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Month: mars 2017

Activer le Tascam US-144MKII et Tascam US-600 dans Final Cut Pro X

Activer le Tascam US-144MKII et Tascam US-600 dans Final Cut Pro X

2 jours que je prends la tête avec le problème suivant. Nos deux cartes son pros, la Tascam US-144MKII et la Tascam US-600 ne sont plus reconnues dans Final Cut Pro X depuis la mise à jour de Mac OSX sous « El Capitan » ! Visiblement longtemps, Tascam n’a pas proposé de drivers pour cette version de MacOSX, mais j’ai migré il y a peu l’ensemble de mon parc Mac et depuis lors il existe donc bien un driver compatible, malheureusement, si ce dernier permet bien de reconnaitre le périphérique USB dans l’environnement MAC et même d’enregistrer sa voix par exemple dans un Keynote, FCPX ne le détecte pas comme périphérique d’entrée audio disponible pour réaliser un enregistrement de voix hors champs.

Périphérique non détecté dans FCPXAprès avoir testé l’ensemble sur différentes machines (Mac Pro, iMac) sous El Capitan ou même Sierra, dans FCPX 10.1.6, 10.2.3 et 10.3.2, rien n’y fait, cela ne fonctionne pas !

Les précédents drivers pour Maverick rendent malheureusement le système El Capitan plus qu’instable, avec des erreurs brutales et des redémarrages aléatoire, mais j’avais quelques minutes réussi à stabiliser l’ensemble pour constater que FCPX peut alors détecter la carte son et faire un enregistrement. Il y a donc d’une part des éléments manquants dans la version du drivers compatible El Capitan sortie négligemment chez Tascam et/ou un problème dans la manière de récupérer un périphérique entrée dans le logiciel d’Apple.

Configuration audio et midi

Prêt à jeter l’éponge, après avoir tenté de trouver où était caché les drivers une fois installés et si je pouvais tenté de mixer deux versions, j’ai fini par trouver une solution dans l’outil de « configuration audio et midi » que l’ont trouve dans la partie « autre » des logiciels Mac. Je peux donc y retrouver l’ensemble des périphériques listés y compris mes produits Tascam, mais je peux également en créer de nouveaux ! J’ai donc créé un nouveau périphérique agréé en sélectionnant alors ma carte Son Tascam, et miracle, FCPX peut alors utiliser le périphérique agréé comme source audio !

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J’ai testé la NES Classic Mini

J’ai testé la NES Classic Mini

Débarquée pour les fêtes de fin d’année, la NES Classic Mini de Nintendo a fait partie des cadeaux de Noël les plus courtisés se retrouvant dès lors très rapidement en rupture de stock ! En effet, cette dernière aura trouvé refuge dans 1,5 million de foyers lors de son premier mois de vente, soit 3x plus que la Nintendo WiiU ! Un peu plus de 30 ans plus tard, cette mini-console surfe sur l’actuel vent de rétro-gaming et il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que quelques opportunistes ne profite de la rapide rupture de stock pour faire s’envoler les prix ! Ces derniers n’hésitant pas à re-commander 10 consoles, ce qui rend encore à l’heure actuelle difficile de se procurer une NES Classic Mini à son prix de vente recommandé, soit tout de même 69€ avec une seule manette et 30 jeux inclus… (soit 2,5€ le jeu).

Si depuis lors, il existe des solutions pour « hacker » la Mini NES, Nintendo a pris le choix de figer les titres dans la console. Un choix assez proche de la sélection faites pour le projet « NES Remix » sorti il y a quelques années sur la WiiU et la 3DS, à savoir :

Balloon Fight (Nintendo, 1985) , Bubble Bobble (Taïto, 1986), Castlevania (Konami, 1986), Castlevania II: Simon’s Quest (Konami, 1987), Donkey Kong (Nintendo, 1986), Donkey Kong Jr (Nintendo, 1983), Double Dragon II (ARC, 1989), Dr. Mario (Nintendo, 1990), Excitebike (Nintendo, 1984), Final Fantasy (Square, 1987), Galaga (Namco, 1988) , Ghost’n Goblins (Capcom, 1986), Gradius (Konami, 1986), Ice Climber (Nintendo, 1985), Kid Icarus (Nintendo, 1986), Kirby’s Adventure (HAL, 1993), Mario Bros (Nintendo, 1983), Mega Man 2 (Capcom, 1989), Metroid (Nintendo, 1986), Ninja Gaiden (Tecmo, 1986), Pac-Man (Namco, 1984), Punch-Out!! (Nintendo, 1987), StarTropics (Nintendo, 1990), Super C (Konami, 1990), Super Mario Bros (Nintendo, 1986), Super Mario Bros. 2 (Nintendo, 1988), Super Mario Bros. 3 (Nintendo, 1988), Telmo Bowl (Tecmo, 1989), The Legend of Zelda (Nintendo, 1986) et Zelda II: The Adventure of Link (Nintendo, 1987).

La liste des jeux de la NES Classic Mini

Ce weekend, j’ai eu donc l’occasion de tester la Mini NES de nos amis Natou & JR. Vraiment toute petite, la finition est réussie. Comme déjà lu sur le web, la longueur du cable de la manette est ridicule, impliquant donc l’achat d’une allonge et pour l’heure, trouver une deuxième manette reste difficile, mais la connectique est la même que celle d’un contrôleur Wii Pro ou WiiU Pro ! Le temps de faire une petite démonstration des aventures de Kirby qu’ils ne connaissaient pas, je me suis fait la réflexion que si Nintendo avaient choisi de proposer ses meilleurs titres conçus pour la NES, les autres jeux dispos n’étaient pas tant représentatifs des années Nintendo vécues ici en Europe ! Et pour cause, Nintendo a choisi une conception unique pour l’Europe et l’Amérique du nord, avec notamment un jeux de football américain, seul titres de sport, peu attractif dans nos contrés ou un Star Tropics dont je n’avais jamais entendu parler.

Ducktales - Capcom NES
Ducktales – Capcom NES

A cette liste de 30 jeux, manque à mes yeux au moins deux jeux de Capcom particulièrement bien accueilli dans nos contrées : Tic & Tac Rangers du Risque et Ducktales, des titres présents dans tous les foyers équipés d’une NES à l’époque, mais dont le lien fort avec Disney aura probablement posé problème, puisqu’aucun de ses titres n’a pour l’heure fait son retour dans les catalogues de la « Console Virtuelle » sur Wii, 3DS ou WiiU !

A choisir, j’aurais même préféré l’excellent jeu de Football de Tecmo, Tetris, Kung Fu Master ou Yie are Kung-fu… Même s’ils n’étaient pas terrible, je pense que les titres Dragon Ball, Les Chevaliers du Zodiac et Tortue Ninja auraient été de bons choix également !

Alors cela vaut le coup !?

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Faites entrer les clowns !

Faites entrer les clowns !

C’était la semaine dernière l’inauguration de l’exposition du projet annuelle à l’école des enfants. Le thème de cette année était le cirque ! Voilà donc quelques mois que les filles nous parlent de clowns, de funambules et d’acrobates. Elles ont bien sur été au spectacle de l’European Circus en décembre et avaient préparer avec leur institutrice Mme Stéphanie ou en Cycle avec les plus petits de bien jolis bricolages !

Pluie d’Oscars à La la land…

Pluie d’Oscars à La la land…

La semaine dernière, en zappant, je suis tombé sur la cérémonie des Oscars. Je n’avais jamais regardé ce genre d’évènement, mais cinéphiles, madame et moi nous sommes laissés mener à découvrir les films nominés et rencontrer les artistes hors contextes. Le film « La la land » y était sacrément mis en avant, et a fini par piquer ma curiosité !

Je dois bien admettre qu’avant cela, je pensais qu’il s’agissait d’une mauvaise parodie américaine autour du concept des Comédies Musicales, un genre cinématique de plus grandement tombé en désuétude depuis plusieurs années… et il faut bien l’admettre avec un titre tel que « La la land »… difficile de m’attendre à autre chose !?

Lors de ladite cérémonie, j’allais donc découvrir quelques extraits musicaux plutôt intéressants et constater que le duo d’acteur choisi, Ryan Gosling (vu dans Crazy Stupid Love et The Notebook) et Emma Stone (parfaitement mise à l’honneur dans les deux derniers films de Woody Allen) était loin de faire partie des acteurs bas de gamme des mauvais films américains… Bref, il fallait voir ce film au plus vite !

Dès la première scène, vous voilà embarqué, en technicolor dans une scène qui paraît alors tellement improbable pour le cinéma moderne… comédie musicale oblige, cela déboule dans tous les sens, on saute, on chante, on danse, on cabriole… puis tout revient à la normale… et il y a ce gars qui rebobine sa vieille K7 audio pour écouter un gimmick de piano… bizarre ou va-t-on en venir !

Très vite, on comprend donc que le film de Damien Chazelle ne cherche pas à pasticher les films de Comédie Musicale, mais plutôt à tenter de faire revivre ce courant cinématographique en lui rendant hommage et lui offrir ce petit plus des films modernes,… c’est coloré, cela chante, cela danse, et drôlement bien, on s’envole même, dans les nuages, on y fait des claquettes, on joue avec un chapeau,et l’on s’accroche au réverbère… Mais il y aussi cette histoire qu’il nous raconte.

 

Damien Chazelle semble particulièrement aimé le Jazz, c’est une sujet récurrent dans ses œuvres précédentes et comme lui, son personnage Sebastian rêve de faire revivre le jazz, lui rendre sa noblesse… voilà qui se colle à merveille avec l’approche donnée du réalisateur et la comédie musicale… Il rencontrera donc Mia, qui rêve d’être actrice et qui enchaîne casting sur casting en travaillant dans une boutique de cookie à l’intérieur des studios d’Hollywood.

Tout cela semble donc très « clichés » mais colle à merveille avec l’univers du faste Hollywood d’il y a 60 ans, et au fond, n’est pas ainsi que l’on écrit les plus jolies histoires d’amour ? Il est vrai que la structure narrative semble assez classique, rencontre, premier fleurte, les projets, la distance, la rupture… le tout accompagné de nombreuses petites subtilités en image et en note de musique qui ont fait que je suis sorti de cette séance ébloui… un film sans fausse note ! Un allusion d’autant plus forte qu’en permanence ce sont les notes de piano qui nous transportent de sentiment en sentiment dans le film… tantôt rappelant les rêves de Seb, ceux de Mia… leur romance, leur silence…

Cyborg Jeff – Storytelling, mon nouvel album !

Cyborg Jeff – Storytelling, mon nouvel album !

J’avoue, voilà un sacré moment qu’il n’y a plus eu d’album de Cyborg Jeff, car il faut bien l’avouer, ma vie est remplie de tellement de choses depuis plusieurs années que j’ai souvent mis mes compositions de coté. Néanmoins, voilà que je vous invite aujourd’hui à découvrir un nouveau mini-album : Storytelling, un EP comme on dit dans le jargon de la musique dématérialisée.

Tout a commencé il y a près de 6 ans. Alors que je cherchais l’inspiration pour un nouveau projet pour le groupe Demoscene, CTRL+ALT+TEST, Zavie me propose de réaliser un rapide projet à présenter à la Revision 2011, grosse démoparty en Allemagne. Ce projet dans la catégorie 4k (pour 4 kilobytes) implique dès lors de composer une musique avec un outil qui créera un fichier extrêmement léger joué à la volé par l’ordinateur… Je découvre alors le plugin 4Klang et une panoplie de sons hyper-minimalistes dont je vais tomber amoureux ! Naitra alors Love Potion Level 4, bande son de la démo D-Four.

L’occasion ne se représentera pas de travailler à d’autres Demo dans cette catégorie, mais après la sortie de l’album Super CJ Land fin 2013, alors que j’ai grandement réduit mon équipement musicale, la ré-installation rapided’un Open Modplug Tracker lié à 4Klang me permet en quelques heures de trouver l’inspiration à nouveaux pour un petit projet. Alors que je prépare les capsules vidéos de la journée IFRES 2014, je chipote sur la pause de midi pour en arriver à A tweet for Godo (petit clin d’oeil à la pièce de théâtre En Attendant Godo que mon frère avait dû lire étant gamin) que j’utiliserais comme jingle de mes productions de vidéo pédagogiques.

Au printemps 2015, notre vie de famille se bouscule un peu ! L’arrivée d’un petit ou d’une petite 4° s’annonce et bien des choses se bousculent dans ma tête… et c’est dans ces moments que la musique me permet d’extérioriser, mes peurs, mes bonheurs, mes angoisses, ma fierté… Sera la naissance de Crossroad in my life – Y dans un style Electro assez proche de Love Potion Level 4, avec un basse un peu plus lourde qui me rappelle les années New Beat et quelques notes qui aurait pu être sans le vouloir inspirées de 2L d’Alkama. Assez fier de cette composition, je la trouve aussi parfaite comme bande son jingle pour la nouvelle saison de production vidéo de l’équipe eCampus – IFRES.

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