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Tag: champignon

SEGA, c’est plus fort que qui ?

SEGA, c’est plus fort que qui ?

C’était mon projet durant les grandes vacances, organiser un petit shooting autour des consoles SEGA et tout particulièrement la console Megadrive ! En primeur chez Press-Start depuis le mois d’aout, je reviens ici sur la genèse de ce projet.

Bien que je sois plutôt un grand fan de Nintendo aujourd’hui, si je me pose un moment sur la grande époque du début des années 90 où le combat SEGA VS Nintendo battait son plein, il me faut bien admettre que j’avais plus d’intérêt pour la Mega Drive que pour la Super Nintendo. Et il y a plusieurs raisons à cela.

LoadGame - l'arrivée de Sonic
Automne 1991, Sonic et Mario 3 débarque chez Maxitec !

Tout d’abord, les courses folles de Sonic le hérisson avaient de quoi donner le tournis, bien plus que les sauts calculés d’un Super Mario qui avaient déjà peut-être perdu de son effet « nouveauté ». Si je jette un oeil à ma ligne du temps de joueur, c’est en 1988 que je découvre Super Mario Bros sur la NES. Le plombier moustachu restera pour moi la référence en la matière pendant quelques années mais la confrontation sera rude lorsque débarquera, à la rentrée 1991 au rayon Maxitec, le nouveau titre de SEGA : Sonic the Hedgehog sur Master System et Mega Drive aux cotés de Super Mario Bros 3.

Autre élément important, l’attaque des foyers : SEGA, c’est plus fort que toi !

SEGA, c'est plus que QUI ? - Sonic the Hedgehog 2
SEGA, c’est plus que QUI ? – Sonic the Hedgehog 2

Et comment, la Mega Drive allait rapidement trouver sa place chez nombre de mes camarades dès 1992 ! Alors que, longtemps, seul mon ami Julien S. possédera une Super Nintendo et il faudra attendre le début 1995 avant que la console de Nintendo ne renverse la vapeur. Or ma passion des jeux vidéo a toujours été un mélange de moments forts passés avec mes amis et c’est cela qui aura fait devenir cultes à mes yeux les voyages au cœur du labyrinthe englouti des aventures de Sonic avec Benoit M., les combats endiablés de Streets of Rage II chez Greg et Joe ou la poursuite de la découverte des mondes secrets de Kid Chameleon chez Bruno D… Alors que chez moi, jeune ado de 14 ans, les consoles n’étaient pas autorisées à la maison.

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Vacances à six dans Poitou-Charentes – 1° Partie

Vacances à six dans Poitou-Charentes – 1° Partie

vacances 2016 - Domaine de Brassac

Et nous voilà donc de retour de notre folle escapade à six dans le Poitou-Charentes. Une nouvelle aventure pour ses premières vacances avec Rose (7 mois et 5 dents et demi, dont deux sorties pendant les vacances), Charly (7 ans et demi) et Alice et Juliette (4 ans et demi). Pour descendre au soleil, j’avais donc suivi les nombreuses recommandations des mes amis, éviter Paris en passant par Reims et Troyes. Vers les Charentes - 900kmJe passais de fait de 8h20 de route à 9h. En contrepartie, aucun ralentissement à déplorer sur les 900km d’autoroute, tant à l’aller qu’au retour. La circulation étant même très fluide, j’ai pu profiter de l’assistance de l’excellent Cruise Control de la VW Caddy. Pour occuper les enfants, j’avais bien sur ma traditionnel tablette avec quelques films et la Nintendo DS rose avec l’infatigable Princesse Lillifée… J’avais pour Charly fait l’achat d’une nouvelle console 2DS et de quelques jeux. Il aura au final passé la plupart de son temps à utiliser la fonction caméra et appareil photo de cette dernière !

Bref, arrivé dans l’après-midi au Domaine de Brassac dans le village de Suaux non loin Confolens, nous allions pouvoir très vite faire un petit plongeon dans la piscine et profitez après tant de semaines de disette, d’un généreux soleil !

Perdu dans les collines, nous avions été séduit par le caractère de la bâtisse datant de 1610 entourée de magnifiques arbres de cette époques. Arguments supplémentaires pour plaire aux enfants, Karine et Etienne, nos hôtes ont également de nombreux Alpagas dans la ferme du domaine ! Nous avons même eu droit à une petite naissance juste avant de reprendre la route ! Tous les matins, Charly partait donc faire un petit coucou aux alpagas pendant que nous nous occupions de Rose… Ou peut-être allait-il également voir si les copains du gîtes étaient déjà levés !?

Blotti dans les Charentes, notre charmante chambre d’hôtes se trouve aux portes de nombreuses régions françaises que nous n’avions encore découvertes : Charentes, Charentes Maritimes, Vienne, Limousin, Périgord, Dordogne… J’avais donc un Roadbook assez chargés de bons plans pour remplir nos 5 journées de vacances… Roadbook qu’il aura fallu adapter en fonction des humeurs des enfants, ce qui a donné au final :

– J1 : La Rochelle (Charentes Maritimes), Mégalithe en Ruffécois – Vervant (Charentes)
– J2 : Parc du Reynou – Le Vigen (Limousin), Brantôme (Périgord)
– J3 : Parc Défi Planet – Dienné (Vienne), Angles sur l’Anglin (Vienne)
– J4 : Limoges (Limousin), Coriobona Village (Charentes)
– J5 : Paléosite de Saint Césaire, Mornac sur Seudre, Le Château des Enigmes – Pons (Charentes Maritimes)

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Start ! mi-pomme, mi-champignon

Start ! mi-pomme, mi-champignon

Start ! Près de 6 ans maintenant que je lis de nombreux ouvrages traitant du jeu vidéo. Je commence donc à avoir une connaissance importante des évènements majeurs, mais ce n’est pas pour autant qu’un ouvrage tel que celui-ci, avec une approche plus légère et plus illustrée ne m’intéressait pas. En réalité, la mise en bouche du préface me parlait beaucoup, expliquant que chacun en réalité a été touché de manière différente par le monde du jeu vidéo, en fonction de ses expériences personnelles. Relire rapidement les débuts de l’histoire avec Ralf Bauer, la chute d’Atari et l’apogée Nintendo était agréable, mais il faut bien admettre qu’une fois les pieds mis dans les années 2000, le livre commence à perdre son homogénéité. Il y a deux raison à cela, il s’agit d’une ré-édition à laquelle des séries devenues entre temps importantes ont été rajouté. On retrouve donc Rayman en fin de sujet, et traité de manière un peu bouche trou, on retrouve aussi beaucoup de jeux que je ne connais pas, qui ne m’ont pas intéressé, certains traités plus longuement que d’autres… et j’aurais par exemple été intéressé à en lire un peu plus sur Assasin Creed. En réalité, je pense que ces 15 dernières années sont encore trop jeune que pour pouvoir être traitée de manière historique avec le recul nécessaire, faisant de ce livre un ouvrage mi pomme, mi champignon.

*soleil*.*

*soleil*.*

Allé zou, une petite recherche après un peu de soleil,… non, allé il doit bien y voir cela quelque part ? Bon, je vous avoue que je n’ai pas vraiment la tête à m’amuser et me distraire, et pourtant avec deux jours de congés, je ne peux quand même pas passé tout mon temps à regarder le graphique des charges CPU du serveur Infomaniak en espérant qu’il ne va plus remonter, à manger de la documentation sur les possibilités de fonctionnement des fichiers .htaccess pour affiner mes protections,… non, j’ai une petite famille, trois enfants,… il faut bien qu’ils profitent un peu des congés !

Vendredi, j’avais prévu la petite sortie annuelle à Paradisio (Enfin, Pairi Daiza). Le soleil avait par contre décidé de ne pas vraiment être de la partie, et un certain vent froid et soutenu allait nous obliger à rester emmitoufler. L’occasion malgré tout de faire découvrir le plus parc animalier de Belgique à nos amis Vincent & Carole. Ceci dit, et ce n’est pas la première fois. Le parc était une fois de plus en grand travaux afin de finaliser la nouvelle zone africaine. Les conséquences font qu’ils donnent un petit air chantier qui est moins agréable. Avec le mauvais temps, les fleurs étaient bien plus rares que les années précédentes et puis… Où est passé le spectacle des éléphants dans le temple ? A-t-il été annulé pour cause de sécurité ou manquait-il simplement dans le planning !?

Pairi Daiza, valeur sure des sorties en famille, dès le samedi matin, le soleil avait décidé de briller ! Aah, je prenais donc un peu plus de risque pour nous emmener au domaine provincial de Chevetogne. Étant gamin, la destination était agréable, à l’image du parc de Wégimont. Ce dernier étant maintenant bien moins sympa, je restais confiant des bonnes recommandation de mon collègue Dominique.

Effectivement, la reconversion un poil écologique du par de Chevetogne permet de passé de bons moments en familles. Il faut prendre le temps de marcher, de se promener pour aller aux différents points d’intérêts. La petite fermer est un peu trop « fermée » à mon gout, mais les pleines de jeux sont très chouettes pour les enfants.  Le jardin de Noé est bien jolis et les petites roulottes en bois ont bien plus à Charly…

Ah oui, et tant que j’y suis, dans les sorties en famille, il m’en reste une réalisée il y a un bon mois que je vous déconseille fortement : Le parc Harry Malter près de Gent … à un point que je n’y ai même pas pris de photos ! On le croirait presque à l’abandon… Rapidement glissé dans une énorme flaque de boue, Charly était vite dans un état à peine gérable… Lui trouvait les petites maisons champignon bien rigolote, mais les kilomètres parcourus n’en valait vraiment pas la peine !

Je peux jouer a la Ninteno?

Je peux jouer a la Ninteno?

— Et un jour Super Mario débarqua au rayon Maxitec de chez GB —

Compagnon de mes siestes sous le soleil d’Espagne, le troisième tome de l’histoire de Nintendo m’a un peu deçu… Si j’ai vraiment apprécie le début de l’ouvrage narrant la genèse de la console Famicom (la version Jap de la NES) au début des années 80 au Japon, si j’ai découvert avec beaucoup d’étonnement l’incroyable folie qu’elle y avait engendrée, si j’ai été les étonné des paris de Nintendo, lançant au milieu des années 80 les jeux dématérialisés grâce au Disk system, qui permettait aux jeunes joueurs de venir charger sur une disquettes un nouveau jeu depuis une borne… J’aurais vraiment aimé que cette ouvrage s’attarde également sur la genèses des titres phares de l’époque NES… Ce n’est guère les petits encarts sur les quelques titres présentés qui vont me suffire, d’autant que leur sélection me semble assez discutable dans une optique non-collectionneur.

Rendez vous compte, la NES, appelée donc Famicom au Japon débarque en 1983, elle est alors extrêmement puissante pour l’époque et proposée pour un prix plus qu’attractif… Elle ne débarquera chez nous qu’a la Noël 1987 sans rougir de la concurrence. C’est que chez nous en Belgique, comme dans d’autres pays européens, le marché console de jeux n’existe pas encore vraiment… On retrouve essentiellement des micro ordinateur depuis plusieurs années tels que bien sur le Commodore 64 ou l’amstrad CPC. Les jeux y sont nombreux et se copient entre amis et aux fils des années le prix de ces ordinateurs s’est democratisés… Puis Super Mario débarqua dans le rayon Maxitec de chez GB.

Petit a petit les ordinateurs en demo ont fait place aux consoles Nintendo et Sega… Rêve de gosses, je ne manquais pour rien au monde les courses du samedi pour aller moi aussi taquiner la manette. Mais il me faut bien admettre que la politique Nintendo chez nous etait loin d être parfaite. Très vite Super Mario Bros allait laisser pour de nombreux mois sa place a des titres nettement moins attirant tels que les Tortues Ninja, Dragon Ball, Super Baloo… ou Tic et Tac Ranger du risque restant ceci dit assez sympa a jouer a deux… Tout cela jusqu’a l’arrivée de Super Mario Bros 3, a mes yeux LE JEU sur NES…

Oui, en peu de temps, les Pharaoh’s curse et Summer Games challenge de mon C64 allaient difficilement me donner envie, et même les Game&Watch dans la cours de récré n’avait plus trop la quote,… hormis peut-être le Super Mario Bros de Stéphane D’Argent…

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