Archives de
Month: février 2015

L’intriguant The Deer God

L’intriguant The Deer God

The Deer God
The Deer God

Dans le temps, on achetait un tableau, une œuvre artistique qui semblait vous parler, vous inspirer à trouver refuge dans votre maison… Quand j’ai vu « The Deer God », j’ai eu ce sentiment, l’envie de poser cette image quelque part chez moi, et me perdre dans le décors… C’est une des forces offertes par le jeu-vidéo à mes yeux, pouvoir se perdre dans une œuvre d’art et chercher un sens à sa présence une fois plongé à l’intérieur… En espérant de tout cœur que ce jeu débarque sur un support adapté à mon chez moi, il est pour l’heure uniquement disponible en version alpha sur PC et une campagne Kick Starter devrait lui donner sa chance, qui sait sur ma 3DS ou ma WiiU ? Je vous invite à découvrir le test de cette version chez Press-Start.

Véritable OVNI vidéoludique, The Deer God est un savant mélange entre plate-formes et aventure, le tout saupoudré de gros pixels. Ce titre de Crescent Moon Games nous permettra de jouer un chasseur réincarné en cerf qui partira en quête de la rédemption, et ça c’est beau. En effet, lors de la séquence d’introduction, on peut voir le braconnier se faire dévorer par un loup au moment où il abat froidement un majestueux cervidé. Voilà un scénario ma foi assez poétique qui pourrait amener le joueur à se poser quelques questions sur les conséquences de ses actes ainsi que sur son Karma. (A lire sur Press-Start)

En regard à la petite vidéo proposée de cette version Pré-Alpha, cela semble offrir les mêmes sensations si spéciales qu’offre la découverte de Knytt Stories…

Pacman Syndrome : C’était mieux avant ?

Pacman Syndrome : C’était mieux avant ?

Eternelle question de l’homme qui vieillit, était-ce mieux avant… Le site Jeux-Vidéo.com s’attaque sur un article de fond pointant les jeux consoles d’aujourd’hui et d’hier.

Mieux avant ?
Mieux avant ?

Si on a longtemps entendu dire qu’il était plus simple de jouer sur consoles que sur PC, il faut avouer que la limite entre les plates-formes paraît aujourd’hui assez floue. Diverses raisons expliquent ces changements, que ce soit l’arrivée des disques durs ou la démocratisation du jeu en ligne, mais quoi qu’il en soit, le joueur console est aujourd’hui bien souvent contraint d’installer son jeu avant de pouvoir le lancer, de télécharger des patchs, de souscrire à un abonnement payant pour jouer en ligne, etc. Et c’est sans compter sur les nombreuses erreurs, les bugs, les problèmes serveurs ou autres corruptions de sauvegardes qui peuvent ruiner l’expérience de jeu par la suite. Attardons-nous donc un instant sur ces nouveautés. Sont-elles réellement indispensables ? Vont-elles dans le sens du joueur ? (A lire sur Jeux-Vidéo.com)

Il est vrai que l’une des forces des consoles quand j’étais gamin face aux jeux sur ordinateur, c’était l’immédiat. On pluggait son Street Fighter II dans la SNES et la partie commençait, là où se refaire un Day of the Tentacle demandait de ré-installer les 5 disquettes après avoir fait de la place sur le disque dur… Même à l’époque du CD-Rom, s’il fallait parfois attendre quelques moments de chargement avant de reprendre sa partie, on était loin des plombes à patienter lorsque l’on installer Les Sims, ses addons… et qu’il fallait ensuite charger sa famille ! Ces dernières années déjà les jeux PS3 à l’achat me demande après avoir installer quelques giga sur le disque dur, de télécharger lentement des mises à jours… A l’heure du jeu en réseau connecté, qui implique de régulière mise à jour permanente, des corrections de bugs et mêmes des contenus supplémentaires… On peut se dire que jouer sur console restent bien moins « immédiat ». Toujours plus propre que sur un ordinateur, mais… pour l’heure c’est tout de même un frein à mes yeux pour sauter sur la nouvelle PS4 !

Les soldes sur Steam !
Les soldes sur Steam !

Tout en restant dans un sujet relativement similaire de « Grands Dossiers du Jeux-Vidéo », le site Jeux-Vidéo.com à nouveau ciblait fin 2014 un article intéressant autour des « Soldes Steam ». Même si je reste personnellement très « anti-steam » et son concept de n’acheter que du « vent », il me faut admettre que la nouvelle génération se délecte des achats à micro-prix de jeux sur Steam. Car Steam, c’est toujours la fête de quelques choses qui fait que Mighty 9, Limbo ou Braid est en promo. Alors, à quoi bon acheter ces jeux à prix plein… et les petits éditeurs peuvent-ils réellement survivre de la sorte ? Steam ne donne-t-il pas une image que le Jeu Indé n’a pas de réelle valeur, dans un marché largement surchargé…

A trop casser les prix, les soldes Steam nous ont rendus pingres. Mais si avoir des oursins dans les poches est le lot de chacun, quelle valeur accordons-nous à ces jeux achetés une misère qui gonflent nos ludothèques ? Parmi les nombreuses choses, bonnes ou mauvaises, que la dématérialisation a pu rendre possible, les ventes discounts massives et régulières trônent certainement dans le top 3. Institutionnalisées par Steam et reprises par GoG, Origin et les autres plates-formes, les vagues de promotions événementielles sont autant de rendez-vous que les joueurs attendent fiévreusement, de même que les Humble Bundles, packs qui ont l’avantage de contenir de nombreux titres et d’adoucir la conscience du joueur qui peut se faire plaisir au prix qu’il souhaite tout en donnant dans la charité. (Un article à lire sur Jeux-Vidéo.com)

 

Des Simpsons et des pixels

Des Simpsons et des pixels

Bon,… au jour d’aujourd’hui, la famille Simpsons a probablement perdu de son éclat et tire peut-être même une image un peu « TV poubelle »… Et pourtant, je me souviens de cette époque où, du haut de mes 12 ans, Bart Simpson est venu, non pas envahir ma télévision, mais le lecteur CD tout neuf de mon ami Vivien. Le Simspon, ce n’était pas l’invasion de l’Amérique dans nos foyers, c’était de la couleur, de l’humour,… C’était tellement différent des histoires du Club Dorothée… Si j’ai longtemps apprécié regardé la série au début des années 2000, je n’ai pas non plus basculé dans l’ultra-fan au point de mettre des caleçon Homer Simpson…

Quoi qu’il en soit, lorsqu’il y a un truc un peu amusant autour du générique des Simpsons, je m’y intéresse…. et quand ils se retrouvent pixelisés à la sauce des ordinateurs des années 90… il faut que je vous le partage !

Une réalisation de Paul Robertson et Ivan Dixon. Musique adaptée par Jeremy Dowe