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Les films du mois : New York Melody

Les films du mois : New York Melody

new york melodyNew York Melody (8/10)

Pendant de longues années, j’ai rêvé être un grand musicien, faire des albums, des concerts, atteindre le TOP 50. Puis, j’ai grandi, j’ai découvert la vraie vie, je suis devenu papa, je me suis lancé dans d’autres projets et j’ai pu fermer la porte de ce monde gangréné qu’est celui de la musique.

Pendant toutes ces années, regardé un film ou une émission à la Star Academy suivant des artistes émergents dans l’univers de la musique était pour moi plus que pénible. Mais j’ai pu me réconcilier avec le genre grâce au film « Le Come Back » !

New York Melody, se rapproche assez bien du Come Back. Avec une aile moins « British Comedy », un style musicale plus pop moderne et une très chouette B.O. également. L’histoire est moins prévisible, même si la finalité choisie me laisse un peu sur ma faim.

Quoi qu’il en soit, on ose y montrer un peu plus un monde de la musique corrompu. Que reste-t-il à l’artiste, le pilier d’un morceau de musique quand un label mange 90% de la vente d’un disque, même immatériel, que l’artiste doit encore payer entre 20 et 40% de taxes sur les 10% de revenus à l’état…

Comme beaucoup j’ai cru qu’Internet permettrait de diffuser ma musique plus facilement au monde, comme bien d’autres artistes indépendant. Mais les lobbys du monde de la musique courtisant les législateurs ont sur le vendre les idées pour créer des lois permettant de tuer les auto-producteurs de musique, de bouquin, de jeux-vidéo… afin que le business continue à passer entre leur mains !

Quai D’Orsay (8/10)

Allé hop, ça c’est du Thierry Lhermite en forme ! Vous pensez que c’est tellement différent dans les cabinets ministériels en Belgique, je n’en suis pas si sur… On sent bien sur que l’on est dans l’humour et la démesure en permanence et pourtant, on reste à se dire que l’on est pas si loin du vrai !

Capitaine Phillips (8/10)

La piraterie en mer,… un sujet probablement difficile à rendre attractif au cinéma, tout en racontant une histoire vraie. L’histoire du Capitaine Phillips est stressante, humaine, et parvient à réussir ce défi sans tomber de manière disproportionnée dans le films de guerre, d’action, dans le bain de sang et la violence gratuite.

The Weather man (8/10)

Dans ce film, Nicolas Cage incarne un animateur météo TV. L’ambiance de film est très spéciale et je ne sais pas pourquoi elle m’a toujours plu et donné envie de revoir régulièrement le film.

Le Hobbit : La bataille des 5 armées (8/10)

Plus rythmés que les deux premiers volets, l’action se concentre évidemment sur la grande bataille sans pour autant oublier de s’intéresser à chaque protagonistes. L’effet 3D 48fps donne vraiment l’impression de vivre le film un peu comme si l’on se retrouvait dans une reconstitution historique. Cela sonne parfois un peu faux dans le jeu de certains acteurs, mais apporte de ce fait un touche humoristique sympa.

De manière générale, la trilogie se termine sur une bonne note qui fait remonter dans mon estime l’intérêt de l’univers de JJR Tolkien, n’étant pas vraiment plus que cela fan du Seigneur des Anneaux. Une revisite de la première épopée à la sauce Peter Jackson ne serait pas pour me déplaire.

Gravity (8/10)

Il est certain que Gravity ne plaira pas à tout le monde… Pourtant ce voyage étonnant dans l’espace digne d’un Seul au monde est une belle réussite. Le duo d’acteur donne une consistance supplémentaire au film. Il faut bien avouer que suivre un astronaute dans cette course dans le vide, pour survivre, passant de station en station à nous donner mal à la tête est un beau défi cinématographique. La musique, pesante, apporte également une ambiance extrêmement réussie.

Divin enfant (7/10)

Une comédie de Noël un peu choc et croustillante

Le coeur des hommes 3 (7/10)

Une comédie qui vous offre de passer un bon moment, même si j’ai du mal à imaginer que l’on vive ainsi….

Tempête de boulette géante 2 : l’île des Miam-nimaux (4/10)

Etonnant ! Graphiquement, cette nouvelle aventure est une vraie réussite, le charisme des Miamnimaux, le méchant… tout y est ! A coté de cela, l’intrigue est presqu’ennuyante, les gags répétitifs et peu inspirés, et les dialogues tout juste à la limite de ma tolérance…. La faute à un doublage francophone ciblant un public « limité » ?

Une vraie déception alors que la bande annonce m’inspirait vraiment et que le premier film avait été une vraie surprise !

Jack et les chasseurs de géants (3/10)

Acteurs sans charisme, scénario prévisible et effets spéciaux d’une autre époques… on dirait une mauvaise série pour ados…

Les garçons et Guillaume à table ! (1/10)

pour moi imbuvable !

Goodbye 2014

Goodbye 2014

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Et voilà, l’année 2014 touche à sa fin. Une année plus que positive pour notre famille et que nous quitterons en en gardant le maximum de souvenirs, même si les derniers mois ont été entachés de mauvaises nouvelles que ce soit dans la gouvernance de notre pays ou les imbécilités décidées par l’Europe.

Cette année 2014 ce sera notamment et dans le désordre de magnifiques moments en famille et avec les enfants, de belles découvertes vidéoludiques (Beyond Earth, Godus, Kirby, Mario Kart 8, Rayman Legends, Thiny Thief, Simcity, Bravely Default,…), de superbes reportages de mariage avec Quenalove, l’arrivée du Nikon D750, l’entrée à l’école d’Alice et Juliette, l’arrivée des musiques de Cyborg Jeff sur Spotify, notre nouvelle Peugeot 5008, de nombreuses heures de jeux avec Charly et les LEGO, Game of Thrones, 14 ans de bonheur avec ma petite dame, ma tête dans Google map, la mise en place du nouveau studio de Petite Snorkys Photography ainsi que celui d’eCampus, Le Hobbit en 48fps, d’excellentes avancées dans Final Cut Pro X, notre déménagement dans la grande maison à Esneux,  un nouveau Bilou, la superbe bataille entre Nico Rosberg et Lewis Hamilton, la fin de l’aventure Be-Games et le début de Press Start, Les Belges au Brésil avec les mains en l’air, alé, alé, alé, un superbe Halloween, la découverte de la WiiU, des nouvelles d’Harry Potter, le mariage de Valentin, le début de la Formule E, la sortie cartouche de Power Glove, et bien, bien d’autres choses….

48 images par seconde

48 images par seconde

 

Sans être un grand fan du Seigneur des Anneaux, j’avais relativement bien apprécié l’histoire se mettant en place dans le premier film de la trilogie du Hobbit. Certaines scènes étaient beaucoup trop longues à mon goût mais dans l’ensemble, j’étais content d’avoir vu le film. Pour la Désolation de Smaug, nous avions choisi d’aller le voir en 3D 48fps, car mon ami Vincent n’avait jamais vu de film en 3D. Personnellement, je ne cours d’habitude pas à voir les films en 3D, car je trouve cela fatigant pour la vue et hormis les films d’animation, je n’ai jamais été époustouflé par cette technologie… jusqu’à La Désolation de Smaug !

Tout d’abord, je trouve que l’équilibre de la trame du film est bien meilleur. Je n’ai plus eu l’impression que les scènes se tiraient en longueur, peut-être juste un peu sur la fin quand Smaug essaie d’attraper Bilbon, mais dans l’ensemble, je trouvais que lorsque le film prenait son temps c’était pour nous permettre de se perdre dans des ambiances et décors époustouflants, baigner d’effets de lumière et de profondeur à couper le souffle !

The-Hobbit-The-Desolation-of-Smaug
Coté 3D, on sent que ce film est une véritable démo technique de ce que l’on fait de mieux… sans pour autant en jeter plein la vue en permanence. Il y a quelques petits effets d’objets qui vous arrivent en pleine figure, mais dans l’ensemble la 3D est surtout là pour nous donner l’impression d’être immergé dans l’univers de JJR Tolkien.

Quid du 48fps ? Dans un premier temps, j’ai été très étonné que ce flux d’image soit bien moins fatigant à regarder (surtout pendant 3 heures) face à tous les autres films 3D que j’ai vus. Je ne peux être certain que cela soit lié, mais c’est important de le souligner. (Et après lecture sur le sujet, je sais maintenant que c’est un des avantages du 48fps).

Ce qui est certain c’est que le 48fps apporte un effet très différent de ce que l’on voit au cinéma. En réalité, on a l’impression de ne pas être au cinéma et d’être vraiment au côté des acteurs (la 3D ajoutant son grain de sel à cela également, j’imagine). C’est assez difficile à expliquer, mais c’est un peu comme si vous regardiez les bonus d’un film, ou une petite série-TV française… tout en étant que c’est bien un film et que vous vous en prenez plein la vue….  Les acteurs ont des mouvements tellement fluides qu’on ne sent pas plus au cinéma… Au fond, passé la surprise, cela donne un certain effet d’intimité. On sent donc un peu plus que les décors ne sont pas réels, les éclairages… mais sans que cela ne soit dérangeant ou fasse trop effets spéciaux… on se sent juste transporté dans l’univers du film.

Je serais vraiment curieux de voir d’autres bons films tournés de ce genre, car il est certain que le 48fps imposera des moyens importants pour que le film soit réaliste !

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