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Month: janvier 2013

La vie en double : La plupart des jouets musicaux jouent faux

La vie en double : La plupart des jouets musicaux jouent faux

La plupart des jouets musicaux jouent faux
La plupart des jouets musicaux jouent faux

C’est un truc qui m’énerve profondément, il y a visiblement peu de monde qui s’en préoccupe, mais je trouve que la plupart des jouets pour jeunes enfants sonores ont un son vraiment dérangeant. Trop fort, faux et de qualité d’échantillonnages particulièrement faible. Je me souviens que j’avais été testé un grand nombre de « module de jeu » pour enfants chez Broze, avant de trouver un modèle de qualité correcte, un Fisherprice de mémoire. Aujourd’hui je me sens un peu moins seul dans mon combat !

« Selon Christian Hugonnet, ingénieur acousticien et également président fondateur de cet évènement, les enfants de 0 à 3 ans sont actuellement exposés à des jouets trop bruyants. Ils diffusent une sonorité compressée du fait de l’évolution des technologies numériques. Le développement de ces technologies permet en effet de remonter les sons faibles pour devenir par la suite des sons forts. Par rapport à la musique, ces sons ne sont pas nuancés. Si l’on a mesuré l’intensité sonore moyenne de ces jouets, elle ne dépasse pas la norme des 80 dB. Toutefois, des pics de 100 dB sont à observer… » (Un sujet à lire sur TechnoScience)

Garage Isidore

Garage Isidore

Auteurs : Gilson, Olis, Stedo, Sikorski
Editions : Dupuis (1995)
Albums : 3,6,14


Garage Isidore - Tome 14, Rallye en folie
Garage Isidore – Tome 14, Rallye en folie

J’ai assez bien apprécié les gags des premiers albums de la série Garage Isidore découverts au milieu des années 90 dans le journal de Spirou et à la bibliothèque, sans pour autant en être accroc.

J’étais donc assez curieux de ce que pouvait donner un 14° album sur le même « sujet » et le résultat fut une bonne surprise… d’autant que le titre de l’album est le même que le scénario de BD que j’avais écrit en 1990 pour le premier album de la série Les Jeunes Mécanos, dessinée par mon frangin Sylvain Martin.


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Extrait de Garage Isidore -1- Salade de bielles
Extrait de Garage Isidore -1- Salade de bielles
Gaston

Gaston

Auteur : Franquin
Editions : Dupuis (1960)
Albums 1° édition : R1, R2, R5, 6-7, 12-15
Album 3° édition : 5 (équivalent R3)

– R0.
R1. Gala de gaffes à gogo (1977)

R2. Le bureau des gaffes en gros (1977)
– R3.
– R4.
R5. Le lourd passé de Lagaffe (1986) abimé, nombreuses tâches

// 5. Le bureau des gaffes en gros (Marsu 2009) contient des gags de plusieurs albums, dont le R3.
6. Des gaffes et des dégâts (1968)
7. Un gaffeur sachant gaffer (1979)
– 8.

– 9.
– 10.
– 11.
12. Le gang des gaffeurs (1989) état assez moyen
13. Lagaffe mérite des baffes (1979) abimés, coups de bic
14. La saga des gaffes (1982)
15. Gaffe à Lagaffe (1996)


Le lourd passé de la Lagaffe. Gaston R5
Le lourd passé de la Lagaffe. Gaston R5

Les gags et les inventions loufoques de Gaston, avant même de pouvoir lire les histoires, je les trouvaient déjà amusantes.

Gaston, c’était la BD favorite à lire chez GB pendant que papa et maman faisaient les courses ou à emprunter à la bibliothèque à de nombreuses occasions… Nous en avions quelques tomes à la maison bien sur, dont le R3 que je lisais déjà dans notre maison à Rotheux, soit avant mes 6 ans ou encore les éditions devenues rares au format italien chez Mamy des Champs. Mais pour l’heure je les avais laissé à mon frangin… C’est donc au hasard des bourses et brocantes que je retrouve les éditions de mon enfance que je préfère aux ré-éditions modernes.

Gaston n’a pas trouvé autant de succès au près des enfants, même si Charly en a lu plusieurs, pas au point de remettre la collection à jour, alors pourtant que finalement, il y manque les albums de mon enfance.


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xtrait de Gaston -R3- Gare aux gaffes du gars gonflé
xtrait de Gaston -R3- Gare aux gaffes du gars gonflé
20 ans de Famille Formidable

20 ans de Famille Formidable

Je ne vous parle pas souvent de Télévision sur mon blog et pourtant c’est probablement une de mes activités principales lorsque je ne travaille pas et que les enfants sont au lit. Madame et moi sommes amateurs de bon films et de séries originales, pas tout ces trucs d’actions et d’enquête policières… Pourtant ici, c’est quelques choses d’un peu nostalgique dont je vais vous parler.

Retour en arrière de 20 années ! J’avais 13 ou 14 ans, et voilà que débarquait à la télévision le concept de « Feuilleton de l’été », chaque semaine un épisode long comme un film, suivant la folle histoire de d’une Famille Formidable… et chez nous, toute la famille dans le canapé après le diner pour suivre les tribulations de la famille Beaumont et leur restaurant en quête d’étoiles…

Les saisons se sont poursuivent avec un concept toujours pareil d’imbroglio familiale, des situations que l’on ne voudrait pas voir dans sa propre famille mais présentées de manière tellement coquasses que la sauce prend toujours vingt ans plus tard… Techniquement rien à changer, le style est toujours pareil et pourrait faire pâle figure face aux séries télé du moment… et pourtant, je prends autant de plaisir à voir arriver les nouveaux épisodes de cette 10° saison, à retrouver les personnages et leur caractère, un élément capitale pour moi étant que les acteurs et le scénariste soit resté les mêmes durant toute ces années.

Ceci dit, je crois que j’ai dû loupé la saison 9, car certaines choses me paraissent troubles et j’ai parfois eu un peu de mal à situer certains nouveau personnages

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Resident Evil 6, premières sensations.

Resident Evil 6, premières sensations.

Et oui, bienvenue en 2013, papa de trois jeunes enfants, bientôt 35 ans, encore l’âge pour combattre du Zombie et sauver le monde des bêtises d’Umbrella corporation ?

Et bien, c’est clairement la question que je me suis posée après avoir attendu si longtemps l’arrivée du 6° volet de la série Resident Evil disponible sur Playstation 3. Dire qu’il y a 13 ans, je parcourais pour la première fois les rues de Racoon City afin d’échapper au Nemesis !

Resident Evil fait partie des titres qui ont marqué mon retour aux jeux consoles au début de ce siècle avec en apogée les épisodes Rebirth (le remake du premier) et Resident Evil 4, tous deux sur Nintendo GameCube. Depuis lors, la série a tenté de s’adapter aux nouvelles générations de joueurs. Beaucoup n’avaient pas vraiment été enthousiasmés par Resident Evil 5, premier titre de la série sur console « Next-Gen ». De mon coté, j’avais trouvé le résultat plutôt convaincant et poursuivant l’évolution déjà apportée par le 4° volet à savoir quitter les rues de Racoon City remplies de zombie et les Manoirs aux nombreux secrets. L’action prenant petit, un peu plus de place que l’aspect Survival pourtant lié aux origine de la série.

Depuis lors, Resident Evil s’est tenté un peu partout. Sur console portable, avec dit-on une certaines réussites, au cinéma avec de trop médiocres aventures, en jeu 100% orienté online et en épisodes rétro HD reboostés pas des plus réussis. Il est claire que pour beaucoup, Resident Evil 6 était attendu au tournant, d’autant que Capcom le présentait comme un retour aux sources.

Déjà pas mal de critiques fusent à son sujet sur le net ! A titre personnel j’avais trouvé la démo assez intéressante, et j’étais assez content de le recevoir sous le sapin… Ce n’est pourtant que ce Weekend que j’ai pu m’y essayer… et oui, 3 enfants et des semaines de fou, cela ne laisse pas vraiment l’occasion de jouer à la console !

Je n’y ai joué ici que 44 minutes, incluant peut-être une pause pour remonter voir si tout va bien. De quoi parcourir ce que j’appellerais le prologue, puis le début de l’aventure avec Leon. Suffisamment pour me donner l’impression d’avoir jouer à deux jeux différents !

Plus dynamique face à l’habituel rigidité de la série, le prologue se rapproche très fort de titres tels que Uncharted 3 et Heavy Rain. Si dans un premier temps je me suis dit, bon cela ne fait plus tant Resident Evil, j’ai été assez vite pris dans le bain de l’action, à protéger ma partenaire d’une menace inconnue. Car coté scénario, cette mise en bouche manque de clarté, j’imagine que l’on se retrouve plutôt vers la fin de l’aventure, et que l’on retrouvera ce dénouement par la suite… Je n’aime pas vraiment aimé ette manière de raconter une histoire, mais pour se faire au gameplay, c’est plutôt réussi.

Alors que j’étais bien dans l’ambiance… Poum, un gros logo Resident Evil 6, veuillez choisir votre campagne, si vous souhaitez jouer en réseau, munition illimité et compagnie… Ah là franchement, ça casse tout ! Et zoup, me revoilà dans le bureau du président se transformant en zombie, comme dans la démo d’octobre dernier.

Et là, quelle surprise, je me retrouve avec un personnage bien plus rigide dans sa démarche, sans pouvoir donner du coup pied aux zombies, beaucoup plus lent,… bref, du bien plus classique pour un Resident Evil, si ce n’est qu’en quelques minutes, je m’étais tout à fait adapté à ce que l’on venait de me proposer !

Que me réserve donc la suite de ce Resident Evil 6 ? Je vous en dirais plus lorsque j’aurais fini de m’arracher les cheveux avec mon Pinnacle Studio !