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Trou de mémoire

Trou de mémoire

Les années passent et je vous avoue être bien content de pouvoir compter tant sur mon blog que sur « mes archives » pour restructurer tout ce que j’ai en tête. J’en parlais il y a quelques jours, je suis passionné de Formule 1 depuis la saison 1994. Si déjà avant cela, mon paternel me rapportait quelques articles de presse et que nous regardions ensemble le GP de Spa Francorchamps à la télévision,  à l’aube de la saison 1995, j’ai commencé à acheter mes propres revues afin de ne rien rater de l’actualité de ce petit monde ! Ma revue préférée était alors « Grand Prix Spécial » en partenariat avec la RTBF et la chaine sportive Télé 21. J’ai donc pris plaisir ces dernières années à exhumer ces revues pour mettre en contraste 20 années d’écart, mais coup de théâtre, je n’ai aucune revue Grand Prix Special éditée en 1999 dans mes cartons, mais bien un unique exemplaire de Racing Special datant du mois d’avril, revue au format similaire mais traitant conjointement de la Formule 1 ainsi que du championnat de Rally. J’ai bien, par contre, les revues de l’année 2000 qui de mémoire fut la dernière année de ce magazine.

Presse - Formule 1 - Racing Spécial 04/99
Presse – Formule 1 – Racing Spécial 04/99

Se pourrait-il qu’il n’y ai pas eu de Grand Prix Special édité en 1999 ou ai-je malencontreusement éliminé cette série de revue ? Je me souviens très bien avoir fait un tri important dans mes cartons F1 avant notre déménagement. J’avais choisi de conserver bien entendu tous les Grand Prix Spécial et une partie limitée des revues AutoHebdo, essentiellement celles liées à l’ouverture et la clôture de la Saison de F1. J’avais également supprimé toutes les revues néerlandophones. Si ma mémoire est exacte j’avais particulièrement beaucoup plus de revues de l’année 1999, j’utilisais régulièrement des articles néerlandais pour préparer mes dossiers de marketing pour le cours de langue de Madame Minutello, le cas de la double livrée Lucky Strike / 555 de la nouvelle écurie B.A.R. étant un excellent sujet. Il pourrait donc être cohérent que cette augmentation de revues concurrentes et la présence de ce Racing Spécial soit des éléments qui pourraient aller dans la direction d’une non publication du Grand Prix Spécial en 1999, néanmoins, je ne serais tranquille du cas de ce trou de mémoire tant que je n’en aurais trouvé l’information officielle. Et pour l’heure, je n’ai trouvé aucune piste à ce sujet sur la toile.

Presse - Formule 1 - 1999 - AutoHebdo -B.A.R.
Presse – Formule 1 – 1999 – AutoHebdo -B.A.R.

Je me retrouve donc avec une documentation bien moins fidèle pour me remémorrer de cette saison 1999, vingts années plus tard ! L’intersaison avait été ponctuée d’une série de transfuge dans le milieu du plateau avec notamment l’arrivée de la nouvelle écurie B.A.R. motorisée par un moteur Supertec ex-Renault fondée par Craig Pollock autour du champion du monde Jacques Villeneuve qui quittait alors une écurie Williams décevante. Si les revues de présentation de la saison 1999 dont je dispose présente la monoplace dans une robe terne, la surprise fut à quelques jours du Grand Prix de Melbourne de découvrir 2 monoplaces de couleurs différentes ce qui fut rapidement précisé comme interdit par la FIA, imposant à l’écurie B.A.R. une zipette à sa tenue proposant une voiture à la livrée similaire. Lucky Strike à gauche, 555 à droite !

Presse - Formule 1 - 1999 - 2019 - AutoHebdo - Arrows
Presse – Formule 1 – 1999 – 2019 – AutoHebdo – Arrows

Parmi mes pilotes fétiches de l’époque je devais finalement, en début de saison me concentrer sur la nouvelle tentative de Michael Schumacher et sa Ferrari pour accrocher le championnat du monde puisqu’en effet, le retrait de l’écurie Tyrrell laissait mon Jos Verstappen au stand et de même Mika Salo ma 3° star devait finalement cédé sa place à Toranosuke Takagi et le néophyte Pedro De la Rosa dans l’écurie Arrows qui pouvait arboré en dernière minute une robe à la touche orangée de son nouveau sponsor Repsol.

A nouveau, Mika Häkkinen accrocha une nouvelle couronne de champion du monde obtenue à l’assaut de sa Mc Laren Mercedes, alors que le championnat des constructeurs revenait enfin à nouveau à la Scuderia Ferrari après une longue disette, le titre des pilotes échappants de peu à … Eddie Irvine. Où diable Schumi se cachait-il ? Dans son fauteuil avec la jambe dans le plâtre.

On se souviendra donc de ce crash impressionnant de la Ferrari de Michael Schumacher lors du Grand Prix de Silverstone et de son retour au bout de quelques courses seulement. Une situation difficile à gérer chez Ferrari qui devait donc mettre toutes ces chances sur le second lieutenant, au point de régulièrement demandé à Mika Salo, venu remplacé le pilote allemand de laisser passé Irvine pour qu’il revienne au championnat sur Mika Häkkinen. Une situation d’autant plus compliqué à mettre en place lorsque Schumacher reviendra pour les deux dernières courses.

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Bilou retourne sur les bancs de l’école

Bilou retourne sur les bancs de l’école

Bilou : School Rush - Aftermath
Bilou : School Rush – Aftermath

Automne 1993, il y a 25 ans, mon frère Pype, Pierrick et moi donnions naissance à Bilou, un petit personnage tout rond, tout bleu à l’animation techniquement originale qui allait devenir notre héros de jeu-vidéo.

Aujourd’hui, le développement de School Rush prend fin. Ce fut long, parfois fastidieux, mais je voulais l’amener jusqu’au bout. Comme dans tout jeu, il y a des choses qui ont été abandonnées en cours de route. Soit qu’elles ne convenaient pas, soit qu’elles m’écartaient du but premier du jeu… soit qu’elles promettaient de devenir un gouffre de développement rendant irréaliste toute sortie tant que je serais en solo sur le développement. Que ce jeu soit mon cadeau à tous ceux qui ont écrit du code free software que j’utilise tous les jours, les musiques que j’écoute en codant, les vidéos sympa qui m’ont donné envie de continuer. Merci à tous pour votre travail. (Un article à lire sur le Blog de Bilou)

S’il aura une sacrée concurrence lorsque débarquera Rayman un peu plus tard, il est resté « notre héros » et prendra vie dans diverses aventures derrière les lignes et les lignes de codes du frangin : Jeu d’aventure et de plateforme en Quick Basic, Shoot’m up sur le constructor kit du Commodore 64 pour finalement poursuivre ses aventures sur Nintendo DS depuis 2006.


Voilà déjà maintenant 5 ans, que Bilou a repris le chemin de l’école. Un univers que nous avions créé à l’époque où nous étions nous même sur les bancs de l’Athénée Royal de L’Air Pur et qui avait également été déjà largement étoffé au début de ce millénaire lorsque Bilou prenait vie en WebStrip plutôt qu’en jeu vidéo.

Nous y sommes donc, Bilou souffle donc aujourd’hui ses 25 bougies et pour l’occasion l’épisode School Rush : Aftermath vous est proposé autour de 5 niveaux à la sauce « Rush ». Il faudra éviter les crayons, s’accrocher aux éponges, sauter sur les encriers et lancer des tailles crayons tout en ne traînant guère… Le niveau d’encre monte, monte…


Il faut bien le dire, je ne donne pas assez de place à Bilou par ici. Il en fait pourtant un sacré boulot le frangin à développer notre Bilou. Alors que je tardais un peu à lui proposer les bandes sons du jeu ces dernières années… Je dois bien avouer d’ailleurs que j’ai mieux profité d’une partie de Bilou sur OpenEmu, pouvant alors apprécier le travail de Pixelart à sa juste valeur que sur la petite console de Nintendo. En effet, vous pouvez télécharger sur SourceForge cette petite aventure « homebrew » afin de la faire tourner sur un émulateur Nintendo DS ou sur carte compatible Homebrew directement sur votre console.

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Il y a quelques semaines, la série Jazz JackRabbit soufflait les 20 ans de la sortie de son 2e épisode. Pour l’occasion les fans musicos du lapin vert offraient à la communauté un très bel album d’arrangements modernes des thèmes musicaux de la série ! Ah, que me racontes-tu là, Franqui… « personne ne connait Jazz JackRabbit !? » Une petite séquence Playhistoire s’impose donc… Je vais vous parler de ce temps où Epic Mega Games n’était ni synonyme d’Unreal Engine et encore moins de Fortnite.

Début des années 90, bon nombre de mes copains de classe reçoivent une Megadrive pour jouer à Sonic le hérisson, devenu le symbole des jeux vidéo « cool ». Moi, je fais partie de ceux qui ont à la maison un ordinateur et non une console. Si graphiquement les PC de l’époque proposent des expériences vidéoludiques novatrices avec des simulations en 3D vectorielle toujours plus réussies et des jeux d’aventure Point & Clic aux couleurs chatoyantes, je suis bien forcé de constater que les jeux de plate-forme que j’affectionne tant y sont bien moins fréquents. En effet, l’une des difficultés du monde PC à l’époque est que ces machines embarquent des composants relativement disparates dont notamment les cartes graphiques. Cette diversité de performances rend difficile la réalisation d’un scrolling concluant des sprites à l’écran. À l’époque par exemple, les versions MS-DOS des jeux français de Titus reposent alors sur une technique d’écrans qui scrollent brutalement lorsque le personnage se rapproche du bord (je vous invite au besoin à relire mon test des Aventures de Moktar). Ce sera l’arrivée des titres de la génération « sharewares » américains qui viendra bouleverser le paysage PC avec le premier épisode de Keen Commander signé Apogee – ID Software et Jill of the Jungle, proposé par le « studio concurrent » Epic Mega Games.

Les aventures de Keen Commander, Jill of the Jungle, Duke Nukem et autres Bio Menace reposent sur ce modèle économique du shareware qui n’a évidemment pas eu le même impact chez nous. Les studios proposent en « téléchargement » gratuit le 1er épisode de ce qui se présente souvent comme une trilogie. Les autres titres pouvant ensuite être téléchargés sur un BBS, l’ancêtre d’internet, et ce de manière payante voire commandés par vente par correspondance. Ici en Belgique, ces jeux « gratuits » se retrouvent en cadeau dans des magasines spécialisés, dans des packagings à bas prix de grande surface ou un peu plus tard dans des compilations de jeux sur CD-Rom.

Bien entendu, les influences du monde console sont importantes. Si Keen Commander tente de reproduire avec suffisamment de distance les mécaniques de gameplay et surtout le scrolling efficace du premier Super Mario Bros, Jill of the Jungle se rapproche plutôt de Metroid et Bio Menace de la série Contra… Mais nous sommes bien loin d’envisager l’équivalent d’un Sonic sur PC, d’autant que la plupart de ces titres se limitent à exploiter les 16 couleurs du mode graphique EGA pour offrir un scrolling fluide.

La guerre des mascottes - Pix'n Love Editions
La guerre des mascottes – Pix’n Love Editions

L’arrivé de Sonic the Hedgehog en 1991 va bousculer le monde du jeu de plateforme. Là où la majorité des héros avaient une forme humaine, les mascottes vont petit à petit inverser la tendance comme nous le raconte William Audureau dans son excellent ouvrage « La Guerre des Mascottes » édité chez Pix’n Love en 2016. Un singe chez Nintendo, un renard chez Titus, un chat chez Accolade, une chauve-souris chez Sunsoft, un écureuil chez Ocean, une fourmi chez Gremlin Graphics, un lézard chez Crystal Dynamics aux cotés des nombreux personnages de Disney et autres Looney Tunes, les rayons de jeux vidéo se retrouvent envahis !

Alors qu’Epic Mega Games assoit un temps sa réussite sur une série de jeux de flipper très réussi (Epic Pinball), elle recrute dans son équipe Arjan Brussee. Democoder talentueux,  il s’attaquera depuis les Pays-Bas à un projet reposant sur un moteur graphique proposant une action très rapide à l’instar de Sonic bien entendu, mais également de Zool sorti sur Amiga et PC. Au début du projet, le héros pressenti devait être le cosmonaute hollandais Wubbo Ockels, afin d’offrir un titre dans l’esprit de Megaman, mais en plus nerveux. Cependant le thème spatial n’était alors plus aussi vendeur que la déferlante de mascottes… Notre cosmonaute se transforme alors en lapin vert repoussant l’invasion de tortues de l’espace ayant kidnappé Eva, la princesse de Karotus. Un lapin vert créé par le comparse de Arjan, Cliff Bleszinski.

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Cyborgelis

Cyborgelis

Il y a 20 ans, en septembre 1998, je terminais le 4° album de musique de Cyborg Jeff : Eyes Dreams. Finalisé avec mon ami Valentin Boigelot, cet album se découpait alors en deux parties, l’une dans un style Dance Trance et l’autre, une sélection de titres très différents sous le nom de « Cyborgelis ».

Ces titres beaucoup plus mélodiques étaient une nouvelle étape dans ma création musicale. Ces musiques reflètent au fond parfaitement le Cyborg Jeff de cette époque avec des œuvres construites autour de mon approfondissement de ce que mon Synthé Roland E68 pouvait m’offrir comme ouverture musicale, construites autour de ma découverte d’autres univers musicaux durant cette première année à l’Institut des Arts de Diffusions ainsi que l’influence de mon colloc’ pianiste Didier Rombauts, et enfin des œuvres construites atour de ma découverte du monde de la Demmoscène aux travers des magasines PC Fun et PC Team.

Sans pour autant être marqué par les sons de synthétiseur de Vangelis, cette « autre genre », celui de ce que j’appelais la New Age était pour moi une connection à cet artiste, ce qui en a donné l’idée de ce nom « Cyborgelis » que l’on retrouvait sur la pochette originale de l’album.

Cyborg Jeff - Eyes Dreams, 1998 - Back Cover
Cyborg Jeff – Eyes Dreams, 1998 – Back Cover

A l’heure de célébrer les 20 ans de l’album Eyes Dreams, je me suis dit qu’il pourrait être plus intéressant de scinder ces deux sélections de titres en deux projets distincts… Est alors né cet album pour lequel j’ai travaillé en profondeur le remasstering de tous ces titres composés initialement avec Impulse Tracker II et mon PC Cyrix 133mhz. Vous retrouverez donc en bonus les fichiers .IT originaux.

Ce travail de remastering est plus poussé que pour les précédents albums « anniversary », j’ai en effet exporté les instruments séparément hors d’Open Modplug Tracker (merci Elmobo pour l’astuce) afin de travailler le tout dans Reaper sous les conseils avisés de Spaneo.

Parmy, Thierry et Piet - Virtual Music, 1998
Parmy, Thierry et Piet – Virtual Music, 1998

Je suis donc heureux de vous partager ce travail aujourd’hui, et de redécouvrir avec bien plus de plaisir ces petites compositions dont j’étais si fier il y a 20 ans et qui me semblait bien ternes depuis lors…

Pièce d’ouverture, Océanne 3D est probablement l’une de mes plus belles compositions dans ce genre musical, emportant celui qui l’écoute dans une histoire sonore à l’image de ce qu’aurait pu être la « Démo » en 3D que j’imaginais créer autour, afin d’avoir alors une production pour une première Demoparty. D’autres titres arrivent ensuite, toujours essentiellement construit autour de premières notes composées sur mon Synthé avant de passer à la moulinette Sound Tracker.

Cyborg Jeff - Soft Xmas
Cyborg Jeff – Soft Xmas

Parmi tous ces titres, beaucoup ont un petit goût de « Virtual ». C’était un mot que j’appréciais beaucoup à l’époque, il représentait le futur, l’avenir… mais aussi Virtual Music était le nom de mon groupe de Cover Pop de l’époque. Je puisais donc auprès de ma bande de pots des rythmes de batterie complexe avec Vivien, des loops de guitare avec Thierry et des séquences de basses mieux construites auprès de Laurent.

En route pour ce petit voyage dans le temps, n’hésitez pas à aller lire l’histoire de chacun de ces titres en commentaire sur Bandcamp… et tiens au fond… Si cette sélection Cyborgelis était à l’origine intégrée à l’album « Eyes Dreams », l’idée de remettre ensemble sur un CD ces morceaux avaient déjà été concrétisée quelques mois plus tard sur l’album de noël « Soft Xmas ».

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Mon album HTML Quest, enfin dispo sur la toile.

Mon album HTML Quest, enfin dispo sur la toile.

C’était il y a bientôt 20 ans, je découvrais les musiques Chiptunes. Oh, j’avais déjà ‘samplé’ mon GameBoy en 1995 pour faire quelques musiques qui sonnent Nintendo, mais à l’époque je ne connaissais rien des règles qui régissent ce style de musique underground : faire des musiques avec un Soundtracker en n’utilisant que des instruments à base de boucles minuscules.

J’ai découvert cette technique lors de mes premiers pas sur Internet qui m’ont rapidement guidés vers la communauté demoscène Orange Juice puis le site de Rez dédié aux chiptunes. J’en ai appris les codes afin d’y faire mes classes sous le pseudo cyb0rgjeff au début de ce nouveau millénaire.

Après la Inscene 2K, la 2° Demoparty à laquelle j’avais participé, j’avais déjà pu suffisamment me faire la main au travers divers projets P.P.P. Team Software, dont la bande son de notre jeu Out’m Up ainsi qu’un projet pour Paradise Studio et Krystal Avalanche.

HTML Quest, pochette de la première édition
HTML Quest, pochette de la première édition

A la fin de l’année 2000, expatriée chez ma petite amie Jessica, je me dis que j’ai probablement de quoi envisager un Music Disk, l’équivalent d’un album dans le monde de la Chiptunes, et je me lance alors dans un marathon de productions éclaires chaque fois que je rentre à la maison.

Au 1° janvier 2001, j’ai alors de quoi réaliser mon projet d’une 30aine de titres sous le nom de HTML Quest, la composition que j’ai réalisée durant la Inscene’2K. L’album original ne comportera pas que des productions originales mais également une série de reprises de Giana Sisters à Abba aux côtés de musiques programmées par mon frère Pype et mes amis Pierrick et Tbob.

En Décembre 2013, après avoir finalisé l’album « Super CJ Land« , j’avais en tête de redistribuer cet album, mais certaines pistes étaient corrompues et j’ai dû fouiller d’autres sources pour les récupérer. Pourquoi ne pas simplement réaliser un nouveau rendu hors d’Impulse Tracker ? Tout simplement, parce que l’album original de l’an 2000 avait été modestement masterisé avec les caractéristiques FX de ma nouvelle Sound Blaster Live gagnée à la Inscene 2K. J’avais donc ajouté un peu de reverb et de chorus à ces sons trop pures pour leur donner une couleur si spécifique à cet album.

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