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Month: mai 2012

Le temps d’une transition…

Le temps d’une transition…

Bon, il semblerait que mon blog au moins engendre des problèmes de saturations serveur… peut-être bien dû à la vétusté de mon thème WordPress que je traine depuis 2007 maintenant… pas sur, sur à 100%, mais c’est tout de même une piste que je ne eux ignorer…

De ce fait, l’esthétique du Blog de Cyborg Jeff devra donc se contenter de ceci le temps que je pousse plus loin la résolution du problème !

La Donkey, poussette jumeaux de rêve ?

La Donkey, poussette jumeaux de rêve ?

La Bugaboo Donkey – Trop imposante – Renault Kangoo

Tiens, justement aujourd’hui (enfin, samedi dernier) nous avions décidé de passer la Bugaboo Donkey en mode « poussette », histoire de voir… Et tiens, voilà justement qu’au hasard de notre balade dans Belle-île, alors que je pestais sur ma Bugaboo, je croise une future maman de jumelles qui me demande si j’en suis content de ma Donkey ! Alors, je me dis qu’il n’est peut-être pas trop tard pour prendre quelques minutes pour vous faire un petit retour d’expérience jusqu’ici ! Parcqu’il faut bien l’avouer… j’ai bien moins le temps d’écrire qu’avant l’arrivée des filles !

Souvenez-vous, après une longue analyse de la situation coté poussette pour jumeaux. Nous avions décidé de partir aux Pays Bas chercher en primeur la Bugaboo Donkey qui nous semblait être la meilleure poussette pour nos choupettes. Je reste plutôt convaincu de notre bon choix, mais je suis tout de même déçu d’un peu trop de choses pour une Rolls Royce des poussettes.

Rien à faire, la Donkey est bien moins pratique que sa petite soeur, la Bugaboo Cameleon, le modèle 1 place. Elle se replie et se déplie bien moins facilement, est évidemment est bien plus lourde.. et rempli intégralement le coffre de ma Kangoo… A moins que je ne passe mon temps à enlever l’adaptateur MaxiCosi et l’adaptateur pour le skateboard afin de pouvoir la replier en mode 1 personne… je vous jure que vous ne vous amuserez pas à chipoter de la sorte !

Le sac de rangement sous la poussette n’est vraiment pas pratique… On le dirait même conçu à l’envers, la moitié du temps, les trucs que l’on y range deviennent inaccessibles. Ceci dit, c’est évidemment parce que jusqu’ici nous avons utilisé les MaxiCosi et poussette en mode « Face à nous »…

Je m’étonne également du retour en arrière quand au choix des roues. Ma Cameleon modèle 2009 était en roue pleine, alors que la Donkey revient à des roues à gonfler… et j’ai beau les gonfler, avec 3 enfants dessus, elle me donne toujours l’impression d’avoir des roues trop peu gonflée… Et prendre 1/4 d’heure pour regonfler ses roues sur le parking de Maasmechelen Village, ça le fait assez moyen !

Mais au fond, tout ceci n’est pas trop trop embêtant, elle reste hyper maniable une fois montée ! Là je n’ai rien à redire !

Oui mais… aujourd’hui donc, je testais le mode « Poussette », et là, il y a vraiment à dire ! Tout d’abord, afin de gagner en largeur, les poussettes sont franchement étroites. Charly, 3 ans, est franchement à l’étroit dedans. Le système d’attache de l’enfant est très mal pensé. Il est difficile à adapter et surtout, impossible d’y accrocher une chancelière d’une autre marque que Bugaboo, alors que nous avions plein de très jolis modèles en stock ! Un autre problème de taille, pas de fonction pour changer l’inclinaison de la poussette, sans la détacher de la structure… avec un enfant dedans, c’est du coup mission impossible ! Option pourtant oh combien pratique quand l’enfant commence à s’endormir dans sa poussette…

Bref de bref,… je reste un peu sur ma faim pour un poussette d’un peu plus de 1600eur, j’ai quand même l’impression d’avoir un genre poussette concept que Bugaboo aurait sortie en hâte afin de ne pas laisser la concurrence réagir… dommage !

Rolo to the rescue

Rolo to the rescue

Rappelez vous, il y a quelques temps, je vous parlais du début des Nineties et mon intérêt pour la Megadrive de SEGA. A l’époque donc, à défaut d’en posséder une, j’usais mes petites économies à acheter le magasine Mega Power où était présenté les nouveautés, soluces et futurs hits. Entre les nouvelles aventures de Sonic, l’arrivée de Ecco le dauphin et la soluce de la version Megadrive de Flashback,… j’étais resté suspendu à la preview d’un titre exclusif à la 16 bits de SEGA : Rolo to the Rescue.

Un petit éléphant au style bien sympathique traversant des niveaux colorés… Un jeu peut-être gentillet mais qui lorsque l’on y réfélchit bien colle tout à fait au style de jeu de plate-forme de l’époque : Sonic le hérisson, Bubsy le chat, Mr Nutz l’écureuil, Zool la fourmi Ninja,… Je pense qu’à l’époque, je lisais peu mes magasines, et je regardais surtout les images… je n’ai pas vraiment de souvenir de ce que l’on disait alors de Rolo to the Rescue, mais ce qui est certain, c’est que bien que j’aimais donner des baffes dans les rues enragées, les petits héros mignons ont toujours été bien appréciée chez moi, peut-être parqu’ils étaient un peu Parents Admis, et qui sait feraient ils un jour rentrées une console à la maison ?

Roll the Rescue - Megadrive (Vectordean, Electronic Arts)
Roll the Rescue – Megadrive (Vectordean, Electronic Arts)

Bref, heureux possesseur d’une Megadrive depuis quelques mois, j’ai eu envie d’enfin découvrir ce jeu. Je remercie donc déjà l’ami VEGA qui m’a gentiment preté son exemplaire, le temps de quelques parties.

Force m’est d’admettre que les qualités visuelles de Rolo et ses ami souffrent assez vite d’un gameplay un peu moyen. Dès le début, graphismes et animations se montrent à la hauteur.Elephant, lapins, castors, écureuils sont soignés aux petits pixels. Les quelques ennemis que l’on rencontrent s’intègrent un peu moins dans le décors mais restent de bonne qualité…

Coté décors par contre, cela reste assez classique, et un peu pauvre à mon goût. Les grandes zones de tuiles de terre ou d’arbre sont fort redondantes, et en comparaison avec l’animation des personnages très réussie, les accès aux zones secrètes sont très basiques… pouf un simple champignon, les bonus en forme de point manquent cruellement d’originalité,…

La construction des niveaux, de la carte, manquent eux aussi de challenge. Si le but du jeu est de controller Rolo notre petit éléphant afin de retrouver les cléfs permettant d’aller délivrer ses amis, vous pouvez ensuite prendre controle de ceux-ci. Un Lapin qui saute trèèèès haut, un castor qui flotte dans l’eau, l’écureil qui s’accroche aux arbres… et aller chercher d’autres trésors et morceaux de carte, mais bizarement, j’ai l’impression que le concept n’est pas vraiment exploiter pour tirer parti des niveaux… Et assez vite on s’ennuie

Une grosse Drache sur Silent Hill !?

Une grosse Drache sur Silent Hill !?

Initialement publié sur le site Be-Games.be, le nouveau site des gamers et rétro-gamers belges, je vous livre mes premiers pas,… de retour à Silent Hill !

Depuis 1999, la ville de Silent Hill semble attirer les âmes en peine… Je me souviens encore être resté plus que perplexe lors de ma toute première visite dans une ville enneigée et brumeuse, incarnant Harry à la recherche sa petite Shelly. Le hasard d’une rencontre dans un bus d’une personne devenue accroc à Silent Hill m’inspirera une deuxième visite, afin de devenir à mon tour un addict de cet étrange malaise et cette envie de savoir pourquoi… Ensuite, il y aura Silent Hill 2, l’histoire d’amour en James et Mary, indéniablement la plus belle réussite, avec des scènes marquées à jamais dans ma mémoire, les escaliers interminables du musée, la porte entre les deux buildings,…

Les suites ne seront que d’éternels retours à Silent Hill, se démarquant bien difficilement des deux premiers. Silent Hill IV : The Hole, avait ce petit quelque chose de spécial, de voyeurisme, d’originalité qui aurait pu en faire un excellent titre mais l’arrivée d’esprits ne me plaira pas du tout. Une série d’épisodes sortiront alors bizarrement sur des consoles inadaptées ou désuètes, tel Silent Hill origins sorti en 2008 sur une Playstation 2 à l’abandon. Le 5° Silent Hill : Homecoming, j’en ai déjà parlé s’est fourvoyé, trop classique, fort vide et des monstres bien trop difficiles à combattre. Sur Nintendo Wii, c’était un étonnant Silent Shattered memories qui débarquait, revisitant avec une certaine réussite le tout premier opus, sorti dix ans plus tôt sur la PlayStation. L’histoire est différente tout en conservant la découverte de Silent Hill et la recherche de Shelly. Un épisode plus axé sur l’exploration et la fuite que sur la peur, les énigmes et les combats qui nous occupaient jusqu’ici.

 

Voilà dans quel état d’esprit j’attends depuis le printemps dernier, l’arrivée d’un 6° volet de Silent Hill sur PlayStation 3. Conscient qu’une fois de plus, Konami a préféré céder la licence à un studio externe capable du pire, comme du meilleur. D’autant plus qu’entre temps, une nouvelle référence au Survival Horror avait montré le bout de son nez : Alan Wake, titre dont j’espère toujours bientôt découvrir.

Bref, ce nouveau 6° volet, baptisé : Downpour était annoncé dans la lignée du style d’Alan Wake. S’écarter un peu de la ville, se perdre dans les bois. Ca me plait ça ! Par contre, le nouveau personnage principale, Murphy, taulard en cavale, m’inspire bien moins à priori. Et nous voilà fin mars, entre les goutes, Silent Hill : Downpour vient de sortir… Enfin pas dans tous les magasins visiblement et sans trop de mise en avant sur les sites spécialisés. Et les copains de Be-Games, ils en pensent quoi !? A ben visiblement, ils en pensent du bien. Bon, on va se le trouver alors.

C’est parti…. Bon, déjà je n’accroche pas trop à la mise en situation. En guise de tuto, on se retrouve dans un rêve de Murphy où il descend à coup de ce qu’il lui passe par la main, un autre prisonnier à qui visiblement il en veut vraiment beaucoup. J’imagine que c’est pour nous aider à comprendre ce qui se passe dans la tête de Murphy mais je ne suis pas un adepte des jeux où l’on se tue entre humain. Les GTA, Hitman et compagnie, ce n’est pas mon genre. Je suis sur Silent Hill pour tuer du monstre ! Bref, après cette intro belliqueuse, l’ambiance se construit, Murphy se voit transféré et passe aux abords de la ville de Silent Hill, une ville qui semble appeler Murphy à lui. Bardouf c’est l’embardée! Me voilà qui m’extirpe de l’épave du car, qui me glisse entre les rochers, qui marche lentement, trèèès lentement sur un tronc d’arbre… j’arrive enfin à une zone qui semble civilisée, perdue le long de la route qui traverse les bois. Rien, personne… à si… un facteur qui vient me faire la morale !

Oki, jusqu’ici, l’ambiance se construit bien. C’est vrai que le moteur 3D peine un petit peu par moment mais c’est pardonnable. La musique est digne de celle d’Akira Yamaoka qui pour une fois ne fait pas partie du programme. Les temps de rechargement lorsque l’on meurt par contre, sont franchement longs ! Il faudra éviter cela, d’autant qu’à l’inverse des anciens volets, il n’y a plus de points de sauvegarde à trouver mais des phases d’auto-sauvegardes. Celles-ci rendent les phases de jeu inconfortables, pour le jeune papa au timing ludique aléatoire que je suis.

Déjà un peu plus de trois heures passées dans ce nouveau Silent Hill et il ne m’en faut pas plus pour me réjouir de la réalisation apportée à ce dernier. Parce que franchement, j’ai dû un peu cogiter pour résoudre les énigmes ou parfois avoir l’impression de devoir le faire. Les lieux jusqu’ici parcourus se démarquent un peu des ruelles déjà maintes fois arpentées, de l’hôpital, des égouts… du cimetière. On se sent pourtant bien dans un Silent Hill, et non un Resident Evil 4 par exemple. L’ambiance à su être retrouvée. Le monde parallèle est bien rendu, avec un effet de grand angle, des plans à caméra fixe et une angoisse tout de suite pesante. Un monde où les lois sont chamboulées. Aaah, le coup de l’escalier, c’était clairement pour me remettre dans l’ambiance des choses qui fonctionnaient dans les anciens volets ! Bon c’est vrai, il y a ce truc qu’il faut fuir… J’aime moins, mais en même temps, c’était plutôt efficace dans Shattered Dimension.

Coté bagarre, on pouvait faire difficilement pire que Silent Hill 5. C’était vraiment ce qui m’avait le plus énervé il y a quelques années. Ni mode Easy, ni monstres vraiment difficiles à vaincre avec en plus un stock d’armes assez limité. Je me suis donc mis en mode EASY ici. J’avais lu que l’on pouvait sans soucis se promener et éviter la bagarre. Jusqu’ici, les grognasses ont plutôt tendance à me prendre par surprise, à me faire sauter en l’air. Le temps de reprendre mes esprits et de leur filer quelques coups de râteau. Dans Silent Hill : Downpour, on peut prendre à peu près tout ce qui nous passe sous la main pour combattre. Pour l’heure, un peu trop de trucs même et parfois sans savoir de quoi il s’agit, m’obligeant à reprendre ensuite mon brave râteau. Ce dernier devrait avoir une « durée de vie » mais jusqu’ici, il tient le coup ! J’ai aussi ramassé une tonne de pansements, ce qui change de l’épisode précédent ! Par contre, bien qu’aillant été régulièrement attaqué, je n’ai pas vu de jauge de vie m’inspirant à en faire usage.

A la recherche d’un « petit train dans les mines » pour rejoindre la ville, j’ai probablement encore de longues heures à parcourir ce nouveau Silent Hill, à en découvrir de bonnes et mauvaises facettes, mais je pense que l’on peu déjà en faire le constat. Silent Hill Downpour a su renouer avec les bons choix !

Alors pourquoi « Grosse Drache » ? Pour nos amis français, un bonne grosse drache, ici en Belgique, c’est quand il pleut averse chez vous… Alors, moi je me posais la question de ce que voulais dire « DownPour »… un genre de DownTown, les faubourgs de Silent Hill, la périphérie de Silent Hill… Ben non, DownPour… c’est une grosse drache :) Mettez une pièce dans les jumelles à Devil Pit et vous comprendrez !

Pacman Syndrome : Avec Picsou

Pacman Syndrome : Avec Picsou

Petit souvenir du début des années 90, cette publicité télévisée pour le jeu Ducktales sur NES. A cette époque, j’étais un grand amateur du dessin animé « La Bande à Picsou » qui passait le dimanche matin sur Disney Channel. Je n’ai par contre jamais vu cette pub ni d’ailleurs joué à Ducktales sur la NES à l’époque. Je n’ai en souvenir à la télévision que des publicités pour Super Mario Bros 2.

En revanche, la version noir et blanc Game Boy de Ducktales a fait partie des premiers bons jeux que j’ai découverts sur la portable de Nintendo.

J’ai récemment récupéré de mon ami Vega cette version NES, mon premier jeu rétro à ajouter dans ma collection pour cette console.

Au final les deux versions sont assez proches, avec néanmoins une prise en main plus difficile sur la NES lorsque l’on veut faire sauter l’Oncle Picsou sur sa canne.

Quoi qu’il en soit, on pourrait reconnaitre facilement dans cette adaptation faites par Capcom de l’univers de Disney les mécaniques de jeux de leur grands hits sur la NES : Megaman !