 2015 et The Last of Us à sa sortie durant l’été 2013. Oui, visuellement Horizon : Zero Dawn est un régal avec des environnements lumineux, vastes et colorés. Des jeux d’ombres et de lumières fantastiques. Des détails allant du lierre sur les arbres ou poussières qui virevoltent ou tout simplement les textures des personnages. On en a plein les yeux !

Je me souviens que dans son test sur Press-Start, l’ami Johnny Ofthedead avait fait le constat que Horizon Zero Dawn piochait dans toutes les bonnes idées des jeux récents sans pour autant parvenir à offrir quelque chose de nouveau et original. Pour ma part, avec comme seule expérience d’environnements aussi ouverts Skyrim sur Playstation 3 et la récente aventure de Final Fantasy XV, j’ai grandement apprécié les vastes mondes et décors variés de l’aventure tant en intérieur qu’en extérieur. Si le début de l’aventure est assez bien cadré par une trame narrative digne d’un bon film de sciences fiction, il faut pourtant admettre que petit à petit à force de s’égarer dans quelques quêtes annexes la force de l’histoire se perd un peu, d’autant que j’apprécie en général suivre ce genre d’épopée en tant que « 2° joueurs » laissant ma dame aux commandes principales… Si cette approche fonctionne toujours à merveille dans un Final Fantasy, les longs voyages à travers les terres d’Horizon Zero Dawn on par moment raison de mon immersion…

Et de fait, voilà probablement bien plus d’un mois que nous n’avons plus replongé dans l’aventure… mais il faut bien admettre que nos journées sont tellement épuisantes qu’il est bien difficile de se laisser un peu de temps à se distraire de la sorte… Quoi qu’il en soit, Horizon Zero Dawn sera est restera à mes yeux le jeu de l’année 2017, mais également le titre phare de cette nouvelle génération de console ! (Décembre, 2017)

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrerEnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

EnregistrerEnregistrer

3,1,1 C’est reparti !

3,1,1 C’est reparti !

Finies les vacances, les enfants ont repris le chemin de l’école depuis déjà une semaine. Charly est entré en 3° primaire. Cela ne rigole plus et déjà je vois que dans les fardes, on travaille dure ! Alice et Juliette sont elles entrées en 1° primaire. Voilà qui change bien évidemment des classes de maternelles. Il n’y a pas encore trop de devoirs à gérer dans leur journal de classe, mais lorsqu’ils s’ajouteront à ceux de Charly, cela me promettra des fins de journées épuisantes à l’image du traditionnel Weekend de recouvrement des cahiers !

21 cahiers et 7h 32 minutes plus tard...
21 cahiers et 7h 32 minutes plus tard…

Petite Rose est entrée chez les grands à la crèche. Cela change aussi ! Il faut dire qu’à la maison, pendant les vacances aux cotés de son frère et ses soeurs, elle n’a pas perdu de temps ! C’est simple, du haut de ces 20 mois, j’ai l’impression qu’elle a déjà 2 ans et demi pourrait presque déjà entrer en pré-gardienne. Ce ne sont pas quelques mots l’un derrière l’autre, mais des phrases qu’elle nous raconte… Que ne sait-elle pas encore faire ?

Sur le chemin de l'école
Sur le chemin de l’école

Une fois les enfants à l’école, papa aussi s’en retourne au bureau. Là aussi, la rentrée à sonner pleine de nouveaux défis à relever et de projets passionnants qui me laisse peu le temps de refroidir mon cerveau… Quoi qu’il en soit, la saison 2 des MOOC ULiège s’annoncent au moins aussi énergique que la première !

 

Enregistrer

No power

No power

Je ne compte plus les saisons de Formule 1 regardées à la télévision. Tout cela avait commencé avec mon papa au début des années 90, je me souviens des GP de Belgique où je supportais le moustachu Nigel Mansell sur sa Ferrari, avant l’arrivée du grand Michael Schumacher. A cette époque déjà, Thierry Boutsen, notre pilote nationnal était en fin de carrière sur de mauvaises voitures et cela ne m’intéressait pas tellement… et c’est après le court épisode Philippe Adams sur la Lotus en 1994 que j’ai pris conscience que le chemin serait long avant le retour d’un pilote belge… Un long chemin rempli d’espoir et de désillusions jusqu’à l’arrivée de notre Stoffel Vandoorne dont j’ai suivi l’ascension dans les catégories inférieures jusqu’à son arrivée chez Mc Laren Honda.

Vandoorne, position
Alors, il est devant Plamer ?

Depuis cette année, regarder un GP est devenu quelque chose de bien différent. J’ai toujours été assez souple et enthousiasme par les résultats de l’un ou de l’autre. Tentant pro Vettel, pro Rosberg et supporter des outsiders,… cette année, je passe mon temps à regarder la position de Vandoorne. Priant pour que le moteur tienne, pestant sur la stratégie catastrophique de l’écurie et sur la grosse tête d’Alonso. Le soir, je marmonne et je m’inquiète pour mon petit pilote belge… Il faut qu’il fasse mieux que Jolyon Palmer, c’est le minimum syndicale… et le reste du GP m’apporte peu.

Heureusement, notre Stoffel a été confirmé pour l’année prochaine chez Mc Laren. C’était certes une formalité et pour l’heure ce n’est pas la meilleure place à prendre, mais il sera là… Espérons que chez Honda, la situation s’améliore et que le calme reviennent entre motoriste et constructeur et qu’enfin cesse les « No Power » synonyme d’abandon de course. Pour l’heure la situation de crise semble irréversible, on parle d’un switch avec le moteur Renault de la Toro Rosso,… mais il me semble que la meilleure option pour se démarquer des autres serait de continuer à croire en ce moteur Honda qui ne peut pas être pire l’année prochaine… Si ?

Le moteur Honda...
Le moteur Honda…
Scoop : Le problème du câble USB-C pour la charge

Scoop : Le problème du câble USB-C pour la charge

Le problème du câble USB-C pour la charge
Le problème du câble USB-C pour la charge

Le sujet mérite d’être conservé pour y revenir dans le futur. Pour leur je découvre toute la complexité du port USB-C qui équipe mon nouvel MacBook Pro. En effet ce dernier peut être utilisé pour de l’USB 3, USB 3.1 ou du Thunderbolt 3, mais également pour recharger mon téléphone depuis que je suis sur le Google Nexus 5X. Hors, dans sa récente chronique, le Journal du Lapin y explique que la qualité du cable USB-C (pas juste le chargeur donc) joue sur la puissance ou taux de transfert. En effet, j’avais remarqué que mon câble Belkin USB-A – USB-C de me permettait pas de charger mon téléphone aussi rapidement…

« Avec la charge en USB-C, un problème se pose rapidement : quel câble utiliser ? Pas quel chargeur utiliser (même si c’est important) mais quel câble. Petite démonstration. Premièrement, le chargeur. Un MacBook se contente d’un chargeur de 29 W, un MacBook Pro 13 pouces d’un chargeur de 61 W et un MacBook Pro 15 pouces d’un modèle de 87 W. Comme auparavant avec le MagSafe, ils sont interchangeables avec des limites logiques : un MacBook va évidemment accepter un chargeur de 87 W (et éventuellement charger plus vite) alors qu’alimenter un MacBook Pro 15 pouces doté d’un GPU et d’un CPU à quatre coeurs va poser plus de soucis. La machine va peut-être s’alimenter mais la batterie risque de ne pas charger (ou très lentement) voir se vider en forte charge.(Le problème du câble USB-C pour la charge , Le Journal du Lapin) »