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Playing 2021, une année de bons jeux ?

Playing 2021, une année de bons jeux ?

Sans Tralalala, il faudra rapidement faire le constat que cette année 2021 n’aura pas eu de quoi rivaliser à mes yeux avec la précédente en terme de jeux-vidéo.

En effet, l’année 2020 et la sortie conjointe de Final Fantasy VII et The Last of Us 2 avait été chez nous l’une des plus chargée. Or, les jeux attendus cette année ont pour la majeure partie été reportés à l’année 2022 et cette fameuse nouvelle PlayStation 5 s’est montrée tellement discrète qu’on ne l’a guère trouvée dans les magasins !

Les « nouveautés » jouées cette année auront donc été peu nombreuses et pour la plupart sur ma récente Nintendo Switch. En revanche, poussé par le certificat en culture vidéoludique suivi cette année, je me suis essayé à sortir un peu plus de veilles cartouches à (re)découvrir que d’habitude et surtout expérimenter quelques perles du courant Indé.

Les Tops

Dans les méandres de Dead Cells
Dans les méandres de Dead Cells

Dead Cells (Switch)

Tout en analysant plus en profondeur la thématique des jeux Indépendants dans le cadre du certificat en culture vidéoludique, je me suis rendu-compte que Dead Cells était une production française du studio Motion Twin, un studio que j’avais découvert il y a quelques années avec son petit jeu originale Uppercut Football. Et s’il fallait vraiment me convaincre que je me devais de découvrir ce jeu, voilà que celui-ci se retrouvait jouable gratuitement pendant 5 jours pour les abonnés du Nintendo Online !

Je partais en réalité en terrain inconnu. Si visuellement, l’ambiance fait penser à Castlevania ou même Prince of Persia, très vite, la prise en main se montre plus nerveuse… L’ambiance me rappellent également un peu Black Thorne… Je me retrouve donc à errer dans les couloirs de cette sombre prison, je me défends comme un beau diable, puis baf… mort ! Et là, surprise, tout a changé, mais j’ai également perdu tout ce que j’avais ramassé… Ah ! Voilà qui me change totalement de ce que je connais… Un donjon « aléatoire », voilà qui me rappelle un peu les longues soirées à regarder mon koloc’ Didier sur Diablo ! S’enfoncer dans un donjon, combattre, combattre, ramasser de l’or, chercher la sortie… C’est ce donc que l’on appelle un Rogue-like en lien avec le jeu d’aventure et d’exploration Rogue sorti en 1980, et plus exactement, avec son approche Plateformer et de recherche d’objet et artefacts, un Roguevania… mélange entre un Rogue-like et Metroïdvania.

Ne perdez pas espoir : il faut mourir, mourir, mourir… pour y arriver ! Et justement, c’est un élément que je trouve bien dans ce titre… Mourir n’est pas frustrant, la mort ouvre alors de nouvelles voies… C’est également bien moins frustrant que les jeux Dead’n Retry qui finalement implique de « comprendre une astuce ou un énigme » et d’apprendre à la résoudre… Dead Cells intègre donc la mort de notre avatar comme un élément de narration et prétexte à proposer un niveaux recomposé… étonnamment j’y trouve donc le même plaisir qu’en jouant à Knytt et les moments passés Switch en main à jouer à Dead Cells cette année resteront une expérience fortes qui pousse le titre de français en haut de ce top 2021.


Overcooked : Special Edition - Switch (Team 17 - Ghost Town Games, 2017)
Overcooked : Special Edition – Switch (Team 17 – Ghost Town Games, 2017)

Overcooked ! : Special Edition (Switch)

En 2° position dans ce TOP 2021, un autre titre découvert lors de ma formation : Overcooked. Voilà déjà un moment que j’ai entendu parlé de ce titre du studio Team 17, studio héritage des grandes années Amiga. En effet, ce jeu multi-joueurs est sorti en 2016 et c’est donc avec plusieurs années de retard que je finis par le découvrir maintenant que nous disposons de 4 JoyCons pour en profiter en famille !

Le concept est suivant, réaliser les commandes des clients dans un restaurant. Chaque joueur contrôle son petit cuisinier et il faudra donc s’organiser efficacement pour suivre le rythme des commandes. Chaque cuisine à ses spécificités, mais il faudra à chaque fois, prendre les bons ingrédients, les hachés, les mélanger, les cuire et les servir.

Overcooked, est un jeu très efficace dans la coordination d’une équipe et la mise en place de stratégie commune !


mini metro early
Mini Metro

Mini Metro (iPad)

Pour compléter ce TOP 3, j’ai choisi Mini Métro, un titre au design particulièrement épuré sorti en 2014. J’ai découvert ce dernier cet été sur mon iPad et ce dernier est devenu très vite addictif. Dans Mini Métro, vous devez relier des stations les unes aux autres  et optimiser l’offre et la demande vers des voyageurs. Petit à petit de nouvelles demandes apparaissent et vous devrez adapter vos lignes, augmenter le nombre wagons tout en tenant compte des restrictions, en autre, de passage sous un fleuve.

Mini Métro demandent peu de réflexe, c’est presqu’un jeu zen contemplatif, et pourtant, à chaque partie terminée, je me suis dit, allé, on recommence !


Les Flops

Nintendo Online (Switch)

Nintendo 64 sur Nintendo Switch : lag, bugs, textures manquantes, jouabilité problématique – les premiers abonnés bouillonnent
Nintendo 64 sur Nintendo Switch : lag, bugs, textures manquantes, jouabilité problématique – les premiers abonnés bouillonnent

J’en parlais il y a quelques semaine, l’une des attentes de cette fin d’année était… l’arrivée des jeux Nintendo 64, Megadrive et Game Boy dans le catalogue en ligne de Nintendo Switch Online. S’il faudra encore attendre pour retrouver les jeux de la portable monochrome, une première fournée de titres issus des deux premières consoles ont fait leur apparition, non sans faire grincer les dents ! Tout d’abord, ceux-ci ne sont accessible que moyennant le paiement d’un « extention pack« . On passe tout de même de 19€/an qui était particulièrement attractif jusqu’ici à 39€ / an. Voilà qui modère un peu mon envie de découvrir les titres d’une génération Nintendo que j’ai eu peu l’occasion de prendre en main. A cela, s’ajoute actuellement de très gros soucis d’émulation. Nombre de joueurs se plaignant d’énorme ralentissement, de latence dans les boutons d’action et même de textures supprimées des versions originales…

Mais à côté de cela, on peut également reproché à Nintendo d’avoir été plus que pingre quant à l’ajout de nouveautés dans le catalogue Super Nintendo et NES de l’abonnement de cette année. Les nouveautés se comptent sur les doigts de la main et étaient particulièrement inintéressantes !

Death Stranding (PS4)

Death Stranding - PS4 (Kojima Production - Sony, 2019)
Death Stranding – PS4 (Kojima Production – Sony, 2019)

Présenté lors de sa sortie fin 2019 comme « Le jeu de l’année », Death Stranding se sera montré assez décevant. Grand projet d’Hideo Kojima, la papa de la série Silent Hill, mais également mettant en scène Norman Reedus dans un avatar numérique, Death Stranding avait beaucoup d’atout. Avec une histoire qui se présente très intrigante et sombre, il faut bien admettre que nous nous serons un peu forcés à passer un premier sentiment rebutant. Maniabilité lourde, décors déprimants, combats imprécis et ce sentiment de jouer le transporteur de colis n’ont pas réussi à nous convaincre d’en apprendre plus.

Alex Kidd in miracle world DX (PS4)

Alex Kidd in miracle World DX - PS4 (Merge Games - Jakenteam, 2021)
Alex Kidd in miracle World DX – PS4 (Merge Games – Jakenteam, 2021)

Je ne suis peut-être pas très tendre avec la jolie ré-édition DX d’Alex Kidd in Miracle World en le glissant dans mon Flop 2021 ? C’est qu’il faut bien admettre que les graphismes du portage de l’ancienne mascotte de SEGA qui avait fait les beaux jours de la console Master System avant l’arrivée de Sonic le hérisson sont très réussis ! C’est donc très naturellement que nous avions acheté le jeu à sa sortie au début de l’été ! Rien ne manque, on a clairement en main l’ancien Alex Kidd manette en main, c’est très joli, c’est réussi et l’on nous propose même la possibilité d’avoir des vies infinies, ce qui permet d’aller découvrir des niveaux jusque là impossible pour moi… Mais finalement, rien n’a changé, et on s’ennuie assez vite ! Les niveaux sont loins d’être originaux et l’on sent tellement que ceux-ci date d’un autre âge. Le titre se retrouve donc particulièrement vite remisé dans la bibliothèque de la console.

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Qu’est-ce que jouer ?

Qu’est-ce que jouer ?

 Suis-je en train de jouer ?

There is no game - Web (KamiZoto, 2015)
There is no game – Web (KamiZoto, 2015)

Voilà une question particulièrement intéressante à se poser tout en découvrant Cookie Clicker (Orteil, 2013) ou There is no game (Kamizoto, 2015). Si le premier a la volonté de nous mettre dans un contexte de jeu, les objectifs à atteindre sont flous et très vite, un sentiment d’inutilité s’installe autant que de curiosité  puis d’addiction. Dans le second, le « non-jeu » se joue clairement de nous, se présentant d’emblé comme ne pas être un jeu alors qu’en tant que joueur je me sens appelé à chercher une faille m’amenant à jouer !

Qu’est-ce que jouer ?

“Pour moi, jouer est pratiquer une activité par plaisir, divertissante. Cette activité est cadrée par de règles imposées, implicites ou imaginées par celui ou ceux qui jouent, mais qui sont acceptées par chacun. Enfin j’ajouterais que pour avoir un sentiment de jouer et de plaisir, certains éléments sont importants à intégrer. Un but, même si celui-ci est floue et peut être au moins un temps, la tentative de comprendre les règles qui régissent le jeu.”

La séance va donc s’orienter à trouver une définition de jouer. Nos échanges montrent que différents éléments sont récurrents pour cibler cette définition : des règles, un objectif, du plaisir, de la surprise…

Tout en suivant la formation, j’ai laissé tourner le jeu Cookie Clicker qui ne m’avait pas fait grande impression lors de mon essai. Celui-ci entre dans l’une des branches originales du jeu vidéo appelées “Idle Game”. Et de fait, il y a moyen de s’y prendre au jeu :)

D’autres genres se démarquent des habitudes comme les Walking Simulator qui invitent à se promener et suivre une histoire (Dear Ester ou What remain of Edith Finch, deux titres que j’aimerais pouvoir prendre le temps de découvrir à l’occasion et idéalement en français.)


Jouer et le cas de Prince of Persia.

Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).
Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).

Je m’arrête autour de cette réflexion de ”jouer” que je développais il y a quelques jours. Dans le concept de jouer et plus spécifiquement de jouer à un jeu vidéo. Autour du concept de règles imposés, implicites ou imaginées par le joueur et un certains plaisir, l’élément du but continue à me marquer dans la définition du jeu vidéo. Même si certains titres, ne semblent pas avoir de but prédéfini, c’est à mon sens le joueur qui s’en donnera un afin de poursuivre l’expérience de jeu, sans cela il passera son chemin à défait de lui trouver un autre but.

J’ai trouvé une réflexion intéressante de Jordan Mechner, créateur du jeu Prince of Persia dans l’ouvrage paru en français chez Third Edition.

Alors que le développement de son jeu s’éternise un peu, bien que techniquement toutes les personnes autour de lui trouvent le projet extraordinaire, comme un pas en avant dans le monde du jeu vidéo que lui-même admet que techniquement son projet repousse les limites du réalisme. Il se pose la question de …

Pourquoi courir, courir pour atteindre la sortie (terminer un niveau), si tout ce que l’on gagne c’est de recommencer la même chose (dans le niveau suivant).

La princesse qui attend la fin du jeu n’est qu’un trophée dans l’histoire. Il faut des récompenses dans le jeu – comme battre un garde dans Karateka (sa première création vidéoludique).

Qu’est-ce qui rend un jeu amusant ? Tension/relâche, tension/relâche. Prince of Persia n’a pas cela (12/11/1988 à quelques mois de la sortie finale du jeu, page 76-77).

Courir, sauter, escalader, peu importe si c’est magnifiquement animé, ça ne retient l’attention que pendant les trois premiers écrans. Puis, on commence à se demander : quand est-ce que quelque chose va se passer ? Comme un garde à combattre, un avion à descendre, quelque chose.  (…)  Il faut des sous-objectifs. Des endroits où on peut se dire : “Ouf, j’ai réussi ! C’était dur… qu’est-ce qui se passe ensuite ?” (…)  Des sous-objectifs comme : Finir un écran de Pac Man, Battre un garde dans Karateka ou finir un niveau de Lode Runner. (références clés de Jordan Mechner en 1988) (…)  Pour le moment, finir un niveau de Prince of Persia n’offre aucun sentiment de satisfaction, comme on en retrouve dans ces titres.

Le monde du jeu vidéo a évidemment évolué depuis 1988 et de nombreux jeux ont depuis pris le plis prendre une certaine distance face à un but et des sous-objectifs en intégrant par exemple de nombreuses micro récompenses tout au long de l’aventure, mais si le jeu peut se permettre de ne pas les proposer aux joueurs, celui-ci se doit de se les construire dans son esprit.

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Playing 2020, une année sous le signe du Jeu Vidéo !

Playing 2020, une année sous le signe du Jeu Vidéo !

2020, pour bien des raisons sera une année à oublier. Et pourtant, hors de toutes les frustrations et la morosité de cette année Coronavirus, il y a tout de même un peu de bonne chose à sortir de tout cela.

Link's Awakening sur la Switch, terminé !
Link’s Awakening sur la Switch, terminé !

En 2020, j’ai pu prendre du temps pour jouer à des jeux vidéo ! J’en ai même terminé plusieurs, ce qui sur les 10 dernières années devaient probablement se compter sur les doigts de la main. Link’s Awakening sur la Switch, fini ! Horizon Zéro Dawn, après 2 ans et demi, enfin fini, le tout enchainé par Final Fantasy VII Remake, The Last of Us Part II et pour terminer la version HD du premier ! Alors que la nouvelle PlayStation 5 et sa concurrente Microsoft viennent de sortir, nous nous sommes confortablement reposée sur la génération précédente mais cela fut également l’occasion lors de nombreuses occasions de sortir ma collection Retrogaming sur la NES de Nintendo ou la PSP de Sony en autre chose !

Cette année donc, je prends les devants avec mon petit tour d’horizon des « Games I Play in 2020 » en y ajoutant, en seconde partie de billet, ces jeux auxquels je n’ai pas joué et qui pourtant pourraient me plaire.

On teste Minecraft en réseau !

Avec les enfants

Les enfants ne se lassent pas encore très vite de leur jeu. Sans surprise Les Sims 4 et Minecraft restent largement au dessus du lot, mais il faut bien admettre que Mario et les Lapins Crétins, en promo au printemps sur la Nintendo Switch a très rapidement eu son petit succès, peut-être même plus que Mario Kart 8.

Mario + Les Lapins Crétins, une direction artistique très réussie !
Mario + Les Lapins Crétins, une direction artistique très réussie !

Nous avons donc appris les bases du gameplay tactique sur le tas avec nos mini JoyCon en main. De fait, c’était la première fois que l’on jouait à un jeu à deux sur la Switch, pas si facile à appréhender ces machins ! Mais assez vite, le fun est bien présent et le concept de déplacement, aide d’un partenaire, saut, tacle, armes et protection se met en place. D’ailleurs, avoir regarder Papa et Maman jouer à Final Fantasy VII les semaines passées aide les enfants à comprendre le concept des PV et des objets à utiliser ;) Les parties sont amusantes, même si pour l’heure nous n’avons accès qu’à 4 aires de combats et 8 personnages, ils en redemandent. Ceci dit la direction artistique est tellement bien réussie que cela a vraiment fini par me donner envie de découvrir l’aventure en solo ! (A lire : Quand les lapins mettent le bazar chez Mario)

Doraemon: Story of Seasons - Switch (Namco Bandai - Brownies - Marvelous, 2019)
Confiné à la maison, prendre l’air en s’occupant de sa ferme dans Doraemon: Story of Seasons a eu un certain succès !

Charly vient tout juste de commencer à découvrir Animal Crossing : New Horizon, le simulateur de vie tout mignon sorti il y a déjà quelques mois, chez nous, c’était jusqu’ici l’épisode « Doraemon » de la série Harvest Moon/Story of Seasons qui avait été eu son petit succès. Nous aurons avec le fiston tenté de trouver un jeu de voitures fun pour jouer ensemble, Gear.Club Unlimited, malgré un niveau graphique un peu faible, n’aura pas démérité sans pour autant nous pousser à nous y remettre. De même Ni No Kuni 2 ou Dragon Quest Builder n’ont pas non plus réussi à se présenter comme des jeux fédérateurs !

– Les Sims 4 (Mac)
Minecraft (WiiU)
Mario et les Lapins Crétins (Switch)
Mario Kart 8 (WiiU)
Doraemon : Story of Seasons (Switch)
Legend of Zelda : Link’s Awakening (Switch)
Animal Crossing : New Horizon (Switch)
Duck Hunt (NES)
Zoo Tycoon (PC)
Ni No Kuni 2 (PS4)
Gear.Club Unlimited (Switch)
Super Mario Maker (WiiU)
Dragon Quest Builder  (Switch)
Need For Speed : Rivals (PS4)
WRC6 (PS4)
WRC6 - PS4 (Big Ben interactive - Kylotonn, 2016)
WRC6, décevant même pour une poignée d’Euros

(…) Des environnements variées, un plaisir de conduite, un sentiment de vitesse, le contrôle… J’ai adoré les jeux de Rallye des séries WRC et Colin Mc Rae sur mes premières consoles Sony, sur la PS3 cependant, rien n’est jamais venu m’émoustiller et l’approche large des premiers GRIDs ne m’ont pas non plus convaincu. Aujourd’hui en promo pour 3 sous, je me suis tenté à acheter ce WRC 6, l’épisode de BigBen reposant sur la saison 2016. Pas de problème à mes yeux, je n’ai aucune idée de qui roule dans quelle voiture : ) Mais très vite, j’ai été déçu de la qualité du jeu. Tout cela se montre très rigide,sans souplesse, les graphismes sont tranchés, alors que de la poussière, du grain, et tant de chose auraient pu casser cette rugosité visuelle sur des tracés fixes. La prise en main est là aussi rigide, et le plus pénible. ça lague, en permanence, j’ai l’impression que ma console n’est pas de taille à faire tourner le jeu. Un comble pour un jeu de cette génération. Décevant !

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Quel jour sommes-nous ?

Quel jour sommes-nous ?

Là, je vous avoue, impossible de faire rapidement le point de quel jour sommes-nous, depuis combien de temps sommes-nous confinés… Au fond, nous avons fini par trouver un certain rythme et équilibre et le retour à la normal ne sera probablement pas si facile.

Lever le matin sans stress, petit déjeuner avec une tartine grillée nappée de confiture en regardant les oiseaux dans le jardin qui s’éveille. Je descends imprimer les devoirs des enfants, j’ai fait le plein de feuilles chez Colrhuyth lors d’une des sorties sous masque et je me félicite de cette super imprimante laser achetée chez Ordi.com dont je n’ai toujours pas changé les « cartouches » ! 8h30 la cloche virtuelle sonne, c’est l’heure de faire la classe !

Allé, la cloche a sonné !
Allé, la cloche a sonné !

Ce n’est pas le moment le plus agréable, ça rechigne, je ne fais pas comme madame, j’y droit tous les jours,… d’un œil je surveille en rangeant le lave-vaisselle avant que maman qui s’apprête ne vienne prendre le relais. Moi, je descends travailler dans mon bureau au calme avec mon café tout chaud, les enfants eux passeront à l’heure de lecture, toujours en râlant, cette fois, c’est maman qui doit faire la « maitresse » et ce n’est toujours pas le plus sympa du confinement.

Bon allé, MOD4, Seq4
Bon allé, MOD4, Seq4

Dans mon bureau, j’ai fait du rangement, enfin de l’espace pour y placer mon deuxième ordinateur, et mes papiers. J’alterne entre les montages vidéo, à cadence moins rapide, pour notre nouveau MOOC en logopédie, les montages de planifications d’équipe dans excel, le dossier d’appel d’offre européen, le support technique à Camtasia et les nombreuses vidéoconférences sur Zoom, LifeStyle ou simplement Messenger qui nous permettent de travailler en équipe. Le diner arrive plus tard. Avec du bon cuit au four hier par madame ou l’un des nombreux pains mis en attente dans le nouveau congélateur. On est au top pour éviter les sorties fréquentes, il n’y a jamais à se prendre la tête du « Qu’allons-nous manger ? ».

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On tente de réparer le stick analogique de la WiiU

On tente de réparer le stick analogique de la WiiU

Début d’année, j’ai bien dû constater que le stick analogique gauche de la GamePad de la WiiU, (à savoir la manette/tablette principale de la console), était défectueux. « Mon Minecraft bug », me répétait Charly et de fait, le jeu a ne pas répondre aux injonctions, tirer dans une direction automatiquement voire faire deux mouvement en même temps. Crémilliard, après plusieurs tests sur Mario Kart et Legend of Zelda, je devais bien me rendre à l’évidence que les nombreuses chutes du GamePad avaient fini par l’abimer.

Ce n’est pas comme si je ne leurs demandais pas de faire attention, mais quand plusieurs copains rejoignent les 4 miens, cela devient vite une bande d’excités qui oublient de faire attention à la console. Et pardi, la WiiU aura bien servi pour mes enfants, mais ce sera aussi dans le future une console peu fréquente. J’ai donc d’autant plus l’intention de pouvoir la ressortir dans 20 ans !

Remplacement du stick analogique du Wii U GamePad Nintendo
Remplacement du stick analogique du Wii U GamePad Nintendo

Après de rapides recherches, j’ai trouvé un tutoriel très précis proposé par iFixit expliquant les étapes à suivre, méticuleusement pour remplacer le contrôleur analogique. J’ai donc commandé sur Amazon, un kit de remplacement chinois, car bien évidemment, Nintendo ne propose pas ce genre de composant de manière officiel.

Bref, tant qu’à être confiné, même si le soleil brille et que tous les voisins semblent avoir décidé de tailler la haies de leur jardin, moi je me dis que c’est le moment parfait de tenter cette réparation !

Après avoir suivi à la lettre et méticuleusement les instructions, j’ai pu sans trop de difficulté remplacé l’ancien contrôleur, mais malheureusement, ce dernier ne fonctionne pas correctement, gauche et droite étant sans action. Wééé.

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