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Tag: Stranger Things

Trop tard pour un Happy Geekmas ?

Trop tard pour un Happy Geekmas ?

Il parait que le Joueur du Grenier est à la bourre, il n’est pas prêt pour son épisode de Noël. Trop de chaines Youtube et surtout… un p’tit marmot ! Et bien, il n’est pas au bout de ses peines, car le Papa Geek que je suis peut lui donner un petit avant goût du futur. Entre s’assurer que le grand étudie, lise ses romans pour l’école et réussisse ses examens de Noël, garder le cap avec les jumelles pré-ado qu’il faut conduire à la Gymnastique et l’équitation sans qu’elles ne se scotchent à Netflix, Les Sims et la Switch et enfin, une petite dernière qui a tant de chose à raconter, partager et nous faire découvrir… le tout sur 3 écoles différentes…. Pas certain que « Papa d’un jeune enfant » soit la période la plus chornophage à prévoir !

De mon côté, mon rôle de Papa Geek Bloggueur est loin d’avoir le vent en poupe, d’autant que les Blogs, ce n’est pas encore vintage… c’est probablement HasBeen… Dès lors, avec en prime, un ordinateur at home longuement à l’arrêt. Je n’ai pas vraiment eu le temps de préparer mon traditionnel « Happy Geekmas » autrement qu’en accrochant à mon Pinboard quelques idées vues de ci de là.

Happy Geekmas 2022
Happy Geekmas 2022

Mais qu’importe, ma petite femme s’avait ce dont j’avais le plus besoin, de nouvelles pantoufles :))

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A l’octet près !

A l’octet près !

Début de ce mois d’aout, revenant de vacances, l’ami Matt me laisse un petit message : « L’avancement du développement du jeu Wolfling Reloaded a bien progressé, et il reste de la mémoire pour ajouter de nouvelles musiques ! »

Voilà une excellente nouvelle. Depuis de longs mois je suis l’évolution visuelle impressionnante de la version finale de ce projet de jeu de plateforme action développée par Matthias Bock sur le Commodore 64.

C’était il y a déjà près de 5 ans que je me suis lancé dans l’écriture des musiques qui allaient accompagner le jeu dont une première version était sortie fin 2018 et à cette époque, pour mon second OST pour le C64, j’avais pu repousser les limites et proposer 5 musiques différentes ainsi que deux « gimmicks ». Comparativement à mon premier projet, Powerglove, j’étais donc alors très enthousiasme !

Ajouter de nouvelles musiques, c’est que je n’avais pas attendu le feu vert de Matt pour y penser. Depuis l’annonce de l’envergure prise dans cette version Ehanced de Wolfling, j’avais très vite songé à deux musiques supplémentaires qui pourraient accompagnés les nouveaux environnements envisagés : La forêt et les sombres cavernes. Les choses auraient donc pu s’arrêter là ! Le tout tenant dans la limite de place allouée par Matt pour la musique, soit 6772 bytes !

Mais il me restait grandement l’envie d’exploiter le thème principale « Nightmare » de l’introduction dans une musique de niveau, qui sur la version actuelle Commodore 64 n’était joué que lors de l’introduction du jeu, là où je lui avais offert une déclinaison très « Kirby » dans la mouture NES/Famicom.

Souvenez-vous, à l’origine le thème Nightmare s’inspire d’une composition à la guitare de mon frère Pype à laquelle j’avais tenté d’apporter encore un peu plus d’une couche épique me faisant penser, certes d’assez loin, au générique de Game of Thrones ! Pour cette nouvelle mouture je voulais une approche plus eighties, je me suis retrouvé assez vite à jouer avec un arpège de basse me rappelant au choix le générique de Grand Prix Circuit ou d’un peu plus loin le générique de la nouvelle série phare Stranger Things

Le second défi était pour moi de retravailler le thème principal qui accueillerait les joueurs de cette nouvelle version du jeu ! Une version améliorant les graphismes, offrant de nouveaux mondes se devait à mes orreilles de surprendre dès le générique du jeu, d’autant que la basse composée en 2018 que je trouvais originale à l’époque était loin de me convaincre aujourd’hui. Je m’étais donc lancé dans une ré-écriture ambitieuse, prolongeant la musique par la 3° partie mélodique écrite sur la NES dont j’avais fait l’impasse pour le Commodore 64.

Oui, mais voilà… je déborde maintenant largement la mémoire allouée pour le code de la musique !

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Le film du mois : Once upon a time in… Hollywood

Le film du mois : Once upon a time in… Hollywood

La moitié de l’année 2019 est derrière moi et force m’est de constater que cette année, encore plus que les précédentes, le nombre de bons films vu est encore plus réduit. Il est vrai que les séries TV prennent de plus en plus de place, mais je le vois dans mes notes sur Sens-Critique, je suis de plus en plus difficile pour me dire qu’il s’agissait d’un « bon film »… Deux options s’offraient à moi pour cette fin du mois d’aout : Ibiza, comédie comique française rythmée par Christian Clavier… ou Once upon a time in… Hollywood, la dernière production de Tarantino, dont j’avais vu passé de nombreux articles ces derniers mois, rassemblant Leonardo Dicaprio et Brad Pitt à l’écran. Ce n’est qu’une fois les billets achetés que l’on découvre que nous voilà partis pour 3 heures de film, en route pour l’inconnu…

Entrez dans la machine à voyager dans une temps et plongez dans l’univers des productions d’Hollyowood, 50 années en arrière, pour près de 3 heures durant. C’est ce que nous propose « Once upon a time in Hollywood », le dernier film de Quentin Tarantino.

Étonnement, j’ai plus entendu parler de ce grand réalisateur que vu ses films, je m’attendais donc à découvrir une filmographie plus étoffée. J’avais trouvé Django Unchained magistrale et j’avais longtemps envisagé de regarder « Les Huit Salopards » qui avait ensuite suivi au box office.

En nous plongeant dans l’Hollywood de 1969, Tarantino nous émerge dans le cinéma Western qu’il apprécie tout particulièrement alors en pleine mutation. Le genre s’essouffle, remplacé par des films et séries plus brutale et militaire de ce coté-là de l’Atlantique et prend une autre approche dans le cinéma italien des western spaghettis. Nous voici donc à vivre d’un côté la vie de l’acteur fictif Rick Dalton incarnée par Leonardo DiCaprio, un acteur vedette en perte de vitesse et sa doublure cascade Cliff jouée par l’autre « belle gueule » Brad Pitt.

Un voyage dans le temps - Once Upon A Time In Hollywood
Un voyage dans le temps –

Once upon a time in Hollywood est évidemment un festival de clins d’œil à cette période de transition de la fin des années 60 : voitures, ambiance, musiques, peoples… et bien sûr de nombreux films.
Pour ma part, je m’y attendais un peu, mais mes connaissances en films américains de ces année-là sont inexistantes. Né à la fin des années 70, ce sont essentiellement les vieux films Disney et surtout les productions françaises de Bourvil et De Funès qui font partie de ma culture cinématographique… C’est bien simple, je n’ai jamais vu aucun film de Western ! Issu de la génération 80, je suis un peu comme un millénial (ces enfants nés dans les années 2000) qui regarderait Stranger Things sans avoir vu un seul des grands films de l’époque.

Mais cela n’a pas été pour moi un handicap pour prendre plaisir à être plonger trois heures durant dans ces nombreuses références faites à Wanted : Dead or Alive, Steve Mc Queen, La Grande Evasion, Billy Jack, Les Douze salopards, Roman Polanski, Sharon Tate, Bruce Lee, Sur la piste du crime, Sergio Crobucci, Le frelon vert, … ou simplement le mouvement hippie …. Si le sujet vous donne envie à être approfondi, je vous invite à lire cet excellent article de La Libre.

Mythes et réalités de "Il était une fois... à Hollywood" - Découpé de la La Libre du 14 aout 2019
Mythes et réalités de « Il était une fois… à Hollywood » – Découpé de la La Libre du 14 aout 2019

Inégal, Il était une fois… à Hollywood, de Quentin Tarantino offre néanmoins le plaisir du jeu des références cinéphiles et à la pop culture.(…) Non dénuée de nostalgie et d’idéalisme, la reconstitution du vieil Hollywood de 1969, cédant progressivement le pas au « nouveau » qui marquerait les années 1970, mêle des figures célèbres ou avatars fictionnels, où le cinéphile de Tarantino se double du téléphage, serial lover des temps pré-HBO et pré-Netflix. En dépit de ses nombreuses libertés avec les faits (le Il était une fois du titre évoque autant le cinéma de Sergio Leone qu’une fable, ce que ce film est), le récit contient plusieurs couches et sous-couches de réalités sous la reconstitution fantasmée et idéalisée d’un Hollywood révolu, incarné par Rick Dalton (Leonardo DiCaprio) et son acolyte Cliff Booth (Brad Pitt). Petit who’s who du Hollywood et du L.A. de 1969. (Mythes et réalités de « Il était une fois… à Hollywood », un article à lire dans La Libre)

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Toys that made me – Micro Machines

Toys that made me – Micro Machines

La quarantaine approche, difficile étape qui n’a que l’avantage de voir de nombreuses références à mon enfance prendre vie autour de moi. Entre la série Stranger Things : apologie aux années 80, la ré-édition de la Mini NES de Nintendo ou encore des Playmobils Ghostbuster, j’ai découvert il y a quelques semaines, une série de documentaires signés Netflix qui s’attardent sur les jouets qui ont fait de nous ce que nous sommes : Toys that made us.

Si les 4 premiers épisodes s’attardent sur les figurines Star Wars, Barbie, les Maîtres de l’Univers et G.I. Joe… J’ai pour ma part envie de m’attarder sur les Micro Machines, c’est toutes petites voitures qui se sont invitées dans les cours de récré chez nous au cours de l’année 1988. C’était en 1987 que la société américaine Galoob lançait sa gamme de véhicule « micro », 10x plus petit que les Matchbox, Majorettes et Hotwheels avec lesquels les enfants jouaient jusque là !

Janvier 1989, mon anniversaire avec les copains. Merci pour les Micro-Machines !
Janvier 1989, mon anniversaire avec les copains. Merci pour les Micro-Machines !

Je me souviens très bien avoir reçu ma première série de 5 Micro Machines après une longue journée à l’hôpital à prendre des décharges électriques dans les jambes. En sortant, ma maman m’avait proposé d’aller chercher un petit cadeau dans la boutique et j’y avais choisi un set de voitures classiques, plus que probablement la City Super Collection #2. Dès 1989, les Micro-Machines allaient être mon « cadeau » de prédilection. Tant pour l’anniversaire de mes 11 ans que sur la liste de Saint Nicolas.

Très vite, la mode des Micro Machines devient virale et les « échanges » entre copains s’imposent ! Je me souviens avoir très rapidement échanger mes véhicules de constructions reçu de ma petite voisine Annick pour mon anniversaire contre d’autres voitures. Non pas que je n’appréciais pas ces derniers… Les échanges, j’adorais cela ! Cela faisait partie de la Micro Machines Mania !

 

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Pacman Syndrome : Vive les années 80

Pacman Syndrome : Vive les années 80

Aaah, les années 80 n’ont jamais eu autant de succès. Parmi les différents jeux « mis de cotés » dans l’actualité de ce mois de décembre, un grand nombre y font référence. Press-Start nous parle de The Next Penelope et 80’s Overdrive, mais il y a également Teen Adventure Crossing Soul.

The Next Penelope - Switch
The Next Penelope déboule sur Switch

The Next Penelope, Un mix entre F-Zero, WipeOut et Micro Machines dans un univers à la Ulysse 31… ça donne envie et c’est sur Nintendo Switch !

Pour les plus dissipés, The Next Penelope est donc un jeu oscillant entre F-Zero, WipeOut et Micro Machines et dont le scénario se veut largement inspiré de l’Odyssée d’Homère. « Mais pourquoi revenir sur ce titre ? » me direz-vous. Tout simplement parce qu’il est désormais disponible sur Switch, ce qui ma foi est une assez bonne nouvelle puisqu’il se prête à merveille au mode nomade de la nouvelle console de Nintendo. (Un news à lire sur Press-Start)

Les jeux vidéo, c’était mieux avant… ou pas

Tout comme Horizon Chase sublimait nos souvenirs de Lotus Turbo Challenge sur iPad, 80’s Overdrive nous replonge dans une ambiance Outrun reboostée sur Nintendo 3DS !

Que vous soyez nostalgique des jeux de course rétro ou tout simplement à la recherche d’un chouette jeu de voitures qui se démarque un tant soit peu de la concurrence, je ne peux que vous conseiller 80’s OVERDRIVE sur 3DS. En effet, grâce à son mode carrière et à son gameplay simple mais efficace, il vous tiendra en haleine durant quelques heures, voire même plus si affinités. (Un test à lire sur Press-Start).

Le site de La Première annonce un nouveau jeu en réalité augmenté par l’équipe de développement de Pokmon Go. Autant un jeu Pokemon en réalité augmenté ne m’intéressait pas vraiment… autant quelque chose atour du monde d’Harry Potter… là ça m’intéresse !

 

Après Pokemon Go, Harry Potter aura lui aussi son jeu en réalité augmentée
Ode aux années 80

Enfin Teen Adventure Crossing Soul pourrait bien être le Stranger Things du jeu-vidéo.

Crossing Souls aims to nurture the imagination and reexperience an important part of our team’s childhood from the 1980s through video games, comics, cartoons and film. We will never forget those special moments from The Goonies, E.T., Stand by Me, Explorers, Ghostbusters, Gremlins, Karate Kid, Poltergeist, and more that shaped our view of the world and what was possible. (Un news du Blog Playstation)