Les vacances approchent à grand pas et il serait grand temps que je me plonge à préparer notre roadbook de vacances, mais pour ce weekend, je vais en profiter pour faire un peu d’ordre dans tous les articles et annonces que j’ai mis de coté coté JV. Etonnement, la E3 de cette année, le salon mondial dédié au Jeux-Vidéo ne m’a pas vraiment emballé et la conférence Nintendo non plus. J’entends souffler derrière que je me fais vieux… mwouaip, c’est possible ! Bref, mes découvertes sont les loin des triples AAA qui ont enflammés les gamers : Alex Kidd, The Elder Scroll VI, Pokemon Let’s Go, Yoku’s island express, Octopath travellers, Shantae half genie heroe,…
Le retour d’Alex Kidd ?
Il y a tout d’abord l’annonce assez récente lue sur Indie Rétro News d’un probable remake du premier Alex Kidd de SEGA, sorti à l’origine en 1986 sur la Master System. Pour l’heure le projet semble encore au tout début, mais avec le retour récent notamment de Wonderboy, il y a de quoi un peu rêver d’autant que j’ai toujours bien apprécié ce petit jeu de plateforme concurrent de Super Mario Bros.
The Elder Scrolls VI
Voilà qui plairait plus que probablement à madame et à mon Papy grands amateurs de Skyrim… Beteshda vient d’annoncer un nouvel épisode de sa série The Elder Scrolls en marge de la E3. Il ne s’agit que d’une courte vidéo, mais c’est une première amorce alors que Skyrim tourne depuis déjà 7 ans et a même réussi à se faire une place avec éloge sur la nouvelle portable de Nintendo.
On n’y croyait plus vraiment. Enfin, on savait que cela allait être un grand E3 pour Bethesda, peut-être même son plus important. Entre le retour de Fallout et la multitude d’annonces et de trailers, on se disait que c’était déjà costaud. Mais c’était avant un « one more thing » prononcé par Todd Howard (producteur et directeur du studio) après plus d’une heure de conférence, ce dimanche 10 juin à Los Angeles. Une dernière vidéo, courte de 30 secondes, a présenté ce que les joueurs réclament depuis des années : TheElder Scrolls VI. Sept ans après le culte Skyrim, la franchise aura donc bien une suite. (A lire sur Kombini)
Tout pour la Switch ?
Parlons-en de cette « nouvelle » switch, le monde du vidéoludique ne semble plus que jurer par elle, et son actualité coule à flot me donnant si souvent qu’il n’y a plus rien d’intéressant dans mon écosystème. Même Resident Evil 7 s’est fait annoncer sur la portable ! Pour ma part, l’annonce de Pokemon Let’s go ne m’a pas laissé indifférent. Sans être un grand amateur de la série, je n’ai même jamais joué à aucun de ces épisodes en 20 ans, le style visuel et surtout la possibilité de jouer ensemble pour partir à la chasse aux Pokemons me parlent nettement plus. Jouer ensemble, c’est un aspect trop souvent oublié…. Je suis par contre entre temps un peu moins enthousiasme depuis que Nintendo a précisé que le jeu sera dépendant du nouveau système de jeu en réseau payant de Nintendo.
Et oui, Les Sims en sont même à leur 3ème retour, l’occasion pour Be-Games de jeter un petit coup d’œil au parcours de la série.
Un nouveau siècle s’entamait alors et le jeu vidéo allait faire un pas dans une ère totalement nouvelle ! Le 4 février 2000, Maxis allait bouleverser le petit monde du jeu vidéo avec un titre complètement novateur : Les Sims !
Les jeux de construction et de gestion avaient plus ou moins trouvé leur public : Maxis et son Simcity permettait depuis près de 10 ans aux petits maires en herbe de gérer et construire leurs propres villes, Bullfrog avait tâté le terrain de la gestion de parcs d’attraction et hôpitaux, alors que des titres plus complexes comme Railroad Tycoon malgré son âge continuait à attirer les amoureux de réseaux ferroviaires, … Les autres projets de Will Wright, le papa de Simcity, étaient eux nettement plus restés dans l’ombre, comme par exemple SimTower sorti en 1995, qui dans l’idée de proposer une maison de poupée géante, permet de gérer les habitants d’un immeuble… le tout présenté sur un plan de coupe ! Ah tiens, cela vous inspire quelque chose n’est-ce pas ?
En effet, ce concept de maison de poupée virtuelle trotte dans la tête de Will Wright qui aime à se lancer des défis de ce genre. Au milieu des années ‘90, sa maison s’envole en fumée, et le génial inventeur se voit donc obligé de reconstruire sa vie, acheter de nouveaux meubles, une nouvelle déco, … Son idée se précise et petit à petit le « Projet X« , comme l’appelle alors Maxis, prend forme et séduit fortement l’équipe d’Electronic Arts lors du rachat de Maxis à la fin des année ’90. Les moyens sont alors débloqués afin de conquérir un marché encore laissé à l’abandon depuis la sortie de Mrs Pac Man : les joueuses !
Les Sims sera donc le tout premier volet d’une simulation de vie. Pas de buts précis, pas d’objectif à atteindre, le joueur pourra vraiment faire ce qu’il veut de ses Sims, leur imposer ses décisions ou leur laisser faire leurs propres choix. Trois phases rythment déjà le début de la série : créer son ou ses petits Sims, construire leurs maisons et donner vie à tout cela ! Alors oui, clairement, le public féminin va fondre sur la série qui marquera une époque de joueuses. Je ne dis pas pour autant que Les Sims est un jeu pour filles ou que les filles ne s’intéressaient pas aux jeux vidéo avant l’arrivée des Sims, mais on peut historiquement considérer que la série de Maxis fut une étape importante à une époque charnière où l’équipement informatique s’est démocratisé dans les foyers.
Avec 90 millions de jeux vendus sur les 4 générations de Sims proposant jusqu’ici 44 disques additionnels, la série est probablement l’une de celles qui a le plus rapidement exploité le concept des contenus supplémentaires, chacun étant attendu par les fans dans une frénésie digne de la sortie d’un nouvel iPhone ! Bien entendu, les add-on de la première génération apportaient toujours quelque chose d’incroyablement nouveau ! Que ce soit « Et plus si affinités » en 2001 qui allait améliorer grandement la communication entre nos Sims ou, l’année suivante, « Entre chiens et chats » qui permettait de chouchouter des animaux de compagnie, les nouvelles idées ne manquaient pas alors au sein du studio Maxis.
En 2004, Maxis sort la 2ème génération de Sims. L’une des grosses améliorations sera le passage de la 3D isométrique à un vrai moteur 3D, ce qui permet notamment d’offrir 8 stades d’évolution à ses Sims que l’on pourra donc voir naître, grandir, vieillir et mourir. Néanmoins, le public regrette par exemple de ne plus pouvoir s’occuper de son Pupuce tigré ou de sa Princesse à longues oreilles, un ajout qui n’apparaîtra que 2 ans plus tard ! Les Sims 2, via ses 8 add-on apportera également d’autres nouveautés marquantes : la vie estudiantine avec « Les Sims Académie » et surtout la gestion des saisons dans « Au fil des saisons« .
Cinq années plus tard, Les Sims 3 feront leur apparition en juin 2009 avec des graphismes clairement améliorés et la possibilité de se promener dans des « mondes » plus ouverts impliquant moins de chargements et d’allers et venues dans les menus. Là aussi, de nombreux add-on apporteront au compte-gouttes un retour aux idées et améliorations de gameplay des séries précédentes, cette fois sans vraiment surprendre. Au point que certains commencent alors à reprocher à EA de trop mettre en avant la vente d’add-on plus que l’innovation. En effet, la 3ème génération des Sims n’est plus sous le contrôle de Maxis mais bien de The Sims Studio, branche dédiée à la série par Electronic Arts.
Il est vrai que dans mon foyer, alors que nous avions acheté tous les add-on précédents, le manque de renouveau dans cette 3ème génération n’a pas suscité le même intérêt. Peut-être aussi parce qu’avec déjà 10 ans de Sims, une certaine monotonie avait dû s’installer…. Ou alors parce qu’après avoir créé des familles de Sims, fait grandir des bébés Sims et construit des maisons de Sims, nous avons commencé à nous occuper de vrais bébés et agrandir notre vraie maison… ce qui a probablement aussi dû être le cas d’autres joueurs du début de la série.
Il reste des maisons à vendre à Clémonceau les Vents… Plus sérieusement, j’ai lu et entendu beaucoup beaucoup de mal de ce nouveau SimCity, et au final, je ne regrette qu’une chose, d’avoir attendu si longtemps avant de l’acheter !
Cela fait maintenant pas loin de 25 ans que j’ai construit ma première ville dans SimCity, Piet Ville, plus que probablement, sur le PC de mon oncle, avant de le ramener dans notre quartier. Cette première mouture, réalisée par Will Wright pour le compte de Maxis en 1989 était assez simple et pourtant déjà géniale ! Les cartes étaient très basiques : Terre ou Mer, on y construisait des routes, des zones de maison, magasins ou usines, une centrale nucléaire, des pylônes électriques pour mettre le courant, une caserne de pompier, la police… puis on suivait les statistiques, adaptait les impôts et regardait les cartes de développement de la ville ! Tout un petit monde prenait vie derrière ces petits pixels, et parfois cruellement, j’y lâchais un Godzilla, un tremblement de terre ou une tornade, pour pimenter un peu le jeu !
Les suites apporteront toujours un peu plus de réalismes à nos villes ! La gestion des eaux usées et des égouts, du relief, la pollution, et bien entendu un résultat de plus en plus beau graphiquement. Pour ma part, je jouerais à SimCity 2000 dès 1995 et à grosse dose durant mes études à Louvain La Neuve en 1997. Cette version sortie déjà depuis 1993 apportait notamment une vue en 3D isométrique. Parmi les autres nouveautés importantes se retrouvait une vue souterraine de la ville, afin de gérer le système d’égouttage et les métros.
A la fin des années 90, sortira alors SimCity 3000, offrant des graphismes de qualité encore supérieure et une gestion de ville plus réaliste. S’ajouteront aux défis du maire la gestion des déchets et de la pollution. Dès SimCity 3000, vos Sims auront un peu plus leurs mots à dire, avec notamment la réalisation de pétitions soumises à votre dévoué Maire.
Enfin, débarquant en 2003, SimCity 4 se mettra essentiellement en avant avec la possibilité de construire des villes sur des terrains à la géologie complètement modifiable à souhait ! Permettant la création de villes de plus en plus réalistes.
Il aura fallu donc attendre plus de 10 ans avant un vrai retour de SimCity sur nos bécanes depuis lors largement survoltées ! Probablement concentrés sur sa juteuse licence Les Sims durant de nombreuses années, Maxis avait laissé d’autres tenter quelques décevants épisodes spin off, tel que SimCity Society sorti en 2007, ainsi qu’un épisode propre à Facebook… Bref, en 2013 après de longs teasings SimCity (sans aucun chiffre derrière) débarquait au printemps, et très rapidement les critiques allaient pleuvoir. Obligé de se connecter pour jouer, des serveurs plantant régulièrement, voir impossible à joindre, un jeu orienter réseau, et une version MAC reportée au mois de juin, suivie du même nombre de critiques. Bref, ajoutons en plus une version MAC uniquement disponible en mode dématérialisé, il n’en fallait pas plus pour me mettre en mode blocus d’un jeu que j’attendais pourtant depuis bien longtemps !
Fin mai, mon Charly de 3 ans a été découvrir le Cinéma ! Le Grand Écran et son copain le lion et l’âne (non je sais, c’est un zèbre mais bon) de Magascar avait choisi le bon moment pour débarquer dans une 3° aventure. Moi par contre, je n’avais pas eu la chance de pouvoir vivre cette première fois avec mon fils, et l’occasion se présentant, je m’étais dis qu’il serait assez chouette de lui faire revivre l’aventure cinématographique, ensemble sur ma Playstation 3 !
Coté manette, par contre, ce n’était pas sa première expérience. Il avait déjà pu tester l’année dernière Kirby au fil de l’aventure sur Wii, et quelques semaines plus tôt Mickey : Castle of Illusion sur Megadrive. Ne rêvons pas, s’il se débrouille pas trop mal avec des applications tactiles sur iPad, avec une manette, c’est autre chose. L’expérience Kirby avait été assez concluante. Facile à prendre en main, papa déplace Kirby et Charly saute ou frappe… Avec Mickey, la graaande manette Megadrive était un peu plus difficile à prendre en main… La Playstation 3 et sa manette franchement plus complexe est loin d’être très efficace pour un petit garçon de trois ans ! De plus, s’il est assez simple de faire comprendre des mouvements réalisés par les interactions avec cette dernières dans un environnement en 2D, obtenir un résultat amusant est impossible dans un univers en trois dimensions…
« Charly, tu veux que je t’aide un peu » « Non c’est moi tout seul » « Oui, mais là tu est dans buisson tu sais » « Non c’est moi tout seul »
Vous l’aurez compris, le jeu a beau être PEGI 3, peu de petits garçons et filles de cette âge pourront s’amuser tout seul avec ce jeu, même en mode 2 joueurs.
Tentatives suivantes, Papa joue, et Charly regarde… Un peu comme un film, mais il faut que Papa y arrive….
Plutôt convaincu depuis toujours par la bande de Madagascar, j’ai déjà eu le droit de voir en boucle les deux premiers épisodes, je démarre donc l’aventure sans trop savoir ce qu’il s’est passé dans « Bons baisers d’Europe », et très rapidement, alors que j’espérais voir quelques scènes du film en introduction et au cours du jeu, une intro qui se tire en longueur me fait savoir que l’histoire se passe là où le film a laissé nos héros. Ma fois, pourquoi pas, l’idée n’est pas mauvaise, mais dans mon cas, me voilà bernique ! Ceci dit, la musique de l’écran d’accueil était assez prometteuse et style graphique de l’écran de chargement plutôt sympa… Et cela s’arrêtera là !
Bardouf, en route pour le tuto ! Les mécanismes sont simples, on peu changer de personnages avec L et R et chaque personnage a des compétences qui lui sont propres et il vous faudra les exploiter à bon escient pour remplir les missions, afin de vous aider. Rien d’extraordinaire, mais bon pour un jeu pour les enfants, c’est assez chouettes pour eux de pouvoir changer de personnages.
Graphiquement, je me suis d’abord dit que ce n’était pas vilain. Certes, on est loin d’un Uncharted, mais pour un enfant, il retrouve un univers qu’il connait et ne se dérangera pas vraiment de textures à peine digne d’une PS2… C’était vrai tant que je regardais juste mon fils jouer. Parcequ’une fois la manette en main, je me suis rendu compte qu’assez vite ces graphismes grossiers rendaient la visibilité du jeu assez difficile, ce qui est assez problématique, bien plus que des têtes et pattes qui traversent les murs. Si la démarche d’Alex le lion est assez drôle, je la trouve un peu trop mollassonne, voir galoper Marty à la même allure passe encore moins bien… Quand à Melmann la girafe, là je crois qu’il y a un sacré problème, mais je pense que l’animateur 3D n’a jamais vu la majestée d’une girafe !! On dirait ici un hybride sortis de la fantaisie de Spore (Maxis). Bref, graphiquement, en ajoutant à cela que l’on ne retrouve aucune cut-scene du film et que bon nombre des animations sont plutôt des blahblah de pingouins, le résultat est peu concluant.
Coté prise en main,… je reste perplexe. l’une des premières chose à faire dans le tuto est de faire nager Gloria sous l’eau. Rendez-vous compte, un jeune enfant doit déjà s’approprier les commandes de la manette pour déplacer le personnage qu’il faut tout repenser pour le déplacer dans l’eau. Vers l’avant ce n’est plus pour avancer, mais pour descendre, pour avancer il faut appuyer en permanence sur X, cela parait bièsse, mais s’il s’agit du premier jeu de votre progéniture, vous voilà déjà rappeler à la rescousse ! Et une fois qu’il faudra sauter sur les fils, marcher en équilibre et faire des sauts à la Prince of Persia dans environnement visuellement erratique, je vous souhaite bonne chance..
« Et pourquoi tu tombes encore Papa ? » « Parce que j’arrive à me f@#{^ sur cette p#@^|@ de corde pour la 5° fois »
Ah ben zut, j’avais oublié, c’est PEGI 3, je dois resté zen et poli !
« C’est comme ça, c’est la vie mon grand, mais tu vas voir, Papa va réussir à passer sur l’autre toit ! »
Bref ! J’y croyais pourtant. Je poussais pouvoir briser cette idée que « C’est une adaptation de film pour enfant, donc c’est une bouse faite à la 6-4-2 ». Et bien non, non et non. Nos petites têtes blondes n’ont elles pas droit à de chouette jeu pour revivre les aventures de leurs héros préférés. Parce qu’à notre époque il y en a eu des perles mettant en scène l’Oncle Picsou, Tic & Tac, Aladdin et le Roi Lion… Et même il n’y a pas si longtemps, j’avais trouvé l’adaptation de la série Chasseurs de Dragons sur Nintendo DS franchement réussie !
J’étais hier à la maison, malade, et du coup, ça m’aurait bien plus de faire un peu de DS sans me prendre la tête… mais quoi mettre de nouveaux ?? J’avais déjà fait le tour du sympathique « Chasseurs de Dragons »… un peu trop répétitif au niveau des stages, mais donc le concept entre Mario Galaxy en 2D et Lost Vicking m’avait tout de même séduit (13/6/2008)
Verdict final, après de trop nombreuses tentatives, j’ai à peine pu péniblement finir les tutos, déjà immaniables et énervants. Enfin quand vous saurez qu’en plus de cela, le studio en charge du titre n’a pas pu s’offrir le doublage originale de la voix de Marty, vous aurez du mal à vous faire au genre rapeur de pacotille de remplacement… et finalement j’ai cru à une blague lorsque l’on m’a dit qu’en appuyant sur carré, je pouvais me déguiser…
Aucune différence, si ce n’est la démarche… à moins que ??? Ah, si en faisant pivoter la caméra de face, mon personnage à mis des lunettes !!! Ah ben çà c’est extraordinaire quand même, quelle est le génie derrière cela !?
Allé zou, on va continuer à faire le plein de jeux Mickey sur les consoles d’époque, je pense que cela restera des valeurs sures !
Le mois de mars se termine et coté jeu-vidéo, j’ai de quoi me réjouir ! Tout d’abord, il y a l’annonce d’un nouveau 5° Simcity qui devrait débarqué l’année prochaine. Voilà 10 ans que le précédent était sorti ! Aujourd’hui d’ailleurs, JeuxVideo.com nous offrait une première preview de cette nouvelle mouture !
« Issu de l’imagination fertile du génial Will Wright, SimCity fait partie de ces titres qui ont marqué de leur empreinte l’histoire du jeu vidéo. Sorti en 1989, ce city-builder mythique a introduit des mécaniques de gameplay qui ont servi de base à des game designers du monde entier. Ce premier épisode a évidemment été couronné de succès. De nombreuses suites ont vu le jour. En ce qui concerne la branche principale de la série, la dernière en date demeure l’excellent SimCity 4, apparu en 2003. Si l’on excepte divers spin-off plus ou moins intéressants, cela fait donc près de dix ans que SimCity a été laissé de côté par le développeur Maxis et l’éditeur Electronic Arts. Mais que les fans de city-builders se rassurent, la sortie du prochain volet est prévue pour 2013. Et ce dernier risque de faire très mal ! » (Preview de Simcity, JeuxVideo.com)
Pendant que fuitent quelques informations sur l’hypothétique future Playstation 4, on nous annonce également l’avenue prochaine d’un nouvel épisode de la série Bioshock qui débarquerait au mois d’octobre. Ce nouvel épisode Bioshock Infinite, sera disponible sur PC, PS3 et Xbox 360.
En attendant, d’autres titres se présentent histoire de nous faire un peu peur. Tout d’abord, le dernier épisode de la série Silent Hill vient d’être présenté sur JeuxVideo.com et j’espère moi-même vous en proposer un petit test prochainement.
« Plus engagé émotionnellement que Silent Hill : Homecoming, Silent Hill : Downpour redresse un peu la barre sans pour autant atteindre le niveau de ses illustres ancêtres. La faute à un niveau technique faiblard et une construction maladroite synonyme de première moitié ne parvenant jamais à offrir une ambiance suffisamment claustrophobique. Toutefois, il est indéniable que Vatra a essayé de pousser un peu plus loin le concept de Silent Hill en reprenant plusieurs idées déjà exploitées dans d’autres jeux ou en se reposant sur une excellente bande-son. Dommage que le résultat soit au final quelque peu déséquilibré même si paradoxalement, celui-ci porte en lui les germes démoniaques d’une évolution pour le moins intéressante de la saga. » (Test à lire sur JeuxVideo.com)
Pendant que de mon coté, je me suis lancé dans Trine 2, l’arrivée prochaine de Resident Evil 6se fait également de plus en plus tangible.
Sur son blog, le frangin Pype a mis à disposition une version 1.5 d’Apple Assault, notre petit jeu HomeBrew pour Nintendo DS. Nous en avons profité pour intégrer une petite vidéo filmée d’un let’s play.
Enfin, pour les amoureux de l’Amiga, les éditions Pix’n Love viennent d’annoncer l’arrivée future d’un ouvrage dédié à cette machine !