Archives de
Month: novembre 2018

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Joyeux anniversaire Jazz Jackrabbit !

Il y a quelques semaines, la série Jazz JackRabbit soufflait les 20 ans de la sortie de son 2e épisode. Pour l’occasion les fans musicos du lapin vert offraient à la communauté un très bel album d’arrangements modernes des thèmes musicaux de la série ! Ah, que me racontes-tu là, Franqui… « personne ne connait Jazz JackRabbit !? » Une petite séquence Playhistoire s’impose donc… Je vais vous parler de ce temps où Epic Mega Games n’était ni synonyme d’Unreal Engine et encore moins de Fortnite.

Début des années 90, bon nombre de mes copains de classe reçoivent une Megadrive pour jouer à Sonic le hérisson, devenu le symbole des jeux vidéo « cool ». Moi, je fais partie de ceux qui ont à la maison un ordinateur et non une console. Si graphiquement les PC de l’époque proposent des expériences vidéoludiques novatrices avec des simulations en 3D vectorielle toujours plus réussies et des jeux d’aventure Point & Clic aux couleurs chatoyantes, je suis bien forcé de constater que les jeux de plate-forme que j’affectionne tant y sont bien moins fréquents. En effet, l’une des difficultés du monde PC à l’époque est que ces machines embarquent des composants relativement disparates dont notamment les cartes graphiques. Cette diversité de performances rend difficile la réalisation d’un scrolling concluant des sprites à l’écran. À l’époque par exemple, les versions MS-DOS des jeux français de Titus reposent alors sur une technique d’écrans qui scrollent brutalement lorsque le personnage se rapproche du bord (je vous invite au besoin à relire mon test des Aventures de Moktar). Ce sera l’arrivée des titres de la génération « sharewares » américains qui viendra bouleverser le paysage PC avec le premier épisode de Keen Commander signé Apogee – ID Software et Jill of the Jungle, proposé par le « studio concurrent » Epic Mega Games.

Les aventures de Keen Commander, Jill of the Jungle, Duke Nukem et autres Bio Menace reposent sur ce modèle économique du shareware qui n’a évidemment pas eu le même impact chez nous. Les studios proposent en « téléchargement » gratuit le 1er épisode de ce qui se présente souvent comme une trilogie. Les autres titres pouvant ensuite être téléchargés sur un BBS, l’ancêtre d’internet, et ce de manière payante voire commandés par vente par correspondance. Ici en Belgique, ces jeux « gratuits » se retrouvent en cadeau dans des magasines spécialisés, dans des packagings à bas prix de grande surface ou un peu plus tard dans des compilations de jeux sur CD-Rom.

Bien entendu, les influences du monde console sont importantes. Si Keen Commander tente de reproduire avec suffisamment de distance les mécaniques de gameplay et surtout le scrolling efficace du premier Super Mario Bros, Jill of the Jungle se rapproche plutôt de Metroid et Bio Menace de la série Contra… Mais nous sommes bien loin d’envisager l’équivalent d’un Sonic sur PC, d’autant que la plupart de ces titres se limitent à exploiter les 16 couleurs du mode graphique EGA pour offrir un scrolling fluide.

La guerre des mascottes - Pix'n Love Editions
La guerre des mascottes – Pix’n Love Editions

L’arrivé de Sonic the Hedgehog en 1991 va bousculer le monde du jeu de plateforme. Là où la majorité des héros avaient une forme humaine, les mascottes vont petit à petit inverser la tendance comme nous le raconte William Audureau dans son excellent ouvrage « La Guerre des Mascottes » édité chez Pix’n Love en 2016. Un singe chez Nintendo, un renard chez Titus, un chat chez Accolade, une chauve-souris chez Sunsoft, un écureuil chez Ocean, une fourmi chez Gremlin Graphics, un lézard chez Crystal Dynamics aux cotés des nombreux personnages de Disney et autres Looney Tunes, les rayons de jeux vidéo se retrouvent envahis !

Alors qu’Epic Mega Games assoit un temps sa réussite sur une série de jeux de flipper très réussi (Epic Pinball), elle recrute dans son équipe Arjan Brussee. Democoder talentueux,  il s’attaquera depuis les Pays-Bas à un projet reposant sur un moteur graphique proposant une action très rapide à l’instar de Sonic bien entendu, mais également de Zool sorti sur Amiga et PC. Au début du projet, le héros pressenti devait être le cosmonaute hollandais Wubbo Ockels, afin d’offrir un titre dans l’esprit de Megaman, mais en plus nerveux. Cependant le thème spatial n’était alors plus aussi vendeur que la déferlante de mascottes… Notre cosmonaute se transforme alors en lapin vert repoussant l’invasion de tortues de l’espace ayant kidnappé Eva, la princesse de Karotus. Un lapin vert créé par le comparse de Arjan, Cliff Bleszinski.

Lire la suite Lire la suite

Peugeot Traveller, le bon plan pour les grandes familles ?

Peugeot Traveller, le bon plan pour les grandes familles ?

Peugeot Traveller - Standard
Peugeot Traveller – Standard

Aujourd’hui, j’avais prévu d’aller faire un tour chez VW, arrivé au garage, la porte était close. Magasin fermé a 15h… Il était 15h10. Je me suis dit que peut être , c’était un signe d’aller voir la nouvelle Peugeot Traveller chez Peugeot iacolino P. où j’ai été accueilli bien plus chaleureusement… Voilà qui pèsera dans ma réflexion. Elle a une certaine allure cette traveller non ? Bcp plus modulable, moteur moins imposant…

Si vous arrivez jusqu’ici, c’est que vous aurez constaté que les grandes voitures familiales pour plus de 3 enfants qui offrent confort et volume de chargement suffisant ne court pas les rues. Il est loin le temps où une Renault Espace offrait de l’espace et non du style et les japonnaises regorgeaint de modèles spacieux. Lorsque l’on élimine tous les modèles offrant des strapontins au rang 3 et/ou un coffre d’à peine 30cm de profondeur, il ne restait que la VW Caddy Maxi, La Ford Grand Tourneo Connect ou des véhicules plus imposant allant de l’Opel Vivaro à la Mercedes Classe V en passant bien sur par la VW Multivan dont les lignes tranchantes m’ont toujours fait de l’œil.

7 Places + les courses

Il y a 3 ans, c’était donc la VW Caddy Maxi qui avait remporté le deal et la réflexion mérite à nouveau d’être remise sur la table en prenant ce dernier comme base de référence. Parmi toutes les questions à prendre compte certains éléments sont primordiaux, un espace de chargement derrière le rang 3 qui permet de glisser des bacs type « Supermarché », un véhicule qui reste sous la longueur de 5m et également si possible qui ne dépasse pas 190cm de hauteur, histoire de pouvoir toujours rentrer dans les parkings sous-terrain. Coté motorisation, le Diesel n’a évidemment plus le vent en poupe auprès du gouvernement belge, pourtant pour de tels véhicules, difficile de trouver une alternative Essence. Celle-ci sera alors très gourmande en carburant. La taxe aura aussi un impact sur le choix finale.

J’ai longtemps gardé le Multivan T6 et sa magnifique édition en rouge en blanc dans mes voitures de rêve, mais dernièrement je m’étais replongé sur le modèle grande famille proposé par Citroen, Peugeot et Toyota respectivement nommé : Peugeot Traveller, Citroen SpaceTourer et Toyota ProAce Verso. Chacun disposant d’une carrosserie et motorisation propre, mais reposant sur un chassis et des dimensions similaires. Hors du lot, c’est esthétiquement le Peugeot Traveller que je trouve le plus sympathique, mais dommage de ne trouver que la version la plus longue en démonstration…

Petit point sur les hauteurs dans cette catégorie…

7 places 2018
7 places 2018
Pacman Syndrome : Protego

Pacman Syndrome : Protego

Les feuilles tombent et je me rends compte que voilà déjà un petit moment que je n’ai plus fait le tour de l’actualité JV qui m’a marqué ces dernières semaines. Depuis la « mort » de Scoop.it, j’ai pris le relais au moyen de GetPocket pour mettre de côté quelques découvertes, mais cet outil ne me permet pas de pouvoir y ajouter mon état esprit du moment… Au programme : Ary and the secret of seasons, Call of the Cthulhu, Bubsy, Iconoclasts, Harry Potter et The Gardens Between. Ah oui, désolé… par de Red Dead Redemption 2 par ici !

Début octobre, un « leak » d’un projet de jeu-vidéo « Action-RPG » dans le monde d’Harry Potter était diffusé sur Youtube. La toile s’enflamme, un jeu « Harry Potter » dans un monde ouvert, voilà qui permettrait de prolonger encore cette aventure que je voudrais ne jamais voir terminée alors que nous approchons madame et moi de la fin des 7 audiobooks. Rapidement retirée par Warner qui détient les droits visuels des mondes d’Harry Potter, cette vidéo permettait de découvrir un écran de création de son avatar et toute une série de scène magique à l’intérieur de Poudlard et également une série de combats contre des créatures magiques…. Des créatures magiques, à mais bien sur, la suite des Animaux Fantastiques débarquent sous peu au cinéma ! Quoi qu’il en soit, vu le soin apporté visuellement, je me réjouis d’en savoir plus sur ce projet !

Lire la suite Lire la suite

Herfstvakantie

Herfstvakantie

Ouf, un break. Un bol d’air frais. Profiter des rayons généreux de ce début du mois de novembre. Oublier le quotidien, les trucs qui ne vont nin. Regarder les enfants rire, jouer, nager. Profiter de notre famille et partager ce bonheur avec nos amis. Ces moments n’ont pas de prix et oui… j’en avais « déjà » grand besoin avant ce que me réserve les semaines à venir. Ce tourbillon de journée de plus en plus courte qui nous mènerons jusqu’en 2019. Anniversaires, fêtes, réveillons, défis à relever, avenir à écrire… Rien que d’y penser cela me donne le tournis.

Quelques jours de l’autre côté de la barrière linguistique en famille nous aurons à nouveau emmené, pour une dernière escapade au Center Parc d’Erperheide. Ce dernier est probablement le plus agréable pour une famille avec de jeunes enfants, mais il ne propose que des cottages de 5 personnes + 1 bébé ou 8 personnes. Ce qui nous obligera la prochaine fois à faire un autre choix de destination, dommage, nous en garderons malgré tout d’excellent souvenirs : De Charly sur son petit tracteur à nos premières vacances à 12 avec la grande famille de Gaetan et Delphine en passant par les folies de Rose la petite sirène.

// Plus de photo ‘pro’ à venir…

Lire la suite Lire la suite

49 Jours

49 Jours

Je ne bouquinne pas très souvent de romans : Harry Potter, Le livre perdu des sortilège, Hunger Games, La 5° Vague, Ready Player One sur ces 10 dernières années. Je me suis pourtant arrêté sur celui-ci que madame m’a offert, et qui en réalité fut mon premier « objet » ajouté sur un tableau Pinterest il y a bien des années !

Une écriture moderne, rapide qui s’enchaîne en courts chapitres de 4 ou 5 pages. La mort, la vie après la mort. Un sujet que je déteste et que je fuis… Je n’ai personnellement jamais pu me résoudre à la science et son néant… et je reste parfois perplexe quant aux saintes écritures…

49 jours nous glisse dans la peau de Floryan qui vient tout juste de perdre la vie dans le métro parisien. Il se retrouve dans l’autre monde où deux choix lui sont proposés. Est-ce cela la vie après la mort, et si d’autres options s’offraient a lui ? Peut être bien… Une fois mort, a quoi pense-t-on. À l’après ? À ce que vivent nos proches restés là ? Puis vient la page 189… où Fabrice Colin, l’écrivain français next gen, nous emporte vers un regard plus large que notre petite personne…

Et en réalité, dès lors, l’auteur ne cesse de nous surprendre dans les rebondissements et l’ampleur que prend l’aventure. L’ésotérisme se mêle au fantastique, la dystopie, la science fiction et le roman d’amour tout cela offrant à dévorer l’ouvrage.

// Spoiler //

Lire la suite Lire la suite