Actuellement en énorme promo sur le PlayStation Store, j’attendais avec impatiente de pouvoir prendre le volant d’une F1 de légende afin de revivre l’ascension du pilote brésilien Ayrton Senna !
Voilà déjà quelques années que j’ai eu l’occasion de goûter à la série Horizon Chase du studio indé brésilien Aquiris Game Studio. D’abord sur iPad puis sur console de salon, le titre revisitait le concept de Lotus Turbo Challenge, Top Gear voire Outrun dans un jeu de course de voitures aux graphismes low poly oldschool colorés, le tout dans un gameplay nerveux et soigné aux petits oignons. Il était même possible de splitter l’écran pour des parties à plusieurs dans le salon, un régal !
Sorti en 2021, l’addon Senna Forever a tout d’un titre à lui tout seul, transformant l’univers en jeu de course de F1 qui me rappelle Virtual Racing et F1 Pole Position. On reste donc toujours dans une approche « Arcade ». A vous de revivre la carrière de Senna progressant de Toleman, Lotus jusqu’à la Mc Laren. Vous pourrez vous disputer la piste sur tous les circuits de légende… Hé oui mes filles, Papa n’a rien oublié des virages de Spa Francorchamps et Monaco… mais vous constaterez que je suis moins à l’aise à Phoenix !
Avant chaque course, il vous faudra choisir entre 3 stratégies privilégiant les ravitaillements, la performance ou la tenue de route.
Tout au long de votre épopée sur les circuits, le jeu vous partage des petits moments d’histoire sur la carrière du champion du monde. On sent clairement que le studio brésilien a voulu offrir à son héros national un hommage digne de ce nom, c’est une réussite !
Coté gameplay, la recette reste ensuite la même. Il faudra négocier les virages, mémoriser les circuits, analyser le déplacement des adversaires, ramasser et exploiter judicieusement les nitros, attraper les items carburant et ramasser les pièces sur la piste pour débloquer des bonus. Tout ce qui faisait le charme de la série Horizon Chase, en somme !
Terminant en beauté en soulignant que la bande son est à nouveau signée Barry Leitch à qui l’on doit les précédentes musiques du jeu, et dont on se souvient évidemment pour les titres énergiques composés sur Amiga avec Lotus Turbo Challenge ainsi que Top Gear sur Super Nintendo.
Bon, ce serait mal me connaitre que de penser que je vais me laisser déprimer à l’idée de ne pas pouvoir faire quoi que ce soit en vacances cet été ! Alors oui, Oki, l’Ecosse c’est encore raté, Center Parcs ou la France probablement compliqué et même la Côte Belge un vrai nid à touriste. Mais il n’empêche que je n’ai pas attendu que notre chère première ministre tease un peu de Kayak sur la Lesse avant de me concocter un pèle-mèle de toutes les ides qui me passent par là tête pour tenter de voir autre chose que notre jardin ! Et pour ce faire >> Un petit Padlet devrait être le bon outil !
Vacances à la Belge
PréhistoMuseum, jolis villages, balade dans les Fagnes ou aux bords de lac, châteaux, musée et cie… Je vous partage déjà ce petit article que je complèterais de semaine en semaine.
Pif, paf, poum… En quelques heures à peine le petit monde de la F1 qui jusqu’ici semblait s’être endormi en attendant un hypothétique lancement de la saison 2020 vient de s’enflammer !
Alors que la saison devait démarrer en mars dernier à Melbourne, l’explosion de la crise sanitaire liée au COVID#19 avait à la dernière seconde impliqué l’annulation du Grand Prix, alors que déjà la Chine avait annoncé ne pouvoir s’organiser. La crise grandissant, les circuits annonçaient un à un l’annulation ou un report éventuel des épreuves d’une saison 2020 dont la tenue restait incertaine.
Je prends cela pour une bonne nouvelle… C’est bête, mais regarder les F1 à la télévision me donnera l’impression que le monde se remet en route.
Le déconfinement de certains pays faisant, l’idée d’une reprise cet été commençait à se faire sentir, plus que probablement avec un double Grand Prix en Autriche au mois de juillet, sur les terres de Red Bull. Mais hormis c’est quelques informations sur un calendrier remanier pour la saison 2020 et des courses virtuelles disputées par quelques jeunes pilotes, le petit univers de la F1 restait endormi.
Je rêvais secrètement de l’annonce de nos autorités d’autoriser la tenue du Grand Prix de Spa Francorchamps à huis-clos fin aout. C’est bête, mais savoir que mes petits bolides préférés recommenceraient à tourner me donne un certain espoir d’une retour à la vie normale… Yesss, le 15 mai dernier, notre Gaetan Vigneron annonçait sur Twitter que le Grand Prix de Belgique serait organiser cette année !
Mais depuis 3 jours, les sites spécialisés s’étaient déjà enflammé sur un sujet bien plus brulant : La prestigieuse Scuderia Ferrari et le champion du monde allemand Sebastian Vettel ont décidé de se séparer au terme de la saison 2020.
En quelques secondes, à peine avait-on le temps de se dire : « Qui pour épauler le jeune monegasque Charles Leclerc ? » d’un et pourquoi pas Nico Hulkenberg, que c’était autour de Carlos Sainz Jr, le fils à papa qui a déjà réussi à se faufiler de Toro Rosso à Renault puis Mc Laren d’annoncer qu’il rejoindra les rouges pour la saison 2021 !
Les années passent et je vous avoue être bien content de pouvoir compter tant sur mon blog que sur « mes archives » pour restructurer tout ce que j’ai en tête. J’en parlais il y a quelques jours, je suis passionné de Formule 1 depuis la saison 1994. Si déjà avant cela, mon paternel me rapportait quelques articles de presse et que nous regardions ensemble le GP de Spa Francorchamps à la télévision, à l’aube de la saison 1995, j’ai commencé à acheter mes propres revues afin de ne rien rater de l’actualité de ce petit monde ! Ma revue préférée était alors « Grand Prix Spécial » en partenariat avec la RTBF et la chaine sportive Télé 21. J’ai donc pris plaisir ces dernières années à exhumer ces revues pour mettre en contraste 20 années d’écart, mais coup de théâtre, je n’ai aucune revue Grand Prix Special éditée en 1999 dans mes cartons, mais bien un unique exemplaire de Racing Special datant du mois d’avril, revue au format similaire mais traitant conjointement de la Formule 1 ainsi que du championnat de Rally. J’ai bien, par contre, les revues de l’année 2000 qui de mémoire fut la dernière année de ce magazine.
Presse – Formule 1 – Racing Spécial 04/99
Se pourrait-il qu’il n’y ai pas eu de Grand Prix Special édité en 1999 ou ai-je malencontreusement éliminé cette série de revue ? Je me souviens très bien avoir fait un tri important dans mes cartons F1 avant notre déménagement. J’avais choisi de conserver bien entendu tous les Grand Prix Spécial et une partie limitée des revues AutoHebdo, essentiellement celles liées à l’ouverture et la clôture de la Saison de F1. J’avais également supprimé toutes les revues néerlandophones. Si ma mémoire est exacte j’avais particulièrement beaucoup plus de revues de l’année 1999, j’utilisais régulièrement des articles néerlandais pour préparer mes dossiers de marketing pour le cours de langue de Madame Minutello, le cas de la double livrée Lucky Strike / 555 de la nouvelle écurie B.A.R. étant un excellent sujet. Il pourrait donc être cohérent que cette augmentation de revues concurrentes et la présence de ce Racing Spécial soit des éléments qui pourraient aller dans la direction d’une non publication du Grand Prix Spécial en 1999, néanmoins, je ne serais tranquille du cas de ce trou de mémoire tant que je n’en aurais trouvé l’information officielle. Et pour l’heure, je n’ai trouvé aucune piste à ce sujet sur la toile.
Presse – Formule 1 – 1999 – AutoHebdo -B.A.R.
Je me retrouve donc avec une documentation bien moins fidèle pour me remémorrer de cette saison 1999, vingts années plus tard ! L’intersaison avait été ponctuée d’une série de transfuge dans le milieu du plateau avec notamment l’arrivée de la nouvelle écurie B.A.R. motorisée par un moteur Supertec ex-Renault fondée par Craig Pollock autour du champion du monde Jacques Villeneuve qui quittait alors une écurie Williams décevante. Si les revues de présentation de la saison 1999 dont je dispose présente la monoplace dans une robe terne, la surprise fut à quelques jours du Grand Prix de Melbourne de découvrir 2 monoplaces de couleurs différentes ce qui fut rapidement précisé comme interdit par la FIA, imposant à l’écurie B.A.R. une zipette à sa tenue proposant une voiture à la livrée similaire. Lucky Strike à gauche, 555 à droite !
Parmi mes pilotes fétiches de l’époque je devais finalement, en début de saison me concentrer sur la nouvelle tentative de Michael Schumacher et sa Ferrari pour accrocher le championnat du monde puisqu’en effet, le retrait de l’écurie Tyrrell laissait mon Jos Verstappen au stand et de même Mika Salo ma 3° star devait finalement cédé sa place à Toranosuke Takagi et le néophyte Pedro De la Rosa dans l’écurie Arrows qui pouvait arboré en dernière minute une robe à la touche orangée de son nouveau sponsor Repsol.
A nouveau, Mika Häkkinen accrocha une nouvelle couronne de champion du monde obtenue à l’assaut de sa Mc Laren Mercedes, alors que le championnat des constructeurs revenait enfin à nouveau à la Scuderia Ferrari après une longue disette, le titre des pilotes échappants de peu à … Eddie Irvine. Où diable Schumi se cachait-il ? Dans son fauteuil avec la jambe dans le plâtre.
On se souviendra donc de ce crash impressionnant de la Ferrari de Michael Schumacher lors du Grand Prix de Silverstone et de son retour au bout de quelques courses seulement. Une situation difficile à gérer chez Ferrari qui devait donc mettre toutes ces chances sur le second lieutenant, au point de régulièrement demandé à Mika Salo, venu remplacé le pilote allemand de laisser passé Irvine pour qu’il revienne au championnat sur Mika Häkkinen. Une situation d’autant plus compliqué à mettre en place lorsque Schumacher reviendra pour les deux dernières courses.
Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo - Michael Schumacher - Ferrari
Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo - Mika Häkkinen - Mc Laren
Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo - Michael Schumacher - Ferrari
Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo - Mika Salo - Ferrari
Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo - Michael Schumacher - Ferrari