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Tag: vintage

Trop tard pour un Happy Geekmas ?

Trop tard pour un Happy Geekmas ?

Il parait que le Joueur du Grenier est à la bourre, il n’est pas prêt pour son épisode de Noël. Trop de chaines Youtube et surtout… un p’tit marmot ! Et bien, il n’est pas au bout de ses peines, car le Papa Geek que je suis peut lui donner un petit avant goût du futur. Entre s’assurer que le grand étudie, lise ses romans pour l’école et réussisse ses examens de Noël, garder le cap avec les jumelles pré-ado qu’il faut conduire à la Gymnastique et l’équitation sans qu’elles ne se scotchent à Netflix, Les Sims et la Switch et enfin, une petite dernière qui a tant de chose à raconter, partager et nous faire découvrir… le tout sur 3 écoles différentes…. Pas certain que « Papa d’un jeune enfant » soit la période la plus chornophage à prévoir !

De mon côté, mon rôle de Papa Geek Bloggueur est loin d’avoir le vent en poupe, d’autant que les Blogs, ce n’est pas encore vintage… c’est probablement HasBeen… Dès lors, avec en prime, un ordinateur at home longuement à l’arrêt. Je n’ai pas vraiment eu le temps de préparer mon traditionnel « Happy Geekmas » autrement qu’en accrochant à mon Pinboard quelques idées vues de ci de là.

Happy Geekmas 2022
Happy Geekmas 2022

Mais qu’importe, ma petite femme s’avait ce dont j’avais le plus besoin, de nouvelles pantoufles :))

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Escapade en amoureux à Amsterdam

Escapade en amoureux à Amsterdam

L’Ecosse encore et toujours reportée, Lisbonne repassant dans le rouge, et pas tant l’envie de prendre l’avion en ce temps de crise COVID, ma dame m’aura réservé une bien belle surprise pour fêter nos 21 années en couple et nos Noces de Muguet, un petit City Trip en amoureux jusqu’à Amsterdam, dans un hôtel **** étoiles à l’ambiance ‘So Vintage’ comme nous l’adorons !

Stratégiquement placé à deux pas des restaurants de la vieille ville, au bord de l’un des nombreux canals de la capitale mais également à la frontière du quartier tendance, le Jordaan ; L’hôtel Estherea nous aura offert toute sa magie, ses tapisseries fleuries, ses grands lustres en cristaux, ses vielles boiseries, sa chambre ravissante… mais aussi un accueil irréprochable et un petit déjeuner à tomber ! Nous étions déjà dans les meilleures conditions qu’il soit pour passer ces quelques jours en amoureux.


D'ici, on peut voir 7 ponts d'affilé !
D’ici, on peut voir, en principe, 7 ponts d’affilé !

Pas si facile cependant de prendre ses repères dans la ville. Chaque petites ruelles au bord du canal, chaque ponts, ressemblent à s’y méprendre à un autre, et carte en main, il m’aura bien fallu 24h pour ne plus prendre la direction opposée !

Une balade en bateau, rien de tel pour mieux se rendre compte d’où est quoi, mais également les endroits qui nous inspirent plus que d’autres. Les options sont variées entres les différents grands bateaux touristiques ou les petites entreprises privées mettant l’accent sur la personnalisation de votre balade, nous aurons passé un agréable moment sur le petit bateau du capitaine August de Classic Canal Cruises.

Après un petit passage sur le marché aux Fleurs, une étape dans une petite patisserie aux Tartes aux pommes si alléchante en vitrine, nous nous posions sans le savoir sur la plus petite terrasse d’Amsterdam au « De Laatste Kruimel« . La recherche de jolis spots pour faire des photos nous aura emmené par de là le quartier des canaux vers le Jordaan où nous terminerons la soirée par un restaurant bien agréable, Le Bleu.

Dans un cadre vintage qui colle parfaitement à l’ambiance typique du Jordaan, Le Bleu nous invite à retrouver la cuisine française dans des assiettes généreuse, un peu à l’écart du centre d’Amsterdam, aux détours des canaux. L’accueil y est sympathique, avec quelques conseils de balades pour la suite de votre périple. Une Adresse a conserver dans votre roadbook.

Le temps de rentrer tranquillement à notre hôtel tout en profitant cette fois de faire quelques photos avec le nouveau Nikon Z6II.

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La série du soir : L’incroyable Mme Maisel

La série du soir : L’incroyable Mme Maisel

Chaudement recommandé par nos amis Tony et Rita, après voir terminés la trop courte série The Halcyon, nous avons fait la découverte cette été de la série « The Marvelous Mme Maisel » sur Amazon Prime.

Plongé en profondeur dans une époque du siècle dernier, c’est exactement le genre d’ambiance que j’appréciée. Mme Maisel nous transporte à la fin des années 50, à New York dans les quartiers très chics en suivant Myriam, mère au foyer issue de la communauté juive et récemment quittée de son mon mari et qui se découvre alors un talent pour la comédie stand-up. Bien évidemment, à cette époque, c’est loin de ce que l’on attend d’un jeune femme issue d’une bonne famille…

Si le pitch peut paraitre hors du commun, la série a réçu deux golden globes (pour ses costumes notamment) et une fois démarrée, il est bien difficile de ne pas enchainer les épisodes. La très bonne nouvelle est qu’il y a déjà 3 saisons !

Amateurs de séries originales, de haute couture d’époque et de déco vintage… Cette série est pour vous : )

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Continuons à jouer à la Master System

Continuons à jouer à la Master System

Depuis un mois, la Master System, 8bits de SEGA est branchée sur la télévision. Voilà qui aura été l’occasion de tester plus en détail, seul, avec les enfants ou mes amis les quelques cartouches glanées aux fils des années. J’ai notamment été surpris par Rastan dans un gameplay un peu similaire à Castlevania. Cela aura aussi été l’occasion de mettre mon expérimenté ami Santo à me faire découvrir Wonder Boy in Monsterland et Shinobi, afin d’en voir un peu plus que ce que je n’arrive à progresser par moi même…

Bref, je vous partage ce petit aperçu…

Rastan (SEGA – Taïto, 1989) 8/10

Rastan - Master System (SEGA, Taïto, 1988)
Rastan – Master System (SEGA, Taïto, 1988)

Reprenant le concept Plateforme/Action de la borne d’arcade sortie à la même époque que je ne connais pas, je découvre cette version Master System en 2020. Si les décors sont un peu pauvre et le premier niveau assez linéaire, très vite Rastan montre un certain intérêt à se plonger dans l’aventure. Des nouvelles armes à ramasser, un changement de luminosité (jour, pénombre et nuit), quelques tunnels à explorer et une musique assez réussie.

Le jeu n’est pas trop punitif, ce qui m’aura permis d’affronter le premier boss et découvrir 3 environnements, la montage, le château et la forêt… Les ennemis, sont peut-être un peu redondant, limitation de cette version 8 bits ? Quoi qu’il en soit, il a au moins de quoi rivaliser avec Castlevania sur la NES non ?

Alex Kidd in miracle worlds (SEGA, 1986) 7/10

Alex Kidd in miracle world (Master System)
Alex Kidd in miracle world (Master System)

Plus qu’à jouer à Alex Kidd… Enfin, après avoir optimisé l’imagé en 4:3 et avec un petit filtre « sport » histoire d’avoir une image un peu baveuse et vintage plutôt que flashie et rugueuse.

Dit, on jouait encore comment à Alex Kidd, avec la bague là ?

C’est que madame était experte en son temps à Alex Kidd, la Master System avait été sa première console de jeux alors que de mon coté, je devais me contenter d’y jouer « à défaut » chez GB Maxitec pendant plutôt que de faire la file pour la version Megadrive de Sonic le hérisson ! Dès lors, nous n’avions pas accès au bouton « Pause », situé sur la console, permettant d’activer les différents pouvoir ramassés par notre petit héros. Quoi qu’il en soit, rien à faire… la reprise en main n’est pas si facile ! Est-ce Alex ou la manette qui manque un peu de réactivité ?

J’ai donc essayé de m’y remettre moi aussi à cet Alex Kidd. Bien évidemment, avec la possibilité d’utiliser la bague, le premier niveau est un peu plus facile, mais reste que ce diable d’Alex Kidd patine plutôt qu’il ne coure et qu’il fait des sons particulièrement difficile à contrôler… Délicat ! Sous l’eau, le petit coup de point pour tuer les poissons, gros ou petit, ce n’est pas le plus facile… J’arrive évidemment plus facilement qu’étant gamin au stage suivant, ou sur ma petite moto, je finis toujours par retomber sur un scorpion pour petit Game Over… Rooh, Alex Kidd, tu m’énerves !

Wonderboy in Monsterland (SEGA – Escape, 1988) 7/10

Wonder Boy in Monsterland - Master System (SEGA, 1988)
Wonder Boy in Monsterland – Master System (SEGA, 1988)

Diable, je suis surpris de découvrir que l’épisode Master System de Wonder Boy in Monster Land est issu d’une adaptation d’un jeu initialement sorti sur borne d’arcade tant le concept plateformer / aventure ne se prette pas à jouer en mode « insert coin » ! Je constate également qu’avec surprise, cette aventure de SEGA avait même eu droit à un portage sur Commodore 64. Si je connaissais bien le tout premier Wonderboy, avec Skateboard et dinosaure, c’est en réalité le 3° épisode sur la Game Gear qui m’avait impressionné à l’époque. Avec ce second opus « Wonder Boy in Monster Land », on sent encore les mécanique un peu vétustes des jeux de plateforme de SEGA qui tout comme dans Alex Kidd proposent des niveaux souvent qui n’ont pas la magie de Nintendo avec son Super Mario.
Il n’empêche que ce mélange d’aventure et plateforme est assez chouette, même si sans l’aide d’un expert à mes cotés, je n’en aurais pas vu tant !

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Du bon son de synthé

Du bon son de synthé

J’avais mis de coté quelques albums de musique électro découverts essentiellement sur Bandcamp que j’avais envie de vous partager.

Il y a tout d’abord un gros album de la formation québecquoise Le Matos que m’a fait découvrir James Monkman au début de l’été. Il s’agit de nombreux titres aux sonorités de synthés rétros des années 80 pour le film Turbo Kid, une genre d’ôde aux eighties dans un esprit bien différent de Strangers Things, mais clairement dans un style un peu trop gore à mon gout à l’écran. Musicalement par contre, c’est franchement excellent !

Cela a fait le buzz au même moment, les différents sites d’actu GEEK rapportait la sortie d’un album au format très original, sur cartouche pour SEGA Megadrive. En effet le producteur allemand Remute, avait réaliser son album Technoptimistic aux sonorités FM exploitant la puce sonore de la console 16bits de SEGA dans un style un peu similaire à la bande son du jeu Street of Rage.

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