C’est l’automne, les feuilles tombent, les enfants ont repris le chemin de l’école… et je dois bien l’avouer, je n’ai qu’assez peu le temps de jouer à des jeux-vidéo… Mais qu’importe, je garde malgré tout toujours un oeil intéressé sur les sorties de certains titres, même si, les années passant mon regard est de plus en plus étroit.
Bref, c’est aujourd’hui l’occasion pour moi de faire un petit compte rendu de ce qui m’aura intéressé depuis mon dernier billet. Et finalement, il me faudra bien admettre que les annonces de « Remake, retour et compagnie » ont souvent eu plus de succès que le reste ! En effet Final Fantasy VII, Silent Hill, Alone in the Dark, Tortue Ninja, Monkey Island, Fear Effect, Simon the Sorcerer, Kirby… la liste des retours est longue !
Final Fantasy VII Rebirth – Part 2 (PS5)
Tout d’abord en juin dernier, Square-Enix a enfin annoncé la sortie du second des trois volets de Final Fantasy VII Rebirth, l’incroyable ré-écriture sur console next-gen de l’un des meilleurs épisodes de la saga Final Fantasy sorti en 1997. Le premier volet était sorti sur la PlayStation 4 au printemps 2020, la suite est donc datée à « Hiver 2023″… Ce qui n’est déjà plus si loin ! Voilà donc un 3° « Must Have » pour notre PS5 qui j’imagine montrera le bout de son nez à la Saint Valentin.
Le teaser, relativement court laisse néanmoins voir différentes scènes qui se passeront hors de la ville de Mitgard qui avait été le point central de l’action du premier volet.
Kirby : Return to Dreamland Deluxe (Switch)
kirby return to dreamland deluxe switch
Kirby est sur tous les fronts en ce moment. Après un Kirby et le monde oublié qui transporte notre petite boule rose dans un monde ouvert en 3D au printemps, puis un mini-jeu aux pays des gâteaux cet été, Nintendo a annoncé le portage HD de l’épisode Return to Dreamland sorti fin 2011 sur la Nintendo Wii. Dans un style Plateforme tout ce qu’il y a de plus classique, alors à la fête avec le retour de Rayman Origins et New Super Mario Bros, je n’avais pas eu l’occasion de le découvrir… Et pour une fois, je suis donc très positif à la ré-édition d’un titre du catalogue de Nintendo sur la Nintendo Switch ! La sortie est prévue pour le 24 février 2023.
Return to Monkey Island (PC/MAC – Switch)
Return to Monkey Island
Il y a quelques mois, la grosse surprise pour les fans de vieux jeux que je suis était l’annonce d’une sortie prochaine d’un nouvel épisode de la sage Point & Clic Monkey Island avec le retour de Ron Gilbert, papa de notre Guybrush Threepwood aux commandes ! Bien évidemment, la série Monkey Island fait partie de ces jeux qui auront marqué ma vie de jour, mais aussi apportée moult déceptions. Dès le second épisodes, je n’accrochais déjà plus à la direction artistique. Les épisodes suivants n’auront jamais réussi à me donner envie de résoudre les énigmes. La version HD entièrement reliftée sortie sur PS3 puis iPad ne m’aura pas non plus fait vibrer… Et donc, je n’ai pas trop osé m’emballer sur ce nouvel épisode sorti, il y a tout juste 1 grosse semaine.
Si dans un premier temps, j’ai vu passer plusieurs articles ciblant un choix artistiques discutables,… discutables aux dires de la masse Twitter, au point de voir Ron Gilbert fait un pas sur le côté. Le jeu sorti, la presse semble plutôt conquise par ce Return to Monkey Island. J’adhère personnellement aux visuels et vidéo vues récemment, et seul peut-être l’absence d’un doublage en français m’empêche de le proposer comme activité à partager avec Ma Snorkys.
Reste une question. Y jouerais-je sur un ordinateur au Touchpad… ou sur la Switch ?
Return to Monkey Island
En trois décennies d’aventures, l’ineffable Guybrush a vécu bon nombre de péripéties, mais il a aussi construit sa légende. C’est d’ailleurs à travers ces notions d’héritage et de transmission que s’articule Return to Monkey Island. Le jeu ne se prive pas pour jouer la carte du fan service, jonglant habilement entre easter-eggs et autocitations. Véritable déclaration d’amour à l’un de ses plus illustres personnages, Ron Gilbert va même jusqu’à dédier un musée à la gloire de ses exploits… mais où le nom du flibustier n’apparaît jamais. Les références visuelles et narratives sont nombreuses, les joueurs et les joueuses de la première heure pourront revivre avec émotion certaines scènes cultes de la licence. Loin de sentir le grog réchauffé, ce retour sur l’île aux Singes nous rappelle aux bons souvenirs du personnage, pour des retrouvailles qu’on n’espérait plus. (Amandine Jonniaux – Journal du Geek)
Le syndrome de Pacman et ses petites dérives m’amènent souvent à me replonger dans les jouets d’autre fois. Au milieu des années 80, alors que je n’avais pas encore 10 ans, la folie des robots avait envahi les rayons de jouets, comme j’avais déjà pu vous en faire part l’année dernière. Si l’histoire aura retenu les Transformers, ce sont essentiellement des Gobots qui auront réussi à se glisser jusque dans notre chambre. Moins imposants, moins chers et finalement mieux mis en avant avec son dessin animé diffusé en Europe sur le Club Dorothée.
Quand nous étions gamin, nous étions finalement assez peu attentifs à savoir si nous avions entre les mains un Transformers, un Gobots, un Motorized Robots, un clone… ou ce l’on appellerait ajourd’hui, un bootleg.
L’épisode dédié au Transformers de la série Toys that Made Us nous le rappelle d’ailleurs, la folie des robots transformables nous vient tout droit du Japon où plusieurs entreprises fabriques des jouets de ce genre de taille différentes. Au sein d’une même gamme certains se retrouveront vendus aux US sous le nom Transformers et d’autre non…
Gobots – Les Archives de Joe
On peut retrouver une série d’informations historiques intéressantes sur les Gobots sur Les Archives de Joe. Fabriqué au Japon par Popy en 1982, ils se dénomment là-bas les Machine Robo. Ils seront importé par Tonka aux Etats-Unis et par Bandaï chez nous en Europe.
Si ceux que j’ai connus étaient assez petits et simples, il en existait pourtant des variantes plus grandes, en métal et probablement plus cher !
Je profite de ce petit article pour laisser ici la liste des modèles que j’ai pu retrouver au grès de mes chinages ensoleillé. Il faudra néanmoins, au besoin, rester attentif… Il existe en réalité bon nombre de « bootleg » de ces petits robots. Des copies chinoises d’époque qui étaient probablement vendue pour 3x rien sur le marché. Pour en avoir eu en main, il faut parfois en avoir deux à comparer pour s’en rendre compte, et sans l’aide avisée de Guillaume Duval, passionné, je n’en aurais pas fait la différence.
Il faut évidemment chercher un copyright Popy, Tonka ou Bandaï. Si rien n’apparait, c’est déjà un signe, mais il faut parfois chercher un peu, voir savoir où chercher.
La qualité des mécanismes se montre également souvent trop souple avec le temps. C’est le cas par exemple de mon Sous-Marin que je cherchais assidument depuis quelques années.
Cross Word – Combiner Tonka, 1986
Bladez – Tonka, 1985
Buggy Man – Tonka Poppy, 1983
Bullseye – Tonka, 1986
Cy-kill – Tonka, 1983
Dive Dive – Bootleg
Heat Seaker – Tonka, 1986
Leader-1 – Tonka, 1983
Scooter – Tonka, 1983
Scorp – Tonka, 1985
Slyjack – Tonka, 1986
Slicks – Tonka, 1985
Spay-c – Tonka, 1983
Stacks – Super Tonka, 1984
Dive Dive, Gobots bootleg
Scooter, Gobots Poppy, 1983
Scorp, Gobots 1985
Bladez, Gobots 1985
Stacks - Super Gobots, 1985
Scorp, Scooter et Cross Word - Gobots
Une armée de petits robots - Transformers, Gobots
Une armée de petits robots - Transformers, Gobots
Une armée de petits robots - Transformers, Gobots
Si les Gobots me paraissaient assez simple, découvrir la série Super Gobots à laquelle Stacks mais également Destroyer font partie montre une approche de transformation plus complexe avec des jouets comportant beaucoup de métal. Avant de me séparer de Destroyer qui ira trouver un nouveau canon chez Guillaume, j’ai gardé quelques photos impressionnantes de ses étapes de transformations. De cette série, je me souviens rêver de la Coccinelle et d’une belle Porsche… mais de mon côté, je devais me contenter d’une petite voiture de course.
Destroyer – Super Gobots, 1984Destroyer – Super Gobots, 1984Destroyer – Super Gobots, 1984Destroyer – Super Gobots, 1984
Les beaux jours, parfois si chauds, sont derrière nous ! La cloche de la rentrée a sonné depuis déjà quelques semaines et nous avons déjà repris le train-train quotidien, avec tout de même un changement dans l’organisation quotidienne… Notre Rose s’embarque dans une nouvelle aventure en changeant d’école. Pas si facile de ne plus retrouver ses meilleures copines Maryssa, Manon, Mia et compagnie. Mais elle est tout de même toute contente d’avoir « sa nouvelle école » !
Cette rentrée se fait malgré tout sous un nouveau spectre. Le COVID semble déjà oublié, que je me retrouve à scruter le prix de l’Essence, du Mazout, de l’électricité et même des sacs de Pellets !
Alors, que les températures sont bien retombées ces derniers semaines, je m’en retrouve dans mon fauteuil en fin de journée à avoir froid avec ce sentiment désagréable d’attendre avant d’enfourner l’un de mes 3 derniers sacs de pellets, pourtant acheter trop cher, soit 8€ il y a quelques mois. Hier, je constatais que Brico était tout fier d’avoir un stock incroyable à 12,99€ !!! Je les achetais entre 3,89 et 4,19€ par le passé.
A ce prix, là… est-ce toujours aussi intéressant de bruler du Pellet plutôt que de faire tourner ma Chaudière à Mazout ? Je l’ai par deux fois remplie de 1000L à des moments stratégique où ce dernier coutait 0,95€/L en février et 1,05€/L cet été. C’est encore près de 50% plus cher que d’habitude, mais celui-ci s’est régulièrement vendu en moyenne à 1,4€/L cet été.
Tout savoir sur les panneaux photovoltaïques: rentabilité, aides, etc.
Et si mon fournisseur d’électricité me lâchait. Je me retrouverais comme bien d’autres sur des contrats astronomiques !? Depuis le mois d’avril, je me suis lancé dans la réflexion de faire poser des panneaux photovoltaïques pour réduire ma dépendance aux fluctuations des prix tout en envisageant également d’installer un boiler à pompe à chaleur pour utiliser ma production d’énergie solaire pour chauffer l’eau sanitaire, plutôt que ma chaudière à Mazout.
En quelques mois, les prix grimpent,… je suis loin d’être le seul à y avoir penser. L’état nous ajoute une petite taxe « production » à l’équation… et certains distributeurs d’énergie, probablement le couteau sous la gorge, pensent à eux aussi grappiller dans nos poches !
La bonne nouvelles, c’est qu’avoir couru derrière les enfants en éteignant les lampes depuis janvier aura été bénéfique. J’ai réussi à réduire de 600Mw/h notre consommation d’énergie annuelle, soit près de 10%.
Entre les différentes discussions avec divers spécialistes en installations solaires, électricité et énergie. J’ai tenté de rassembler quelques articles sur le sujet dans la presse. Un premier chez Test Achat, mais qui montre vite ses limites sans abonnement, ainsi qu’un autre sur Moustique.be. A l’investissement des panneaux à proprement parler peut s’ajouter l’achat par exemple d’un boiler pompe à chaleur qui entre dans les aides facilitées de la région wallonne comme le rappelle la RTBF.