Voilà une situation qui se présente de temps à autres sur les dernières versions de MacOSX depuis High Sierra (et Mojave également). Lorsque je plug un nouveau disque dur, notamment de marque LACIE D2 devant en principe faire 6, 8 ou 10to et que je souhaite le formater dans un système de fichier adapté au MAC, soit donc écrasé l’ancienne partition en FAT32 initiale, je ne parviens qu’à recréer qu’un partition initiale de 400mb ! Les instructions que l’on retrouve sur le site de LACIE n’aide pas à régler le problème et par ailleurs, il n’y est pas possible de retélécharger le logiciel « Lacie Setup Assistant ». Quoi qu’il en soit, je préfèrerais faire un formatage par moi-même.
Afficher tous les appareils
La solution est en réalité simple à appliquer, encore fallait-il le savoir, sur les derniers OS d’Apple, l’affichage par défaut de l’application « Utilitaire de Disque » est en volume et non en périphérique. A chaque tentative de reformater le nouveau disque, on se borne donc à reformater la partition initiale de 400mb. Il faut donc se rendre dans les menus du haut pour changer la vue en « Afficher tous les appareils » pour pouvoir alors non plus écraser la volume mais l’ensemble du disque ! Problème résolu !
Tiens, voici quelques demandes répétitives de conseils que l’on me demande pour l’achat d’un équipement autonome, simple, à bon prix, facile à utiliser pour faire des capsules vidéo. La réponse n’est pas simple, car ma réponse est souvent dans un premier temps « Pour quoi faire ? » et l’on me répond le plus souvent : « Un peu de tout ! »
Kit Micro Vidéo – Vlogging
Il n’y a évidemment pas de produit miracle et il faudra donc d’une certaine manière faire des concessions. Difficile de trouver une solution qui permet de filmer 3h de conférences, dans une salle très mal éclairée, avec un orateur éloigné, en son d’ambiance et pour un tout petit budget !
Par exemple, dans l’idée de pouvoir faire un petit reportage, s’autofilmer et faire des interviews, là j’ai de quoi vous faire une proposition plutôt convaincante autour de d’un MicroKit vidéo nommé également kit de vlogging (contraction de vidéo et blogging), kit orienté pour être utilisé par un non-spécialiste qui aurait été coaché un minimum.
Après plusieurs réflexions sur le sujet ces derniers mois, je ne suis pas convaincu par exemple qu’une telle solution soit à faire reposer sur un Smartphone ou une tablette. Surtout si l’idée est de la faire reposer sur « celle de l’utilisateur » dont l’état, l’âge et la qualité sera aléatoire. Un bon smartphone peut certes tout à fait offrir une image de qualité, mais dans l’optique de disposer d’un kit dédié, le prix d’un bon smartphone sera à peine moins cher que la solution que je vais vous présenter avec une série d’avantages supplémentaires.
Après une série d’échanges avec d’autres spécialistes, je suis plutôt enthousiaste à faire reposer ce kit autour du Sony RX100 VI Sony RX100 VII(*), un petit appareil compact disposant d’un capteur 1′ plutôt grand pour ce genre d’appareil compact. Il dispose par ailleurs d’un écran amovible permettant de se filmer ainsi que d’un système de Eye Tracking permettant de faciliter les réglages et faciliter la captation vidéo.
Grâce à l’écran inclinable à 180 degrés, le vlogueur peut se suivre en continu, ce qui lui évite les mauvaises surprises par la suite. Le vlogging est encore facilité par la technologie de stabilisation d’image SteadyShot qui maintient les éventuels mouvements parfaitement sous contrôle. L’appareil est en outre doté d’un écran LCD avec mise au point tactile et mise au point automatique par pavé tactile pour indiquer les points focaux souhaités et utiliser l’appareil en toute simplicité. (…) L’appareil est équipé d’un système de mise au point automatique hybride rapide pour une mise au point en seulement 0,03 seconde. Ce modèle est en outre doté d’une mise au point à détection de phase de plan focal avec 315 points AF qui couvre 65 % de la zone de l’image. (Un article à lire en profondeur dans les chroniques de Photogalerie.com)
Le deuxième point crucial sera alors la captation du son, point trop souvent négligé car difficile à intégrer sur un petit appareil numérique ou un smartphone. L’idée serait alors ici d’utiliser un système de captation audio autonome centré sur le ZOOM F1LP. Equipé d’un micro cravate, l’orateur pour alors déclenché lui même l’enregistrement du son sur son recorder audio Zoom. La piste audio de qualité pourra alors être re-synchronisée avec la piste vidéo au montage. En fonction de l’orientation, il pourrait tout à fait être possible de prévoir deux kits en fonction du format d’interview à réaliser.
!! Un point important à peut-être tenir à l’oeil, l’entrée MICRO !!
(MAJ) Comme je le précise, la captation du son est importante. Une solution « Zoom » permet de pouvoir enregistrer le son de manière séparée, mais cette approche implique alors de pouvoir re-synchroniser image et son au montage, et cela pourrait être un point handicapant pour certain. Dès lors, il faudra brancher le son du micro sur l’entrée Micro de la caméra/appareil photo, et sur ce point, les nombreuses variations du Sony RX100 que l’on trouve sur le marché n’en sont pas toutes équipées. A ce jour, on retrouver encore les modèles III, IV, V, VI et VII, hors seul la dernière mouture du boitier de Sony dispose d’une entrée Micro !
Autour de ces éléments centraux, il vous faudra encore investir dans un pied pas trop lourd, voir un micro-pied tel que le VCT-SGR-1 ainsi que d’une valisette de transport pour votre kit. Néanmoins un autre élément me semble pertinent, adjoindre à votre équipement une solution de prompteur. Je trouve la solution développée par Autocue « Prof. Hornet » pour iPad assez efficace, nous l’utilisons régulièrement dans la production de nos MOOCs. Il vous restera alors à ajouter un bras articulé pour pouvoir accrocher votre tablette à côté de votre objectif, dans une configuration assez similaire à ce que j’avais fait pour notre reportage au Japon.
Jamais loin de ceux que j’aime… merci Jeff Van de Poël pour la photo
Zoom FL1P
VCT-SGR 1
Bras Articulé Neewer
Problème d’upload d’images dans WordPress, ça marche !
Du coup, voilà qu’à nouveau je tombe sur un soucis d’upload de fichiers images dans mes articles. Impossible de créer le répertoire 2018, impossible de créer le répertoire 2018/11…
Son dossier parent est-il accessible en écriture par le serveur ?
Je me souviens très bien avoir eu ce genre de soucis déjà par le passé. Néanmoins, quand je vérifie mes droits d’écritures sur le serveur FTP ne posent pas de soucis… Après avoir cherché tout une série de chose, il me restait la solution proposée ici : Dans le menu Setting – Media, supprimer le contenu de la textbox qui cible le répertoire où s’upload les images. Ce dernier était un répertoire très long à la sauce « Infomaniak » et il se pourrait bien qu’il traine depuis longtemps, bien avant le changement de serveur chez mon hébergeur, bien avant l’ajout du protocole https, bref ! Yes, cela fonctionne, on va pouvoir réalimenter le site Pype !
Solution #4: Remove the File Path from the Media Settings Page
This isn’t a popular solution to the image upload issue, but it has worked for some. Sign into the admin area of your WordPress site, open the Settings menu, and select Media. If you see a file path with a textbox displaying where the files should be uploaded to, delete the text in the file path textbox, and click Save Changes once you’re done.
If you open the Media Settings page and only see dimensions for images and a setting that says your files should be organized into month/year folders, you won’t find any use with this solution. (Une solution trouvée sur https://fancythemes.com/fix-image-upload-issue-wordpress/)
Activer le Tascam US-144MKII et Tascam US-600 dans Final Cut Pro X
2 jours que je prends la tête avec le problème suivant. Nos deux cartes son pros, la Tascam US-144MKII et la Tascam US-600 ne sont plus reconnues dans Final Cut Pro X depuis la mise à jour de Mac OSX sous « El Capitan » ! Visiblement longtemps, Tascam n’a pas proposé de drivers pour cette version de MacOSX, mais j’ai migré il y a peu l’ensemble de mon parc Mac et depuis lors il existe donc bien un driver compatible, malheureusement, si ce dernier permet bien de reconnaitre le périphérique USB dans l’environnement MAC et même d’enregistrer sa voix par exemple dans un Keynote, FCPX ne le détecte pas comme périphérique d’entrée audio disponible pour réaliser un enregistrement de voix hors champs.
Après avoir testé l’ensemble sur différentes machines (Mac Pro, iMac) sous El Capitan ou même Sierra, dans FCPX 10.1.6, 10.2.3 et 10.3.2, rien n’y fait, cela ne fonctionne pas !
Les précédents drivers pour Maverick rendent malheureusement le système El Capitan plus qu’instable, avec des erreurs brutales et des redémarrages aléatoire, mais j’avais quelques minutes réussi à stabiliser l’ensemble pour constater que FCPX peut alors détecter la carte son et faire un enregistrement. Il y a donc d’une part des éléments manquants dans la version du drivers compatible El Capitan sortie négligemment chez Tascam et/ou un problème dans la manière de récupérer un périphérique entrée dans le logiciel d’Apple.
Prêt à jeter l’éponge, après avoir tenté de trouver où était caché les drivers une fois installés et si je pouvais tenté de mixer deux versions, j’ai fini par trouver une solution dans l’outil de « configuration audio et midi » que l’ont trouve dans la partie « autre » des logiciels Mac. Je peux donc y retrouver l’ensemble des périphériques listés y compris mes produits Tascam, mais je peux également en créer de nouveaux ! J’ai donc créé un nouveau périphérique agréé en sélectionnant alors ma carte Son Tascam, et miracle, FCPX peut alors utiliser le périphérique agréé comme source audio !
Les MACs, c’est trop génial ! C’est trop cher, aussi… On pourrait en dire des choses, mais si je dois leur donner mes félicitations, c’est qu’ils m’ont rarement fait des soucis depuis 6 ans que j’ai fait le saut ! Peu de crasses et autres virus, un environnement très stable (et de plus en plus fermés) et le soutient de Time Machine.
Cependant, à notre retour de vacances la semaine dernière, alors que nous préparions le baptême de Rose et que je me battais avec la Fiat Panda en panne et mes prises de tête avec Kiala / My UPS, voilà que notre iMac principale, âgé d’un an commence à faire des misères. Ce cher ami ce mets en veille de manière inopinée et répétitive. La première journée à tenter d’analyser le problème me laisse en général des sessions de 5 à 30 minutes avant de se mettre en veille, mais petit à petit les sessions se rétrécissent.
L’expérience me permet de mettre le nez plus en profondeur dans le dialogue avec la machine. En ligne de commande, je peux via la commande poser obtenir plusieurs informations sur le comportement énergétique de la machine. Là où c’est en principe le terme Idle Sleep que l’on retrouve lorsque le Mac se met en veille normalement lorsque l’iMac s’endort anormalement je retrouve surtout Low Power Sleep, similaire à une batterie qui manque de puissance, alors que l’iMac, ordinateur fixe, fonctionne sur secteur.
pmset -g log
J’essaie différentes solutions pour contourner le problème et obliger le Mac à rester éveiller. Nottament grâce à la fonction caffeinate, toujours en ligne de commande qui permet en principe d’obliger la machine à ne pas hiberner. Cela fonctionne dans un premier temps, mais pas de manière définitive.
caffeinate -t 3600
Mes lectures et discussions avec le SAV d’Apple me font investiguer beaucoup d’options, réinitialisation de la PRAM/VRAM, vérification des paramètres énergétiques… mais rien n’y fait. La machine reste de moins en moins capable d’afficher sa session et ce même en mode « sans-échec » (CMD+SHIFT) ou en mode « restauration » (CMD+R).
Avec au mieux 2 secondes d’affichage, il n’y a plus d’autres options que d’attendre le passage d’un technicien envoyé par Apple, et je reste sur mon idée de départ. Un problème sur l’alimentation de l’iMac. C’est d’autant plus flagrant que lorsque je connecte un disque externe, la machine s’endort d’autant plus vite.