Resident Evil 3 - Playstation (Capcom, 1999)

Resident Evil 3 : Nemesis

(à ré-écrire)

Âme sensible ! passez votre chemin… Comme vous aurez pu le voir dans mon « top 50 » j’affectionne pas mal de jeux haut en couleur à la Mario/Kirby, mais j’ai également pris goût à un style de jeu nettement différent appelé le « Survival Horror », probablement inspiré des films d’horreur de la fin des années 80 tel que Evil Dead, Massacre à la tronçonneuse ou Vendredi 13 (films que je n’ai jamais vu d’ailleurs !).

Resident Evil 3 - Playstation (Capcom, 1999)
Resident Evil 3 – Playstation (Capcom, 1999)

Le premier jeu dans le genre fut plus que probablement Alone in the Dark sorti début des années 90 sur PC. Un jeu que je n’ai actuellement jamais eu l’occasion de découvrir, car j’étais un peu trop jeune à l’époque ;p… C’est donc en 1998 que je me retrouve pour la première fois avec une copie de Resident Evil 2 entre les mains… Un peu curieux, je propose à mon ami Laurent Rosati de tester le jeu.. Arf.. diable .. mais c’est flippant,… Pas d’arme et des zombies qui vous courent après pour vous dévorer !! Très peu pour moi … je zappe donc.

Ce n’est que 2 ans plus tard, un soir ou Jessica et moi ne savions trop quoi faire, qu’elle revient de chez Maria Vidéo avec Resident Evil 3 : Nemesis. Je n’étais évidemment pas trop trop emballé,.. Mais elle m’assurait que s’était génial … juste qu’elle n’arrivait à y jouer, car il lui faisait trop peur… Bref me voilà donc à aider Jill à se faire son chemin dans la ville de Racoon City laissée dans état apocalyptique, à la merci des Zombies. Mais là ou R.E. va commencer à me plaire, c’est qu’il ne s’agit pas du tout d’un jeu de Shoot où il faut tout faire petter ! Il s’agit d’un jeu ou il faut « survivre », trouver de quoi se protéger, des munitions, des armes bien sur, mais également trouver son chemin, des indices et résoudre des énigmes… Bref, il s’agit pour moi d’un jeu qui se rapproche fortement d’un film interactif !

Musicalement, les différents jeux proposent quelques thèmes redondants (comme la salle ou se trouve la machine à écrire permettant de sauvegarder sa progression), hormis cela les musiques de Masami Ueda s’apparentent fortement à des scènes d’actions, de très bonne qualité, mais qui ne restent pas ancrées en tête.

Coté scénario les différents épisodes s’entre-croisent et permettent petit à petit de mieux cerner la société Umbrella, élément cléf de cette zombification ! En gros, on se retrouve perdu à l’abandon dans une zone isolée du monde, et que l’on découvre rapidement infestée de Zombie. Avec un peu de chance, on possède un flingue, mais parfois, tout commence au couteau ! Il faudra donc trouver de meilleurs armes, et surtout des munitions à utiliser avec modération, trouver des plantes médicinales et gérer les 6 à 8 objets transportables dans sa sacoche. Notre héro ou héroinne ne tardera pas à rencontrer des membres des S.T.A.R.S. unité d’élite présente pour protéger la ville des expériences génétiques réalisées derrière la société Umbrella Coroporation et la famille Ashford… (tiré de « Resident Evil, presqu’un film interactif« , 2007)