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Tag: reportage

Agfamatic, mes premiers pas en photographie.

Agfamatic, mes premiers pas en photographie.

Charly a trouvé un Agfamatic sur la brocante de Villers

Non, je ne me suis pas levé un jour en décidant d’être photographe, c’est d’ailleurs à mes parents que je dois cette passion. Mon paternel avait déjà dans les années 70 l’idée d’être photographe journalistique et j’ai grandi accompagné d’albums photo qui racontaient l’histoire de notre famille. J’aimais (et j’aime toujours d’ailleurs) passer de longs moments à me souvenir de tous ces moments… Je me souviens être parti en classe d’Ardenne avec un petit appareil photo jetable, probablement en 1988 à 10 ans, mais c’était surtout l’Agfamatic 2000 familiale qui est devenu mon meilleur ami durant cette époque.

Même s’il y avait des appareils photo plus imposants à la maison, celui-ci avait l’avantage pour l’enfant que j’étais de pouvoir être emporté un peu partout et d’être solide, et côté qualité de photo, c’était plus que respectable, puisqu’au fond, c’était l’appareil utilisé pour la plupart des évènements et sorties… De plus, il était assez amusant à utiliser avec son système de changement de photos d’un « criiiiic » en fermant le système automatique.

J’ai trouvé un modèle 4008 sur la brocante de Villers le Temple ce weekend, et vous pourrez constater que Charly a tout de suite accroché au concept !

A cette époque, j’ai commencé à emporter l’Agfamatic dans mon sac banane pour ramener des photos de ma chambre, des moments passés avec le copain et même mes premiers reportages ! En effet, arrivé aux Scouts, il a fallu choisir quel serait le premier badge à coudre sur mon uniforme. Je n’étais très castard ni même bricoleur à l’époque, et le badge de photographe me plaisait vraiment bien ! Après quelques petites sorties photo, j’allais anéantir tout espoir d’un grand reportage lors de notre camp en Haute Savoie. J’avais rangé l’appareil photo dans ma grande trousse de secours, afin qu’il soit bien protégé dans mon sac à dos. Lorsque j’ai ouvert mon sac dans la tente, j’ai découvert mon appareil photo au côté du tube de pommade contre les crampes musculaires explosé…

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L’après D700

L’après D700

QuenaLove - Petite Snorkys Photography - Nikon D4Voilà déjà un bon moment que j’attends la relève du Nikon D700 qui depuis 2009 était notre appareil principal en reportage, et dès 2012 notre deuxième boitier. Entre temps Nikon a sorti pourtant 4 autres boitiers et leur déclinaison dans sa catégorie pro, le D800/D800E, le D4/D4s, D600/D610 et le DF. Néanmoins aucun de ceux-ci ne posent réellement en réel successeur du D700. L’une des raisons principales à cela est que l’excellent Nikon D700 offrait un tel rapport qualité/prix qu’il a phagocyté grandement les ventes des modèles supérieurs D3 et D3s.

J’analyse donc depuis longtemps le marché Nikon et son évolution, attendant le boitier parfait… et fin 2012, devant remplacé le D700, nous nous étions orientés sur le couteux Nikon D4 qui tant sur papier que sur le terrain s’est vraiment montré un cran au-dessus ! Reste que le D4 coute pas loin de 5000€, dispose d’un grip intégré et n’a évidemment pas la vocation d’être un boitier bis. Cependant, avoir gouté aux performances du Nikon D4 permet évidemment de mettre en avant certains points sur lesquels le D700 montre ses faiblesses : les photos réalisées en faible luminosité !

Ce genre de photo fait clairement partie de ce que j’apprécie, me passer de flash, et uniquement utiliser la lumière dont je dispose, jouer avec celle-ci et aller à sa rencontre ! Notre choix d’objectif est d’ailleurs taillé dans ce sens. Notre brave Nikon D700 offre un bon résultat jusqu’à 2000 ISO, et la qualité de ces images était déjà extraordinaire ! Cependant, le D4 grimpe sans soucis jusqu’à 6400 ISO et dans les faits offre de magnifiques photos dans toutes les situations à faible luminosité ! Autres points liés à cela, dès que la lumière manque, la mise au point automatique (AF) devient capricieuse. De ce côté, le D4 bronche très rarement !

Le Nikon D700 reste pourtant un excellent appareil auquel je lui trouve peu d’équivalents, mais il est certain qu’une fois comparé au Nikon D4, il montre ses faiblesses ! Cette année passée entre D700 et D4 aura donc rendu, je le pense, la réflexion de l’après D700 d’autant plus difficile, car vous l’aurez compris, le D4 ne joue pas dans la même catégorie.

Comparaisons techniques D700 - D800 - D610 - DF - D4

Nikon D800

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Quena est de retour.

Quena est de retour.

Quena SCS logo 2013

Bon, depuis la reprise de la société Quena en 2011, je n’avais pas encore réalisé de logo générique à celle-ci. Voici qui est chose faite, avec un petit site web présentant les différentes orientation de Quena SCS : Les reportages de mariage avec QuenaLove, les photos en studio avec Petite Snorkys Photography et tout ce qui touche à la musique avec Quena Sound.

C’était aussi l’occasion de faire une petite page web en code html pur : http://www.quena.be

Un Pixel + Un Pixel, Fury of the Furries en cours de production.

Un Pixel + Un Pixel, Fury of the Furries en cours de production.

Fury of the Furries est l’un de ces jeux qui nous aura marqué mon frère et moi au début des années 90. Pourquoi, la question est d’ailleurs assez intéressantes, mais le fait est qu’aujourd’hui encore, il fait encore partie de ces jeux mythiques dont nous parlons souvent et sur lequel nous plaçons de nombreuses références.

Dans ce reportage « Un Pixel + Un Pixel », la télévision française se penchait sur le jeune studio bordelais Kalysto – Atreïde, alors entrain de développer Fury of the Furries sur Amiga. Le frangin Pype sera d’ailleurs intéressé à voir à l’oeuvre l’éditeur de niveau, pour ma part je peux voir que Frédéric ‘Moby’ Motte, l’une de mes idoles de M.A.O. travaillait dans le studio français et pas de sa chambre comme je l’imaginais pour composer les bandes son mémorables de ce jeu !

 

C’est la reprise…

C’est la reprise…

Les vacances sont bien finies, les enfants sont rentrés à l’école et à la crèche, nous avons repris le boulot en force (et avec une voiture en panne). Lorsque l’on rentre le soir, tout le monde est mort fatigué, mais il y a bien sur encore du travail. Des reportages à terminer, des albums photos, du rangement,… Et comme chaque fin de vacances, je constate qu’il y a bien des choses que je comptais faire qui ne se sont pas faites pendant les congés… ou qui sont déjà à refaire.

Bizarrement, la rentrée, c’est aussi un moment où je cogite, où j’ai envie de changement, de bouger, d’avancer… et où je me confronte à tous les éléments qui rendent ces réflexions improbables… C’est évidemment frustrant de se sentir à une position qui semble figée pour toujours… où de se dire que peut-être nous aurions dû…

De ce fait, je n’arrive pas à profiter des moments de repos. M’assoir devant un film ou la manette en main me fait plus culpabiliser de ne pas être entrain de faire quelque chose de productif ! Difficile de profiter du retour de Shameless, Once upon a time, des mes nouveautés Nintendo 3DS et des trouvailles sur la PS3

Quand je pense que j’ai encore toutes les vidéos des enfants de 2012 et 2013 qui ne sont pas montées… diable qu’ils ont grandi !

Alice en est déjà à associer mots et verbes, Charly nous raconte des histoires de l’école, qu’il a changé de copines parce que Alicia était trop so-sotte et qu’il a écrit sa lettre avec un C.