Archives de
Tag: Defender

Save Milk Today : Aqua Kitty

Save Milk Today : Aqua Kitty

Aqua Kitty, j’en écoute les musiques depuis 2013 ! Ce petit jeu Inde fut l’un des premiers acheté sur le store de ma nouvelle PS4. Je vous partage donc le test que j’ai écris sur ce dernier pour Press-Start.

Je vous le dis, il est grand temps d’enlever votre casque virtuel avant d’avoir retourné votre salon, vous croyant à l’abri dans les sous-terrains de cette maison abandonnée dans le fin fond de la Louisiane ! D’autres causes bien plus nobles sont à sauver ! Le saviez-vous, nous sommes au bord de la pénurie de LAIT ! C’est bien simple, dans un futur proche, cette denrée ô combien primordiale à votre vie aura disparu et la seule solution sera de partir dans les profondeurs de l’océan afin d’en extraire des gisements sous-terrains. Si, si, tout va bien, mais j’ai juste oublié de vous dire que vous êtes un chat et que vous allez prendre les commandes d’un petit sous-marin rapide, nerveux et armé pour protéger les ouvriers félins qui s’affairent à remonter à la surface ce breuvage miraculeux !

Voici le pitch d’Aqua Kitty, un petit jeu indépendant réalisé par Tikipod, sorti en 2014 et actuellement en promotion pour une poignée d’euros sur le Playstation Store de la PS4 !

Aqua Kitty

Lire la suite Lire la suite

Un an plus tard, voilà enfin Resogun sur PS3

Un an plus tard, voilà enfin Resogun sur PS3

Resogun - PS4

Déboulé sur le Playstation Store de la Playstation 4 fin 2013, ce Shoot’m up moderne me fait de l’oeil depuis le tout début, pour la bonne et simple raison qu’il est mis magistralement en musique par : Ari Pulkinnen, musicien finlandais extraordinaire à qui l’on doit les bandes-son de Super Star Dust, Angry Birds, Trine ou plus récemment AG Drive dont je vous parlerais prochainement sur Press Start.

J’ai bien évidemment attendu l’arrivée d’une version PS3, et quand j’attends, je tâche de le faire tout en me laissant la surprise, à savoir donc, sans chercher à en savoir trop ! Ce n’est donc qu’il y a quelques semaines que j’ai découvert la mise à disposition du portage tant attendu !

Et ce Resogun, il est terrible !

Bon, il m’aura fallu le temps de comprendre ce qu’il faut faire, mais cela fait franchement partie du plaisir des jeux à l’ancienne. On se retrouve donc dans un Shoot’m up à scrolling horizontal non imposé, un peu comme Uridium sur C64 ou Defender si vous préférez une référence plus classique. De nombreuses waves d’ennemi sont alors à éliminer, avec des projectiles à éviter, jusqu’à là c’est assez classique, même si cette effets visuelles de donner l’impression de tourner atour de la zone d’action amène clairement une dimension novatrice.

Resogun - PS3Mais les choses ne s’arrêtent pas là, vous devez sauver du monde ! Rappelez-vous Choplifter, et bien c’est un peu le même concept. À divers moments, des humains se retrouvent perdus dans l’action, vous devez voler à leur secours et les ramener dans une zone de téléportation. Cela apporte indéniablement une dose de stress supplémentaires à l’action. Une fois votre sauvetage réussi, vous recevez un upgrade pour votre vaisseau, bien utile pour vous frayer un chemin lors des attaques ennemies et les combats demoscènesques contre les boss !

Michael Guarné : « Faut plutôt y jouer sur PS4 si tu peux« 

L’auteur de l’excellent ouvrage dédié à Rayman me fait évidemment mettre le doigt sur un point important alors que j’étais moi-même en train de comparer les deux versions sur la toile. Sur PS3, tout beau soit-il, le graphisme du jeu fait Shoot’m Up odlschool moderne, mais sur PS4… Je n’y ai pas joué, mais l’esthétique « Tout en cube » (En « Voxel » en réalité, des pixels volumétriques comme nous l’explique SpaceCowboy dans son test chez Press-Start) semble prendre le dessus, un style très Demoscène qui donne semble-t-il une dimension évidemment encore plus géniale en permanence, là où je n’ai ressenti cela que pendant le combat des 4 Boss auxquels je me suis mesuré hier soir !

Lire la suite Lire la suite

Des pixels pas à mon goût.

Des pixels pas à mon goût.

Entre les goûtes de pluies de cette été, j’ai enfin eu l’occasion de brancher la console Atari 7800 récupérée il y a bientôt un an !
Mystérieuse et d’un look plastique très vintage, cela fait un moment que je suis intrigué par cette dernière que je n’ai découverte que récemment à travers les différentes chroniques que les Editions Pix n Love lui dédie régulièrement !

Étant gamin, la marque Atari n’était qu’un simple concurrent à mon Commodore, et pas vraiment un concurrent sérieux, puisqu’au fond, je n’aurais mis les mains que sur le clavier du modèle de démonstration du Maxitec durant les débuts de l’aire Micro Ordinateur. Ce n’est que bien des années plus tard, grâce à Internet, que je découvrirais la fabuleuse histoire de la marque et l’impact important qu’elle aura eu sur le monde du jeu vidéo.

Initialement prévue pour 1984 pour remplacer l’Atari 5200, ce n’est que deux plus tard qu’elle arrive finalement aux États-Unis, et pas avant 1987 en Europe. Basée sur une architecture similaire à ce que l’on peut trouver sur la NES ou le Commodore 64, elle en souffrira évidemment la comparaison, puisqu’à cette époque chez nous les 8bits de Nintendo et Sega débarquent et que les Micro Ordinateurs s’invitent de plus en plus régulièrement dans les chaumières !

Petit point appréciable pour les joueurs du grenier, cette dernière est rétro-compatible avec les cartouches de l’Atari 2600, la console phare de la marque, sortie en 1977.

Lire la suite Lire la suite