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RétroGaming artistique

RétroGaming artistique

Les Be-Gamers ont déjà eu la chance de découvrir ce sujet dans mon 11° CJ’s Games World, chronique que je tiens ponctuellement sur le dit site. J’ai aujourd’hui envie de vous présenter une facette moins évidente de ma marotte pour le RétroGaming, mélangée à une autre de mes passions : la photo. Actif dans ce milieu professionnellement depuis quelques années déjà avec notamment les reportages de mariage Quenalove, j’ai évidemment la chance de pouvoir disposer de l’infrastructure nécessaire pour donner une âme nouvelle à de simples cartouches « en loose ».

J’ai toujours conservé cette envie de retrouver et conserver les souvenirs de ma jeunesse, et l’on peut dire que ma rétro-collection a commencé en 2003, quand j’ai fait l’acquisition d’une GameBoy Fat verte pour une bouchée de pain chez Manga Mania à Liège, histoire d’avoir de quoi m’occuper pour partir en vacances. J’étais alors heureux de retrouver ce gros joujou entre mes mains, avec mon sac rempli de piles de rechange. Retrouvant l’une ou l’autre cartouches GameBoy (merci Kylistoon), c’est en 2008 que la sauce prend, en récupérant le Commodore 64 d’une amie (merci Sandra), je décide d’en faire quelques photos pour mon blog. A l’époque, je suis membre d’une communauté de passionnés de C64, et lors d’une de nos C64 Party, je réalise quelques photos artistiques de la journée… Je me rends compte alors du plaisir de fixer en image ces objets magiques. En effet, l’un de ces clichés clés sera celui d’une Vectrex en action. Ma première rencontre avec cette console jusque-là pour moi royalement inconnue. Le courant passe, et elle restera depuis lors un Saint Graal à rechercher.

Profitant donc de mon studio photo à l’origine configuré pour des photos de bébés, je mets en place quelques scènes pour immortaliser ma nouvelle Megadrive et les quelques jeux reçus de mon ami Stéphane, les trouvailles en brocantes, et ma collection grandissante. Les objets en boite étant bien plus difficiles à trouver, je dois donc un peu ruser pour créer de jolies scènes. Les ouvrages Pix n Love édition me permettent par exemple de donner un fond coloré. Avant même d’avoir une console NES, j’ai pu récupérer une manette pour contextualiser les cartouches seules.

Trêve de blaba, je vous invite à découvrir quelques clichés de RétroGaming Artistique. Certains d’entre-vous reconnaitront peut-être des jeux ou consoles venant de chez eux. Je pense par exemple à l’Atari 7800 et les manettes NES venant de la famille Dragonus.

PS : Je me rends compte que je commence à avoir une idée un peu trop vague de ma collection, il va falloir que j’en fasse une liste :)

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Les jeux-vidéos de 2012, un cru sans saveur.

Les jeux-vidéos de 2012, un cru sans saveur.

Petit exercice bien sympathique auquel j’ai participé en cette fin d’année avec l’équipe de rédaction Be-Games : Le Top et Flop 2012 ! Et il me faut bien admettre que cette année, j’ai bien eu du mal à être enthousiasmé par les jeux-vidéo modernes. Je vois pourtant passer de jolis screenshots ciblant bien souvent des jeux indies non disponibles sur mes outils de jeux, les grosses licences se ressemblent un peu toutes… bref, ce sont bien souvent des titres de 2011 voir bien plus anciens qui ont eu droit à mes faveurs cette année…

Top 2012 by CJ

Silent Hill : Downpour (PS3), une jolie réussite pour un titre trop peu mis avant. Ce 6ème Silent Hill renoue pourtant avec une ambiance et un gameplay dignes de ses prédécesseurs, sur l’ancienne génération de console. Frissons garantis ! (Lire : Une grosse drache sur Silent Hill)

Rayman (PS3, iPad), il y a un an, Rayman faisait enfin son grand come back avec Rayman Origins. Un retour aux sources très réussi, tirant parti des expériences de Mario ou Donkey, renouant eux aussi avec la 2D. Les graphismes de Rayman sont époustouflants et y jouer à plusieurs un vrai plaisir. Rayman s’offre également un passage sur Tablette avec un Rayman Jungle Rush qui puise son gameplay dans une mécanique de running Game bien huilée sur système tactile. L’un comme l’autre sont pour moi des incontournables de 2012. (Lire : Rayman revient à ses origines, Rayman se la joue sur iPad)

Trine 2 (PS3), il est vrai que j’aurais voulu vous parler de Giana Sister, mais je n’ai pas encore pu y jouer. J’avais été peu convaincu par le premier Trine, trop peu lisible à mon goût. La démo de Trine 2 m’a vraiment ébloui. Reprenant toujours le concept de personnages aux compétences différentes, comme dans ce bon vieux lost vicking, ce nouveau Trine propose des environnements beaucoup plus clairs et lumineux, offrant une expérience bien plus agréable, seul ou à plusieurs. (Lire : Trine deuxième essais)

Flop 2012 by CJ

Mario (WiiU, 3DS), et oui déçu de New Super Mario Bros, autant sur 3DS que sur WiiU. En effet, je comptais vraiment sur ces titres pour me faire rêver et me donner envie de m’acheter une 3ds ou la nouvelle WiiU… Au final, ces softs sont loin d’être mauvais mais se montrent bien trop conservateurs que pour me faire craquer sur 3DS, et le concept de jeu via le GamePad ne m’accroche pas vraiment pour jouer à Mario !

I am alive (PS3), un titre que je suis depuis sa première annonce à la E3, et qui promettait alors une expérience se situant entre uncharted, Alone in the dark inferno et s.o.s. Final escape, le tout réalisé par Ubisoft à qui l’on doit la série Assassins Creed. Oublié, annulé, puis revenu à la vie, Il délivre finalement un titre à la 3D pauvre, misant sur l’expérience en ligne.

Capitaine Morgane et la tortue d’or (PC), je parie que ce titre ne vous dit rien, et pourtant moi, j’en attendais tout de même quelque chose. Nouvelle aventure point & clic signée WizardBox, se déroulant dans le même univers que So Blonde dont l’ambiance était assez réussie, j’espérais que ce nouveau titre comble les défauts des aventures du Sunny. Il n’en est rien semble-t-il, des doublages inégaux et des chargements encore trop long. Le titre est pourtant très joli graphiquement, parfois trop fouilli que pour trouver les objets… Ceci dit l’effet « So Blonde » n’y évidemment plus présent puisque l’on suit Capitaine Morgane, pirate de son statut !

Les jeux auxquels j'ai joué en 2012
Les jeux auxquels j’ai joué en 2012

Bref, comme je vous le disais, j’ai franchement laché le pied sur les sorties de jeux-vidéo. Il faut dire qu’avec nos 3 petits anges, nous sommes rapidement épuisés une fois le travail terminé et toute le monde au lit. J’ai tout de même pu cette année découvrir quelques titres tels que : Plantes VS Zombie sur Nintendo DS, Aladdin et Rolo to the Rescue sur Megadrive, Ducktales sur NES, Sonic Generations, Motorstorm Apocalypse, Alice, Tales of Graces F, Skyrim et Uncharted 3 sur PS3, Lomax et Gex sur PS1, Merlin, Ducktales 2 et WarioLand 2 sur GameBoy, GeoMasters et Angry birds Space sur iPad ainsi que Mario Party 9  et Donkey Kong Returns sur Wii.

C’est l’histoire d’une jolie fille….

C’est l’histoire d’une jolie fille….

Tales of Grace F – article écrit pour Be-Games et publié le 10 décembre 2012

Tales of Grace FDébarqué sur micro-ordinateur au milieu des années 80, j’ai eu peu de contact avec les jeux d’Aventure/RPG comme nous les dénommons aujourd’hui, j’ai été bercé par une première expérience sur Game Boy avec Zelda : Link’s Awakening et Mystic Quest. Ensuite, au début de ce siècle, avec Final Fantasy sur PlayStation, j’ai reçu l’instruction minimale sur le sujet : des scénarii forts, des personnages attachants, de vastes mondes à explorer, des casse-tête, des objets magiques et des armes à upgrader.

Les deux premières consoles de Sony m’ont permis de découvrir d’autres jeux similaires. Au moment de passer à la génération suivante, j’ai du me rendre à l’évidence : les jeux d’aventure/RPG colorés comme je les aime ne se bousculaient plus au portillon. Le nouveau Final Fantasy XIII s’annonçait bien différent de l’épisode précédent et c’est le titre Eternal Sonata de Namco qui m’a aidé à passer le cap vers la Next Gen.

Tales of Phantasia - Battle
Tales of Phantasia – Battle

Si je m’étends sur mon itinéraire de gamer hors-norme, c’est pour vous aider à comprendre comment j’ai appréhendé l’expérience Tales of.

Peu mise à l’honneur en Europe, cette série est apparue sur Super Nintendo en 1995 avec Tales of Phantasia. Aujourd’hui, elle propose plus de 20 titres dérivés. Son style coloré et Manga m’a souvent interpellé, au vu des screenshots disponibles sur la toile. Malheureusement, seuls 6 titres ont traversé  les océans jusqu’à nos contrées, dont à peine 4 en français. De surcroît,  ils ont été portés sur des consoles dont je ne disposais plus. C’est pourquoi je n’ai jamais eu la possibilité de tester une de ses nombreuses déclinaisons.

Tales of Graces - F
Tales of Graces – F

Dans une introduction très J-Pop et Animation Nipponne, l’aventure commence, à l’instar d’un générique de dessin animé. Le clip est de qualité, et l’on retrouvera  une série d’animations de ce genre pour ponctuer l’aventure. Ceci dit, à titre personnel, ce n’est pas du tout le type d’éléments qui me font vibrer ou me donnent envie de jouer. Ce sentiment s’envole rapidement une fois arrivé dans l’environnement 3D. La mise en bouche est plaisante. L’aventure démarre entre forêt, colline fleurie et paisible village où l’éphèbe Asbel et son frère rencontrent une jeune fille qu’ils appelleront Sophie. Tout en douceur vous pourrez vous familiariser avec le gameplay du jeu.

Tales of Grace - F - Sur la route
Tales of Grace – F – Sur la route

La partie exploration se veut assez proche d’un Final Fantasy IX ou plus récemment d’un Eternal Sonata, tout en parcourant un univers basé sur des scènes en 3D aux déplacements imposés. Vous y rencontrez quelques ennemis en balade, des personnages avec qui discuter et des objets à ramasser. Fouillez bien, de nombreux coffres se cachent dans les décors, ce qui rappellera encore un peu plus les deux titres RPG cités plus haut.  J’apprécie tout particulièrement ce genre d’épopée où je ne dois pas me battre avec la gestion de camera et très rapidement, l’envie de pousser plus loin l’aventure se fait sentir.

La bande son se montre vraiment à la hauteur de ce que pouvait nous offrir Nobuo Uematsu dans la série Final Fantasy.

Pourtant, j’entends dire dans le fond de la classe : « Ouais, mais c’est juste une version HD d’un jeu Wii, les graphismes sont bien en dessous de ce que peut faire la PS3 !«

Et oui, c’est vrai, Tales of Graces est sorti sur Wii il y 3 ans déjà au Japon. Mais cela ne lui enlève en rien son charme et surtout sa présence sur un marché peu représenté sur la console de Sony. Vous l’aurez peut-être déjà compris, les ressemblances avec Eternal Sonata, édité par Namco, sont très présentes. Que ce soit au niveau des graphismes, mais également dans la narration et les combats.

Tales of Graces - F
Tales of Graces – F

Coté scénario donc, l’aventure commence en suivant la jeunesse d’Asbel et de son frère Hubert, l’histoire semble alors inoffensive, à l’image des premiers pas que les plus anciens d’entre nous auraient pu faire dans la forêt de Secret of Mana sur Super Nintendo. Au bout de ce prologue, vous reprendrez l’histoire sept années plus tard. Les caractères de chacun aillant bien évolué, avec Asbel devenu apprenti chevalier et le monde paisible Efinea divisé entre les trois grandes nations. Le scénario pourra alors prendre son envol.

Cependant, les phases de dialogue cassent le rythme du jeu. Comme dans Eternal Sonata, dont Tales of Graces tire beaucoup, les animations des personnages dans les cinématiques 3D sont vraiment molles et certains dialogues se font à l’ancienne dans un genre BD/Manga. Le joueur, moi le premier, aura donc tendance à vouloir retourner un peu trop rapidement sur le terrain, au risque de ne pas profiter entièrement de l’intrigue.

Enfin, parlons combats et évolutions. Sans pouvoir comparer cet épisode aux précédents,tales-of-graces-f-playstation-3-ps3-1346853586-572 le gameplay repose sur des affrontements en temps réel à l’image de la série Legend of Zelda. Le joueur contrôle un des combattants qui pourra réaliser des actions d’attaque ou de défense. Il est aidé par son équipe, contrôlée par intelligence artificielle, ou comme je l’apprécie dans Eternal Sonata, par un autre joueur venant passer un peu de temps avec vous sur votre PS3. Au bout de chaque combat, vous remportez des points victoire et objet, qui vous permettent de faire évoluer vos personnages. Ceux-ci peuvent également recevoir des titres qui influencent les compétences et méthodes de combats, de façon comparable avec d’autres titres RPG.

Tales of Graces - F
Tales of Graces – F

Si au départ les combats sont très, voir trop simples, ceux-ci se montrent petit à petit plus subtils et tactiques. Il faut surveiller sa jauge d’actions disponibles autant en attaque qu’en parade. Il est bien sur possible de réaliser des attaques spéciales et des combos. Néanmoins, le début de l’aventure donne l’impression de simplement bourriner sur des petits monstres, sans trop réfléchir.

La PlayStation 3 a peu de titres frais et colorés comme Tales of Grace et celui-ci donne clairement envie de se plonger dans l’aventure. Si vous avez apprécié des titres comme Final Fantasy IX et Eternal Sonata, vous devez vous jeter sur ce jeu sans attendre, … Noël approche, faites-vous plaisir !

Pix n Love 21, dédié à Monkey Island !

Pix n Love 21, dédié à Monkey Island !

Monkey Island, wouw, je suis prêt à casser mon cochon tout de suite ! Et je vous explique pourquoi dans ce nouvelle chronique sur Be-Games…

Beaucoup d’entre vous êtes probablement déjà devenus des rétro-gamers à un niveau avancé. Combien de consoles oldschool avez-vous déjà ? Pour ma part, j’ai l’impression de n’avoir jamais vraiment quitté l’époque 16bits, j’ai abreuvé longtemps mon PC, ma Playstation, ma PS2, Ma DS,… d’émulateurs qui font que je n’ai jamais cessé de jouer aux titres de mon enfance, mais en 2008, un petit déclic s’est créé. Oh j’avais bien déjà une vieille GameBoy achetée pour partir en vacances dans un coin, mais ce jour là, voilà que je tombe sur les couvertures des trois premiers numéro du « Moog » Pix n Love, avec un Space Invaders et un Pacman franchement alléchant. Wouw, 9€ à peine, j’en ai très très envie, et je finis par négocier avec mon frangin un achat avec sa MasterCard.

Depuis ma vie a changé, je mange en permanence des bouquins Pix n Love et je découvre ou redécouvre les jeux des ces époques, des machines parfois inconnues, que ce soit le micro Oric ou la Sega Saturn.. (Si si, je n’avais jamais entendu parlé de la Saturn) ! Les rubriques concernant les homebrews sur Atari 2600 me font rêver, et je me dis que ces gars sont complètement malade ! Les chroniques comptant l’histoire de la société Nintendo spécialisée dans la vente de cartes à jouer et importateur de jouets m’étonnent. Je m’abreuve de Playhistoire avec une envie de savoir toujours plus grande… Et pourtant, aurais-je alors imaginer à l’époque me retrouver avec une console Atari 7800, une Megadrive, un arc-en-ciel de GameBoy… Probablement pas !

Je craque pourtant en 2011 avec l’achat d’une GameBoy Color et zoup, me voilà devenus un rétro-gamers comme vous. qui n’espère qu’une chose c’est trouver le temps de se replonger dans Link to the past sur sa GBA SP, découvrir la version NES de Ducktales avec une vraie manette NES, qui sait un jour se trouver une Amiga CD 32, juste pour voir ce que c’était…

Alors voilà, s’il y a bien une série pour laquelle j’ai envie de tout savoir, c’est Monkey Island ! Parce que Monkey Island fut mon premier « film interactif »… Je me souviens que je logeais chez mon copain Julien et que nous avons passé la nuit avec mon frangin et lui sur ce jeu, la clé dans la boite de Kellogs, le singe à trois tête, les verres de Grogs, l’univers créé était fantastique… oui vraiment je rêve de tout savoir… et puis la pochette collector est magnifique, je fais quoi, je m’abonne ?

http://www.editionspixnlove.com/Pixn-Love/Voir-tous-les-produits.html?swid=10004

 

Faire un jeu en 48h chrono

Faire un jeu en 48h chrono

Tel est le défi que se lancent les participants à la Ludum Dare depuis 2002 ! De mon coté, je dois bien admettre que cela fait un bon moment que je ne joue plus trop sur PC, loupant de fait une tonne de chouettes petits jeux Indies. Or donc, je trouvais ce concept de jeux en 48h chrono que me présentait mon frangin Pype, assez chouette, d’autant que le tout se présente dans un genre très, très oldschool !

Bien sur, on y retrouve des choses de qualité très variées. Le thème de cette 23° édition était de construire des « mini-world » et franchement le gagnant Tyler Glaiel avec son jeu Fracuum a réussi à me convaincre. Graphiquement, on est clairement dans le genre des jeux de l’époque Atari, avec très peu de couleurs et des graphismes en gros pixels… Et je dirais même que le screenshot ne m’inspirait pas plus que cela… Et pourtant ! Notre personnage quadrilatère parfait se promène donc dans des labyrinthes remplis de pièges et d’ennemis. On pourra assez rapidement trouver une arme pour progresser dans l’aventure. Jusqu’ici, franchement rien d’original me direz vous un truc dans la veine de Berzerk et Shamus… Héhé, c’est sans compter sur ce concept de « MiniWorld »… En effet, à base de zooms et de de-zooms vous allez progresser dans un labyrinthe de plus en plus profond, ce qui donne un ambiance franchement réussie !

Le concept est d’ailleurs assez similaire dans Soul Searching de Maxim Schoemaker. Avec une vue plus axée jeu de plate-forme (à l’image de Knytt si vous m’avez déjà lu à ce sujet), où vous devrez zoomer et de-zoomer à travers l’univers (votre cerveau) afin de progresser dans celui-ci, avec pour les anglophones un soupçon de scénario sympathique. L’idée est chouette, mais j’aurais clairement apprécié des graphisme et ambiance sonore plus immersifs !

Vous trouverez de quoi occuper vos soirées un moment. Les titres sont nombreux même si, 48h obligent, souvent fort courts. J’ai bien aimé le petit jeu de Point&Click Predicament, qui vous fera cogiter avec beaucoup d’humour… et le concept d’Aether dont le style graphique et l’idée principale m’ont un peu rappelé Raid over Moscou du C64.