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Day: 12 mai 2012

La Donkey, poussette jumeaux de rêve ?

La Donkey, poussette jumeaux de rêve ?

La Bugaboo Donkey – Trop imposante – Renault Kangoo

Tiens, justement aujourd’hui (enfin, samedi dernier) nous avions décidé de passer la Bugaboo Donkey en mode « poussette », histoire de voir… Et tiens, voilà justement qu’au hasard de notre balade dans Belle-île, alors que je pestais sur ma Bugaboo, je croise une future maman de jumelles qui me demande si j’en suis content de ma Donkey ! Alors, je me dis qu’il n’est peut-être pas trop tard pour prendre quelques minutes pour vous faire un petit retour d’expérience jusqu’ici ! Parcqu’il faut bien l’avouer… j’ai bien moins le temps d’écrire qu’avant l’arrivée des filles !

Souvenez-vous, après une longue analyse de la situation coté poussette pour jumeaux. Nous avions décidé de partir aux Pays Bas chercher en primeur la Bugaboo Donkey qui nous semblait être la meilleure poussette pour nos choupettes. Je reste plutôt convaincu de notre bon choix, mais je suis tout de même déçu d’un peu trop de choses pour une Rolls Royce des poussettes.

Rien à faire, la Donkey est bien moins pratique que sa petite soeur, la Bugaboo Cameleon, le modèle 1 place. Elle se replie et se déplie bien moins facilement, est évidemment est bien plus lourde.. et rempli intégralement le coffre de ma Kangoo… A moins que je ne passe mon temps à enlever l’adaptateur MaxiCosi et l’adaptateur pour le skateboard afin de pouvoir la replier en mode 1 personne… je vous jure que vous ne vous amuserez pas à chipoter de la sorte !

Le sac de rangement sous la poussette n’est vraiment pas pratique… On le dirait même conçu à l’envers, la moitié du temps, les trucs que l’on y range deviennent inaccessibles. Ceci dit, c’est évidemment parce que jusqu’ici nous avons utilisé les MaxiCosi et poussette en mode « Face à nous »…

Je m’étonne également du retour en arrière quand au choix des roues. Ma Cameleon modèle 2009 était en roue pleine, alors que la Donkey revient à des roues à gonfler… et j’ai beau les gonfler, avec 3 enfants dessus, elle me donne toujours l’impression d’avoir des roues trop peu gonflée… Et prendre 1/4 d’heure pour regonfler ses roues sur le parking de Maasmechelen Village, ça le fait assez moyen !

Mais au fond, tout ceci n’est pas trop trop embêtant, elle reste hyper maniable une fois montée ! Là je n’ai rien à redire !

Oui mais… aujourd’hui donc, je testais le mode « Poussette », et là, il y a vraiment à dire ! Tout d’abord, afin de gagner en largeur, les poussettes sont franchement étroites. Charly, 3 ans, est franchement à l’étroit dedans. Le système d’attache de l’enfant est très mal pensé. Il est difficile à adapter et surtout, impossible d’y accrocher une chancelière d’une autre marque que Bugaboo, alors que nous avions plein de très jolis modèles en stock ! Un autre problème de taille, pas de fonction pour changer l’inclinaison de la poussette, sans la détacher de la structure… avec un enfant dedans, c’est du coup mission impossible ! Option pourtant oh combien pratique quand l’enfant commence à s’endormir dans sa poussette…

Bref de bref,… je reste un peu sur ma faim pour un poussette d’un peu plus de 1600eur, j’ai quand même l’impression d’avoir un genre poussette concept que Bugaboo aurait sortie en hâte afin de ne pas laisser la concurrence réagir… dommage !

Rolo to the rescue

Rolo to the rescue

Rappelez vous, il y a quelques temps, je vous parlais du début des Nineties et mon intérêt pour la Megadrive de SEGA. A l’époque donc, à défaut d’en posséder une, j’usais mes petites économies à acheter le magasine Mega Power où était présenté les nouveautés, soluces et futurs hits. Entre les nouvelles aventures de Sonic, l’arrivée de Ecco le dauphin et la soluce de la version Megadrive de Flashback,… j’étais resté suspendu à la preview d’un titre exclusif à la 16 bits de SEGA : Rolo to the Rescue.

Un petit éléphant au style bien sympathique traversant des niveaux colorés… Un jeu peut-être gentillet mais qui lorsque l’on y réfélchit bien colle tout à fait au style de jeu de plate-forme de l’époque : Sonic le hérisson, Bubsy le chat, Mr Nutz l’écureuil, Zool la fourmi Ninja,… Je pense qu’à l’époque, je lisais peu mes magasines, et je regardais surtout les images… je n’ai pas vraiment de souvenir de ce que l’on disait alors de Rolo to the Rescue, mais ce qui est certain, c’est que bien que j’aimais donner des baffes dans les rues enragées, les petits héros mignons ont toujours été bien appréciée chez moi, peut-être parqu’ils étaient un peu Parents Admis, et qui sait feraient ils un jour rentrées une console à la maison ?

Roll the Rescue - Megadrive (Vectordean, Electronic Arts)
Roll the Rescue – Megadrive (Vectordean, Electronic Arts)

Bref, heureux possesseur d’une Megadrive depuis quelques mois, j’ai eu envie d’enfin découvrir ce jeu. Je remercie donc déjà l’ami VEGA qui m’a gentiment preté son exemplaire, le temps de quelques parties.

Force m’est d’admettre que les qualités visuelles de Rolo et ses ami souffrent assez vite d’un gameplay un peu moyen. Dès le début, graphismes et animations se montrent à la hauteur.Elephant, lapins, castors, écureuils sont soignés aux petits pixels. Les quelques ennemis que l’on rencontrent s’intègrent un peu moins dans le décors mais restent de bonne qualité…

Coté décors par contre, cela reste assez classique, et un peu pauvre à mon goût. Les grandes zones de tuiles de terre ou d’arbre sont fort redondantes, et en comparaison avec l’animation des personnages très réussie, les accès aux zones secrètes sont très basiques… pouf un simple champignon, les bonus en forme de point manquent cruellement d’originalité,…

La construction des niveaux, de la carte, manquent eux aussi de challenge. Si le but du jeu est de controller Rolo notre petit éléphant afin de retrouver les cléfs permettant d’aller délivrer ses amis, vous pouvez ensuite prendre controle de ceux-ci. Un Lapin qui saute trèèèès haut, un castor qui flotte dans l’eau, l’écureil qui s’accroche aux arbres… et aller chercher d’autres trésors et morceaux de carte, mais bizarement, j’ai l’impression que le concept n’est pas vraiment exploiter pour tirer parti des niveaux… Et assez vite on s’ennuie